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I • • El RANGER Union postale 10 * M • Les Abonnements partent des 1 er et 16 de chaque mois si tons payables craVMtt route temande de chanaement d'adresse doit ire accompaflTKe de M centime» On an 19 fr. 14 • 40 '» RÉDACTION & ADMINISTRATION Faul-Bert, 4 TARBES ftMNONCES & RÉCLAMES, FAITS DIVERS & LOCALES Les Annonces et Réclames, Faits Divers et Locale* •ont reçus dans nos bureaux, chez nos correspondants, ainsi que dans toutes les Agences de publicité de Paris, de» Départements et de l'Etranger 6 1 I à* LESlIPHipî Lundi 18 Juillet 191!. - 20* Atiaés - N* 6,451. ¥-7^> JT -a ifs du tout Us oonsfiil syndical des cheminots s'est réu- ni à Parts, pour examiner la question de la grève générale ; la reunion a éié strictement privée ; il y aura probablement trois séances. M. Doumergue, assisté d'une délégation ca- nadienne, a inauguré, à Nîmes, le monument rte Montcalm. —— Les fêtes données à Dieppe à la mémoire de Duquesne ont été inaugurées par un cortège historique. Au cours de deux violents orages qui ont éclaté à Paris, l'eau et le vent ont ravagé la plupart des jardins et avenues de Paris ; la foudre est tombée plusieurs fois, notamment sur le Palais du Sénat. Le général de Beylie et quatre autres per- sonnes se sont noyés en traversant les rapi- des siu Mékong. • * + . Des artilleurs et des zouaves ont été expé- diés tl'Oran et de Lalla-Marnia sur Oudjda et Taourit. La huitième étape du Tour de France Cy- cliste, Nîmes-Perpignan, a été gagnée par Paulmier, 2 e Maîtron, 3° Lapize. L'aviateur Danois Sund en aéroplane. Svendsen a traversé le Lord Burgoyne, à M. Edmond Blanc, a ga- gné le Grand Critérium d'Ostende fr., à Ostende. A Statue te liMm Ou a élevé aujourd'hui, à Vestric-Can- diac, sou pays natal, une statue à Mont- calm. Des délégués du Canada y ont pris la parole. Une des plus pures gloires fran- çaises vient donc de recevoir en France le tardif honneur qui lui était dû. Les Anglais ont eu cette année, à Louis- • bourg, ici, ou à la Belle-Rivière, de cin qualité à soixante mille hommes en cam- » pagne, et nous — je n'ose l'écrire. Adieu, a mon cœur ; je soupire après la paix et » toi. Quand reverrai-je mon Çandiac '?. » Je t'aimo plus que jamais. » Toute l'âme de Montcalm respire dans ces lignes héroïques et tendres, les dernières, ou à peu près, qu'il ait écrites à celle qui allait être sa veuve. Que de fois, à Québec, devant le petit mausolée qui consacre sa gloire et celle de son vainqueur, je me suis répété ce souhait mélancolique ! Du pied de l'obélisque funèbre, on embrasse l'étroit plateau triangulaire où se livra la bataille fatale ; derrière, la vieille ville, avec ses séminaires, ses couvents, ses remparts ; en bas, sous la falaise abrupte, l'énorme Saint Laurent s'écoule vers la mer. Et là-bas, à toute distance, au-delà de l'Océan, à quinze cents lieues de cette tombe, on évoque le coin de France d'où l'intrépide lutteur vint pour mourir ici, et vers lequel le ramenait la nostalgie de son regard. Son vœu est exaucé. Il vient de le revoir, son Candiac, sa petite bastide blanche sous le ciel provençal ; il vient de retrouver ses platanes gris, ses bois de chênes verts, son moulin à huile, ses mûriers. Il a entendu la voix des arriôre-petits-fils des colons qu'il a défendus, lui apporter l'hommage fran- çais de leur piété reconnaissante. Au nom du Canada, l'honorable Raoul Dandurand ancien vice-président du Sénat fédéral, a dit ce que son pays doit au noble martyr de l'indépendance. Car les Canadiens ont le culte du souvenir. J'avais l'honneur de cau- ser, hier encore, avec mon savant ami M. Decelles, le bibliothécaire du Parlement à Ottawa. Savez-vous, me disait-il, qu'une de mes tantes, âgée de quatre-vingt-qua- torze ans, entrée en 1835 aux Ursulines de Québec a connu encore une des Sœurs, la Mère Dubé de Sainte-Agathe, laquelle avait, à l'âge de neuf ans, assisté aux funérailles du général ? » Et il me semblait, à l'enten- dre, toucher presque, non plus à des his- toires mortes, telles qu'on les raconte dans les .livres, mais à des faits d'hier et à des personnages vivants. Et la figure de Mont- calm se levait devant moi, épique et fami- lière, plus belle et plus humaine qu'elle ne le sera dans le bronze, sur la place de Ves trie. C'était un Méridional, un Latin de chez nous, un Romain de Plutarque ou de Cor- neille. Il mêlait dans ses veines le Midi sé- rieux du Rouergue, le Midi ardent du Lan guedoc. Il semble à peine un homme du dix-huitième siècle. Il reçut l'éducation d'un Monluc ou d'un Gassion. Elevé pour les ar- mes — la guerre, disait-on dans le pays est le tombeau des Montcalm » — il entre au service à treize ans et continue, tout en 80 battant, à relire ses classiques. C'était Un do ces soldats lettrés nourris de la nil >elle des lions, et qui se consolaient de !ou t avec un vers de l'Iliade ou un hémisti che de Virgile. fl avait, fait ainsi, entre quinze et qua fânto ans, toutes les campagnes d'Europe, en Allemagne, en Bohême, en Flandre, en Italie. Il reçoit cinq coups de sabre à la bataille de Plaisance et trois balles, six mois après, à l'affaire du col d'Exilés. Il avait connu Chevert à la retraite de Pra gue, qui fut un peu, sous Louis XV, comme une première ébauche de la retraite de Rus sie. A cette école, son caractère acheva de se tremper. Là se trouvait en même temps 7ue lui un de ses .compatriotes, et presque du même âge. On aimerait à se figurer *âns ce terrible hiver, la rencontre de Mont- pi!,".' et 4R Vauvenargues, les deux âmes les cl/ s À mlide sa vie, l'admirable V ace Plus ^ nic **te militaire ; Montcalm, - e \ dé bordàn l i lc e,t tle tempérament plus • ; nt d'énergie, d'entrain et de n '-ro. de dix enfants, tous et ;;?x batailles, était né pour théâtre, les lacs, les forêts, les solitudes du Nouveau-Monde. Un mélange d'aventures et de coups de main, de Robinson Crusoè et du Dernier des Mohicans. Les troupes voya- geant l'hiver en raquettes ou en traîneaux, l'été sur des pirogues, des berges », des flottilles. Comme acteurs, des soldats d'Eu- rope, Berry et Roussillon, grenadiers et gardes-françaises, mêlés aux Hurons de Bas-de-Cuir, aux coureurs de Repentigny. aux paysans de la milice. De l'autre côté, Washington et Amherst, Abercromby et Wolfe, les anglo-américains, les habits rou- ges, les Ecossais aux jambes nues et au kilt à carreaux, les féroces et sauvages rangers... Mais ce n'est là que le côté pittoresque de la guerre. En voici le tragique. Il y avait longtemps, quand Montcalm arriva, TUC la situation était désespérée la colonie ago- nisait. Les forts ne -sont que des bicoques ; les fusils sont d'un vieux modèle hors d'usage, les baguettes cassent comme du verre. Faute de baïonnettes, on fixe des cou- teaux aux canons. Pas de vivres, -pas de souliers. Pas de ressources en effectif. Tout le temps de la guerre, Montcalm sera ré- duit à se battre avec cinq mille hommes de troupes régulières, contre soixante mille. Avec cette poignée d'hommes, il faudra faire face à cinq attaques à la fois. Encore ce petit nombre, à peine peut-on le nourrir. Tout de suite, c'est la disette. Et Montcalm se débat dans ce dilemme ou périr faute de secours, ou affamer le pays s'il survient des renforts. La merveille, c'est de le voir, dans les conditions de ce duel furieusement inégal, trouver encore une éclatante succession de victoires. Son chef-d'œuvre est la prise de Carillon — nom français, affaire bien fran- çaise, — où moins de itrois mille hommes chassent d'une position fortifiée les vingt mille d'Abercromby. Quelle journée pour la France ! Quelles troupes que les nôtres 1 » s'écriait le géné- ral dans son bulletin de victoire. Mais il se rendait compte que c'étaient des défis qu'on ne soutient pas longtemps, et qu'on ne peut toujours compter sur des batailles gagnées par l'opération du Saint-Esprit ». Du se- cours ! ou tout est perdu ! Il écrit an ministre. Dans une dépêche éloquente, il lui fait le tableau des misères de la colonie. Et, craignant que ses rapports ne soient interceptés, il envoie des lettres vivan- tes » ; Bougainville part pour Versailles, chargé de ramener des recrues et des vivres. Il expose au ministre, Berryer, le plan de Montcalm, un plan de génie abandonner Québec intenable, se replier par l'intérieur, les lacs et le Missis-sipi, sur la Nouvelle-Or- léans ; et là, appuyé aux colonies de notre alliée l'Espagne, continuer la guerre- im praticable dans le Nord. C'était la Retraite des Dix-Mille, et elle pouvait sauver notre empire colonial. Berryer répondit Quand le feu est à la maison, est-ce qu'on s'occupe des- écuries ? • On voit bien, répartit Bougainville, que vous ne parlez pas en cheval. Il ramena trois cent vingt-six recrue avec des vivres pour un an. Tout espoir s'éteignait. Il n'y avait plus qu'à finir. Montcalm stoïque, se raidit. Enfermé dans Québec, incapable de tenir campagne, tout son objet se borne à lutter pied à pied, à gagner du temps, à retarder de jour en jour l'inexorable échéance. L'es cadre anglaise de Wolfe barre le Saint- Laurent et épie le moment favorable pour une descente. Ce oui était inévitable arriva Profitant de l'occasion d'un navire de ravi taillem-ent attendu par les Français, Wolfe débarque rapidement dans la nuit du 13 septembre. A 6 heures du matin, toutes ses troupes étaient rangées, sans coup férir, comme pour la parade, à une demi-lieue de la ville, sur le plateau appelé, du nom de son propriétaire, les plaines d'Abraham Québec, du haut de ses remparts, vit .se le- ver son dernier jour. Il n'y eut presque pas de combat. Les nô- tres, énervés, tirèrent de loin, sans faire grand mal à l'ennemi, et s'élancèrent à l'arme blanche. Watfe attendait de pied ferme. Il avait recommandé à ses hommes de ne tirer que lorsqu'ils pourraient viser dans le blanc des yeux. Il n'y eut qu'une seule décharge, à bout portant, terrible. Du coup, nous fûmes écrasés. Les deux généraux étaient tombés au pre- mier choc. On dit à Montcalm qu'il n'avait que quelques heures à vivre. Tant mieux répondit-il ; je ne verrais pas les Anglais à Québec. » Il dicta une lettre pour recommander les colons à la clémence du vainqueur et pria qu'on le laissât en paix Je n'ai que peu de temps, et il me reste encore des affaires importantes. » Il voulait parler de celles de son âme. Ainsi finit. Montcalm, à quarante-sept ans, invincible jusqu'alors et trouvant dans sa défaite une mort plus belle que la victoire. Avec lui tombait tout notre empire d'outre mer. Il s'ensevelissait ,sous les ruines de la Nouvelle-France. Il était juste d'honorer les mânes du grand soldat, le tvne de ces héros français dont l'élégance est de faire de la gloire avec rien, et le modèle do ces dévouements sans espoir, qui arrachent au vainqueur le cri — Quel bras offrir ? Depuis les époques de chevalerie, il était de tradition d'offrir le bras gauche à une femme, afin que le cavalier pût se garder le bras droit libre pour la servir ou la pro- téger. Exception était faite pour les officiers qui, portant l'épée au côté gauche, ne peu- vent commodément offrir que le bras droit. M. Failières ,dans le costume duquel il n'entre point d'épée, s'est néanmoins consti- tué lanceur de modes, et H a imaginé d'offrir le bras droit, afin- de ne pas déparer la symé- trie des défilés où figurent, après lui, de'bril- lants officiers. Quelques salons de province-, où la société se montre soucieuse d'être très parisienne, ont voulu suivre cet exemple. H faut reconnaître, toutefois, que l'usage d'offrir le bras gauche subsiste partout où ce n'est pas M. Failières qui donne le ton. —©— Contre l'a pluie. Une Compagnie ingénieuse vient de lancer l'assurance contre les jours de pluie pendant l'époque des vacances. La combinaison est simple. Moyennant ]p» primes que voici pour 7 jours, 9 fr 35 pour 14 jours, 12 fr. 50 ; pour vingt et un jours, 15 fr. 60 ; pour 28 jours, 18 fr. 75, l'assu re recevra une somme de 12 fr. 50 par jour de pluie 2 millimètres et demi au minimum' qui pourrait survenir pendant ses vacances La Compagnie accepte également d'accor der une compensation de 25 francs par jour moyennant, bien entendu, double prime .La compensation en question est versée pour les jours » de pluie, mais non pour les nuits », les touristes sages étant supposés être dans leur lit vers 10 heures du soir. —©— L'armée anglaise compte dans ses rangs un soMat qui prendra sa retraite le mois prochain, après 52 ans de service C'est le tambour Richard Hogan actuelle ment en garnison à Pontefract. C'est le plus vieux soldat de l'armée anglaise. Il s'est en- gagé le 22 juillet Il a servi en Irlande aux Indes et au Soudan. Malgré son âge, il est le meilleur tambour de son régiment et joue du cor de chasse mieux que tous les son neurs de cor de sa caserne. Après ses 53 ans de service, Hogan ne doit toucher que 1 s. 7 d. par jour, c'est-à-dire une pension de 1 fr. 95 par jour. Mais les officiers de son- régiment sont en train de lui consti vuer une autre retraite. c£m u £? 16 vieux tambour sera logé à soldate UQe 1114118011 de retraite pour ordres de son supérieur le procureur géné- ral Fabre, comme le chef de cabinet Yves \ Durand a obéi à ceux de M. Lépine son chef, lequel n'a rien fait que sur les !in- 1 jonctions de M. Clemenceau, alors chef du gouvernement. On pourrait ainsi remonter 1 aux croisades et proclamer finalement que le véritable auteur de l'arrestation de Ro- chette est Pierre l'Ermite ou Richard Cœur- de-Lion. En ce qui concerne M. Yves Durand, il se produit chez cet influent personnage un cas d'amnésie spécial. Tout ce qui peut l'inno- center, il s'en souvient parfaitement. Par contre, il ne se rappelle plus du tout ce qui est de nature à le compromettre. Ainsi il ne connaissait ni d'Eve ni d'Adam le faux plai- gnant Pichereau ; mais M. Monnier sou- tient que le chef de cabinet à la Préfecture était si bien en relations avec Pichereau que, lorsque celui-ci est entré chez le juge d'instruction, M. Yves Durand lui a serré affectueusement la main. Du reste, ni le Parquet, ni la Préfecture, qui nous coûte si cher en frais de surveillance, ne sa- vaient ni qui était Pichereau, ni à quelles affaires *dus ou moins louches se livrait Gaudrion. On voit que nos porte-monnaie sont bien gardés. M. Yves Durand. — Je n'ai pas amené Pichereau chez le procureur de la Répu- blique. M. Jaurès. — Il est établi que vous l'avez précédé dans le cabinet du procureur de la République. Yves Durand. — Je suis arrivé seul an cabinet du procureur. Je n'ai pas souvenir d'avoir serré la main à M. Pichereau. » Je ne veux faire aucune comparaison en- tre un malfaiteur avéré et les hauts digni- taires de la République. Mais je ferai res- pectueusement observer à M. Yves Durand que son système ne diffère pas sensiblement de celui de Soleilland, au procès duquel j'ai assisté, et qui avait perdu totalement la mémoire de ce qui s'était passé entre lui et sa petite victime. Mais, lui demandait le président, vous avez bien donné un coup de couteau à cette malheureuse enfant ? — Je ne me le rappelle pas. » Quand on a frappé quelqu'un d'un coup de couteau, c'est pourtant une chose qu'il est difficile d'oublier. Si M. Durand con- naissait le plaignant Pichereau. pourquo' dit-il qu'il ne le connaissait pas ? Et si. , en effet, il lui était inconnu, comment se fait-il qu'il lui ait serré la main quand celui-ci est entré dans le cabinet du juge d'instruction ? Ce que les journaux bien pensants appel- lent des it\ '"l immortel, "ouvolle, extraordinaire pour ilu Jour le Jour Le guêpier marocain. Nos troupes, une fois de plus, ont été atta qnées par des tribus qui nous ont tué dix hommes Ces sortes de surprises sont trop fréquen tes. Elles prouvent que nous n'en avons pas fini avec le guêpier marocain ». Et, vraiment, on ne peut s'empêcher de C'est un devoir et une obligation pour nous de commenter des chiffres des budgets qui nous sont présentés successivement par nos ministres des finances. Songez que ces budgets sont, en réalité, des notes à payer. Nous serions donc bien coupables de les considérer avec indifférence. N'aboutis- sent-iîs pas au même résultat que les mé- moires et factures de nos fournisseurs or- dinaires si minutieusement examinés par nous ? Ne faut-il pas, en fin de compte, tirer encore de l'argent de notre poche ? Notre ministre des finances actuel, M. Georges Cochery, est ravi de nous dire que pour l'exercice 1911 il ne nous demandera qu'un supplément de 12 millions d'impôts. Ce budget, à l'entendre, serait une véritable oasis où. après les dures étapes des exer- cices précédents, nous goûterions la fraî- cheur délicieuse d'un repos tout à fait ré- parateur et économique. Plût au ciel qu'il no se fît pas d'illusions et que le total de francs de re- cettes qu'il nous demande pour cet exercice fût suffisant pour couvrir celui des crédits nécessaires ! Mais voilà l'explication de l'air bonhom- me de notre ministre des finances la loi sur les retraites ouvrières et paysannes a bien été votée par la Chambre et par le Sénat ; mais on ne peut l'appliquer tout de suite. Une série de règlements d'administra- tion, sans lesquels la loi ne saurait fonc- tionner, est nécessaire. Ces règlements sont à l'étude et l'on estime que cette étude ne sera pas terminée avant longtemps. Donc, les dépenses en 1911 devant provenir de l'application de la loi des retraites devront varier suivant la date de cette application. Ne convenait-il pas d'en remettre la fixation à une époque ultérieure par l'établissement d'un budget complémentaire et de dresser en toute hâte le budget normal de 1911 avant l'ouverture des vacances ? Notre mi- nistre en est tout heureux et nous sommes ravis. Si cela pouvait durer ! Le budget de 1911 se compose donc 1° Des recettes normales comprises dans 1© bud- get de 1910 2° Du produit à attendre des impôts créés par la dernière loi de finances, notamment sur les suc- cessions, et désormais en •plein rendement saire par l'incurie des politiciens de ce parti. Enfin, l'opération de rachat du réseau de l'Ouest, qui devait n'être, à entendre ses partisans, qu'une opération blanche, c'est- à-dire ne devant entraîner aucun surcroît de charges et do frais pour l'Etat par rap- port à ce que lui coûtait la garantie d'in- térêt payée chaque année à l'ancienne Compagnie, cette opération entraînera pour l'Etat une dépense d'au moins 550 millions à échelonner sur dix exercices. Le budget général, il est vrai, n'aura pas à. supporter toute cette dépense. Un budget spécial annexe sera formé, qui recevra, d'une part, les recettes d'exploitation et les annuités que l'Etat eût payées à la Compa- gnie à titre de garantie d'intérêt, et d'autre part, les dépenses d'exploitation et l'amor- tissement des frais de premier établisse- ment et des capitaux à emprunter dans les mêmes conditions que les Compagnies sub- sistantes. L'Etat aura donc pour l'exploitation de son réseau de chemins de fer un budget industriel dont le solde débiteur sera seule- ment imputé au budget général. On ne sau- rait, d'ailleurs, qu'approuver ce procédé de comptabilité, qui permettra de contrôler facilement l'exploitation des fonctionnaires de l'Etat. En résumé, l'on voit par ce rapide ex- posé, que le budget de 1911 ne présente qu'un équilibre provisoire et que son mon- tant formidable de 4,269,176,312 francs est loin de marquer la limite de croissance des budgets futurs. Et l'on ne saurait trop gémir et se lamen- ter devant cette perspective, alors que la progression des recettes de l'Etat, du chef des impôts payés par le travail national, se chiffre par 150 millions par an. Que d'efforts inutiles, que de richesses gaspil- lées ! C. M. lITEBIflOâTO'BESETJOSFBflHïliTiOSS De Rochefort M. Yves Durand déclare devant la com- mission d'enquête que la police n'avait pas à s'inquiéter du sérieux des plaintes dépo- sées contre Rochette, non plus que de 'a moralité des plaignants, que c'était là l'af- faire du procureur de la République. Le procureur de la République dit que le soin de prendre ces informations regarde la po- lice. Quant à M" Bernard, le défenseur de Rochette, il sait évidemment tout ; mais, comme il refuse de témoigner, c'est comme s'ji ne savait rien. Ainsi, qu'on soit magistrat, fonctionnaire de l'ordre judiciaire ou policier, ministre de la justice, président du conseil ou qu'on soit cambrioleur et même assassin, les "moyens de défense sont toujours les mê- mes. Ce n'est pas moi, c'est lui Tandis qu'il étranglait la vieille, je me suis con- tenté de lui tenir les pieds. Mais enfin, de- mande Jaurès, qui a décidé l'arrestation de Rochette ? C'est le juge d'instruction Berr, répond le procureur. Mais le mémo gerr fera observer qu'il n'a pu ordonner cette arrestation qu'après en avoir référé à M. Monier, procureur de la République, et celui-ci affirmera qu'il' n'a fait qu'obéir aux Jusqu'à présent, le téléphone n'avait servi qu'à transmettre à une personne plus ou moins éloignée des messages parlés. C'était déjà un progrès considérable, puisque les distances se trouvaient instantanément sup- primées et que deux individus habitant l'un Paris, l'autre Londres, Berlin, Bruxelles ou Milan, pouvaient échanger leurs impres- sions, des ordres, se dicter des lettres, des articles même, comme- s'ils se trouvaient réunis dans la même pièce. Cette admirable invention n'en avait pas moins certains inconvénients. Lorsqu'on utilisait sur de longs parcours notamment, la parole devenait moins nette, à peine perceptible parf ois. Tels mots, telles lettres ayant une sonorité presque identi- que à d'autres, devenaient très difficiles à saisir et donnaient lieu fréquemment à des erreurs d'interprétation. Mai s 'ce n'était pas encore là son plus grave défaut. Elle néces- sitait la nrésence des deux intéressés aux deux extrémités du fil. Or, il arrivait sou- vent qu'un message téléphonique urgent et confidentiel ne pouvait, son destinataire étant absent, lui être transmis immédiate- ment. Il fallait attendre... Plus tard, la li- gne téléphonique pouvait être occupée par un tiers, d'où nouveau retard, parfois très préjudiciable. Grâce à une récente et remarquable in vention, tous ces inconvénients n'existent plus. On ne parle plus seulement... on écrit maintenant par téléphone ! La personne avec laquelle vous désirez communiquer n'est pas chez elle ? Peu vous importe. Si à rson téléphone, comme au vôtre, a été adapté un petit appareil nommé tclewriter, vous pouvez lui transmettre instantanément une commande, une lettre, un article qu'elle trouvera à son retour. Toute omission toute erreur ^interprétation, toute perte de temps se trouvent à la fois supprimées. J'ai pu voir fonctionner cet appareil, qui a été officiellement inauguré, vendredi der- nier,-par le lord-maire de Londres, et j'ai été émerveillé de l'exactitude avec laquelle est reproduite, à l'extrémité du fil télépho- nique, et quelle que soit la distance à la quelle se trouve le récepteur, l'écriture mê- me de la personne qui envoie le message. Le dispositif en est pourtant d'une extrême simplicité. Jugez-en plutôt A côté du téléphone et reliée à lui par un fil électrique, se trouve une petite caisse vi- trée, à l'intérieur de laquelle un rouleau de papier blanc se déroule automatiquement iSur ce rouleau, une pointe encrée, fixée l'extrémité de deux tiges d'acier minces et mobiles, se déplace, mise en mouvement par le courant électrique. C'est cette pointe qui, tout à l'heure, quand un message sera transmis, le reproduira à mesure, sans en omettre le moindre détail, le moindre signe. Tel est le récepteur du tclewriter. Le transmetteur, placé au-dessous, n'est pas plus compliqué. Il consiste en une ta- blette également reliée au téléphone par un fil électrique et sur laquelle se déroule, au- tomatiquement aussi, un second rouleau de papier. Sur ce rouleau, un -crayon repose, dont la pointe est fixée, exactement comme la pointe encrée du récepteur à l'extrémité de deux tiges mobiles. Et c'est tout. Supposez maintenant que, n'ayant nu té- léphoner à un ami, muni comme vous de cet appareil, vous vouliez lui transmettre votre message par écrit. Vous appuyez du doigt SUT un bouton placé à droite de la ta- blette, ce qui établit la communication en- Bans le H&ut-Oub&ngu Paris, 17 juillet. Une lettre de Bangui au Temps confirme qu'à la suite de l'attaque du lieutenant Rou et, commandant la subdivision de Bambari, par les Yeapas de rintérieur de la circons- cription du Haut-Oubangui, le capitaine 1>>- la circonscription du Haut Oubangui, a eff ectué une tournée de police de Mobaye à Bambari et après plusieurs enga- gements très vifs avec les Yaepas et sans au- cune perte de notre côté, a réussi à s'em-paier du chef Dodo, instigateur de toutes les atta- ques contre les convois administratifs o" .commerciaux. La colonne du capitaine Devaux a été atta- quée entre Bambari et Kouango, par un fort groupe de Langouassis ; elle repoussa les as- saillants en leur infligeant des pertes impor- tantes sans avoir de son côté aucune perte à déplorer. Désormais Bambari, centre de subdivision, peut correspondre aisément avec Kouango et M i' ; parcourant la haute Bangui, la co- lonne traversa d'immenses palmeraies qui peuvent être une ressource précieuse pour la colonie. L'Aiiîatioi CIBZ les Cùamiaots Lyon, 17 juillet. Les ourviers des ateliers du d'Oul- lins, réunis hier soir au nombre de ont voté, à la majorité, un ordre du jour s'enga- geant à cesser le travail sur l'appel du comité de grève. La réunion s'est terminée aux cris de Vive la C. G. » Paris, 17 juillet. Au siège des Compagnies de chemins de fer, on manifeste un optimisme complet. Nous attendons les événements, dit-on à la Compagnie du Nord ; nous les attendons sans inquiétude ; syndicat et personnel, ce n'est pas la même chose, et nous avons confiance dans notre personnel. » A l'Orléans, les hauts fonctionnaires sont absente ; ils rentreront lundi seulement ; c'est dire qu'ils sont bien tranquilles. Un mouvement se prod, plus tard ? Impossible de le prévoiir. Ce qui est certain, déclare-t-on, c'est que notre personnel est cal- me .aussi bien à Paris qu'en province. Au on ne se montre pas moins res- suré. Le comité de grève, déciare-t-on, con- naît aussi bien que nous l'état d'esprit de nos employés ; aussi s'abstiendra-t-ii d'ordonner un mouvement destiné à avorter. » Sur les autres réseaux, on fait des déclara- tions identiques. Personne ne croit à la grève ; personne, du moins, ne croit qu'elle réussi- rait, si lé syndicat s'avisait de la décréter. Paris, 17 juillet. En vue de la réunion que doit tenir aujour- d'hui le syndicat national des travailleurs des chemins de fer, les vingt-un administrateurs de province représentant les divers réseaux et Compagnies secondaires sont arrivés dans la soirée. L'un d'eux .interrogé, a répondu qu'il est plus que probable, pour ne pas dire certain, que la grève sera déclarée, non plus en prin- cipe ,mais en fait, avec cette réserve, cepen- dant, que, au lieu de cesser le travail le 18 juil- let, le conseil d'administration chargera le co- mité de grève du syndicat national de s'enten- dre avec celui de la Fédération des mécani- ciens et chauffeurs pour faire cesser le tra- vail au moment opportun. Il est à noter que le Congrès de la Fédéra- tion des mécaniciens et chauffeurs ne se tien- dra pas avant une dizaine de jours au moins. Lille. 17 juillet. Les cheminots de Lille, réunis au nomiire de à l'Alcazar, ont voté, à l'unanimité, un ord3 du jour par lequel ils déclarent qu, tout &n déplorant les troubles que pourrait amener, dans la vie nationale, une grève de chemins de fer, ils n'en obéiront pas moins aveuglément à l'ordre de cesser le travail, -lorsque cet ordre leur sera transmis par le co- mité de garè'fl». La réunion de ce matin Paris, 17 juillet. Comme nous l'avions annoncé, les membres du conseil d'adimini-stration du Syndicat na- tional des travailleurs des chemins de fer se sont réunis ce matin à 9 Iteures, au siège so- cial de l'organisation, rue Notre-Dame de Na- zareth, pour examiner la situation et pren- dre les décisions qu'ils jugeraient nécessai- res. Cette réunion était strictement privée. Les membres du conseil d'administration du Syndicat étaient au grand complet; 43 mem- bres, représentant les six grands réseaux et les Compagnies secondaires, étaient égale- ment présents. Il y aura proliablement trois séances et 0'èM d'ans la dernière, croit-on, que sera prise la décision suprême ; les délégués voteront a bulletin secret la grève ou le totu quo. Dans te cas où la grève serait voteo ori en fixerait en même temi>6 l'heure et la date et 1 i Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés Détail sur l'emplacement du radar Le radar feu rouge est installé sur le Boulevard Jules Durand au carrefour avec le Boulevard de Graville Ce radar feu rouge fonctionne dans le sens Harfleur vers Le HavreRemarques Vos commentaires sur ce radar Il y a 3 commentaires sur ce radar Le 13-02-2012 donremy à écrit Bonjour, Là, il n'y a pas l'excuse que l'on ne peut avoir l'œil rivé sur le compteur en permanence. Si on ne veut pas payer, c'est tout simple, il suffit de s'arrêter aux feux, ce n'est pas compliqué. Et chiche que cela ne rapporte rien à l'Etat. Il ne faut pas se tromper d'objectif, car c'est bien pour notre sécurité. A bon entendeur salut!!! Le 31-01-2012 Manu à écrit Bonjour, je viens de me faire flasher à ce feu rouge, il y a à peu près 1h. J'aurais aimé savoir si le retrait de point est immédiat où si il y à un délai de mise en œuvre, et si l'amande est de 90 ou de 135 euros car je n'arrive pas a trouver une réponse sûre sur internet Merci à vous. Le 21-10-2011 droppy à écrit bonsoir,là aussi il aurait fallu installer un rond-point qui fait ralentir la circulation sans la bloquer d'un coté ou de l'autre et aussi moins d' on s'enfout de la vie de nos citoyens ce que l'on veut se sont des sous pour celà on met des feux rouges avec radar. Panorama StreetView de l'emplacement du radar Le Havre Tous les radars feux rouge Numerous themes have been assigned to the sub collection of French prints. Find them below. Select a theme or category Reminder of your requestDownloading format TextView 1 to 400 on 400Number of pages 400Full noticeTitle La Technique sanitaire et municipale hygiène, services techniques, travaux publics journal de l'Association générale des ingénieurs, architectes et hygiénistes municipaux de France, Algérie-Tunisie, Belgique, Suisse et Grand-Duché de LuxembourgAuthor Association générale des hygiénistes et techniciens municipaux. Auteur du textePublisher Berger-Levrault ParisPublication date 1916Contributor Lévy-Salvador, Paul 1855-1956. Éditeur scientifiqueContributor Van Lint, Victor. Éditeur scientifiqueRelationship textType printed serialLanguage frenchFormat Nombre total de vues 2212Description 1916Description 1916 A11,N1- A11,N12.Description Collection numérique Bibliothèque Francophone NumériqueDescription Collection numérique Thème Les échangesDescription Collection numérique Collections de l’École nationale des ponts et chausséesDescription Collection numérique Corpus gestion de l'eauDescription Collection numérique Thématique bâtiment, urbanisme, architecture, artsRights Consultable en ligneRights Public domainIdentifier ark/12148/bpt6k122310gSource ASTEE Association Scientifique et Technique pour l'Eau et l'Environnement, T36-203Provenance Bibliothèque nationale de FranceOnline date 04/01/2008The text displayed may contain some errors. The text of this document has been generated automatically by an optical character recognition OCR program. The estimated recognition rate for this document is 83%. JFflhy- > ̃̃̃ • • w-, If ANNÉE, N" i. 'L~ r JANVIEIi 9i6. n,_E.'i 11' ANNÉE, N° 1. JANVIER 4 916. 1 t ̃ ^là TECHNIQUE SANITAIRE ET MUNICIPALE Hygiène, Services techniques/" Travaux publics Journal de l'Association 'Générale des Hygiénistes et Techniciens Municipaux DE FRANCE, BELGIQUE, SUISSE ET f GRAND-DUCHÉ DE LUXEMBOURG ̃"̃ v .-m i Siège social et Secrétariat général de l'Association ¡9~' C -H. REGNARD, Ingénieur CIViL DES MINES, SECRÉTAIRE Général-Trésorier; 3, Rue Palatine, Paris VIe COMITÉ DE £ RÉDACTION LE BUREAU DE L'ASSOCIATION MM, BECHMANN, Ingénieur en Chef des Ponts et Chaussées en retraite Directeur honoraire de la Préfecture de la Seine Eaux et Assainissement; Administrateur" du Chemin de fer électrique souterrain Nord-Sud de Paris. BONJEAN, Chef du Laboratoire et Membre du^Conseil Supérieur d'Hygiène publique de France. D> CALMETTE, Directeur de l'Institut Pasteur de Lille. Dr COURMONT, Professeur d'Hygiène à la Faculté de Lyon et Membre du Conseil Supérieur d'Hygiène publique de France. DABAT, Directeur Général des Eaux et Forêts France. DIMITRI, Chef-Adjoint du Laboratoire et Auditeur au Conseil Supérieur^d'Hygiène pub. de France, De IMBEAUX, Ingénieur en Chef des^Ponts et Chaussées, Directeur des Travaux de la Ville de Nancy. LIDY, Ingénieur en Chef des Ponts et Chaussées, Directeur des Travaux de la Ville de Bordeaux. MARTEL, Géologue, Membre du Conseil Supérieur d'Hygiène publique de France. VAN LINT, Ingénieur civil, Ancien Directeur de la Rédaction de la Technique Sanitaire et Municipale. Secrétaire de la Rédaction LÉVY-SALVADOR, Ingénieur, Chef du Service des Études techniques de l'Hydraulique agricole au Ministère de l'Agriculture. SOMMAIRE Association Générale des Hygiénistes Section Parisienne et Techniciens Municipaux Procès-verbal de la séance du 1i janvier 1916, p. 11. Liste générale des Membres p. 2. Compte rendu moral et financier de l'année 1915, p. 12. Liste générale des Membres, p. 2. M et le revêtement des sols, p. 13. Présentation de Membres, p. 10. MM. Qr Bordas et S. BRUÈRE. Assainissement des Extrait du procès-verbal de la séance du Conseil d'Admi- champs de bataille. Destruction des cadavres par nistration du 13 janvier 1916, p. 11. proléolyse microbienne, p. 18. Toutes les Communications relatives à la Direction et à la Rédaction de la Technique Sanitaire et Municipale doivent être provisoirement libellées ainsi Rédaûtion de la Technique Sanitaire et Municipale, 155, rue du Château, Paris XIVe. Les Abonnements peuvent être pris à l'adresse ci-dessus ou chez les Libraires. PÉRIODIQUE MENSUEL PRIX Une ann£eT"24 francs. Un mois, 2 francs 50. Pour la publicité dans la TECHNIQUE SANITAIRE ET MUNICIPALE, s'adresser à ï Agence Dollingen, 157, boulevard Haussmann, PARIS VIIIe. 11e ANNÉE, N° 1. JANVIER 1916. ~$ __––- _.–- –- -_– – LA TECHNIQUE SANITAIRE ET MUNICIPALE Hygiène, Services techniques, Travaux publics Journal de l'Association Générale des Hygiénistes et Techniciens Municipaux DE FRANCE, ALGÉRIE-TUNISIE, BELGIQUE, SUISSE ET GRAND-DUCHÉ DE LUXEMBOURG t' ^̃TjfêgOGlATlON. GÉNÉRALE DES HYGIÉNISTES ET TECHNICIENS MUNICIPAUX Administration de 1* Association. £'niMoc. d Assain. de Samt-Malo. SECRÉTAIRE gknérax-trésorier DES AUTRES PAYS Regnard, Ing. civ. dos Mines, rue Palatine, 3, Paris, 6°. D' F. Putzeys, Prof. à l'Université de Liège belge. Haoliez, Insp. gén. dos Trav. d'Hyg. au Ministère de l'Intérieur de Secrétaire oknéral-adjoint Belgique. “, “ ̃ j T Bétant, Direct. du Serv. des Eaux de Geoève Suisse Dimitri Chef adjoint du Labera et auditeur au Cons. Super. Fischeri Conseillcr d-Etati Ingénieur Lu,e»^ou^eo is d Hyg. Publ. de France, boulev. Montparnasse, 52, Pans. Fischer, Conseillcr d'Etat, ° v o" DIRECTEUR DE l'Office trciinique ET DE LA Rédaction DU JOURNAL DE l'association V. Van Lint, Dir. du Serv. du Nettoiement de la voirie de la SECTION PARISIENNE Villo, 1, ruai do la Voirie, Bruxelles. Membres Bureau français non industriels Boreux, Insp. Gon. des P. et Ch. en retraite, Président. Bergeron, Prof, à l'Ecole Centrale, Vice-Président Auvray, de la Ville do Versailles. Bruère, Chimiste, Secrétaire. Baudet, Sénateur d'Eure-et-Loir, maire de Chàteaudun. Ed. Metz, Secrétaire Adjoint, Bluzet, Chef du Serv. l'Inspect. gén. des Serv. Admin, au MinisL. do l'Inlér. – ~– Bruère. Cliimisto. Burelle, Adm. Dir. do l'Union Mutuelle des Prop. de Lyon. SECTION SUISSE Dr Courmont, Prof. d'Hygiène à l'Université de Lyon, acviiw auiSSB Diénert, Chef du Serv. de Surveill. des Eaux d'alimentation de la Ville de Paris, auditeur au Cons. Sup. d'IIyg. Pub. de France. D' Imbeaux, Iog. en Chef des P. et Ch., Nancy. Bureau Le Couppey da la Forest,. Audit, au Cons. Super. d'IIyg. Publ. '̃; de Franco. Dr Carrière, Vice-Président du Bur. San. Kédér. à Berne, Président. e Lidy, Ing. on Chef dos P. et Ch., Dir. des Trav. do la Ville de Piot, Chef du Service de la Voirie de Lausanne, Vice-Président. '̃ '̃-̃ ~ Membres d'honneur Membres bienfaiteurs Beco, Emile, Gouv. du Brakml, rue du Chêne, Bruxelles. Compagnie pour la fabr. des Compteurs et Matériel Beco, Emile, Gouv. du Brabant, rue du Chêne, Bruxelles. l,. 1\ 1\' b 1 D. Compteurs et 1 d V. Chantemesse, Dr, Prof. à la Fac. de méd. de Paris. "s'n^8 a saz' M M»he». Directeur, 16-18, bout. de VauCole, ThomaS, Secretary ot' the Institution a~.lS. girard, Paris. Cole, Thomas, Secretary of Ute Institution of Municipal and ~°' ^^rs^cLu ^"ÎÏÏT, ££*"?* »^£ ^nera,e ttes Conduites U eau nr H Boat, _= Victoria hon. du Ailimnislrateor-nirecteur, rue des Venues, 430, Liège. Debove, D', Dcven de la Fac. de Mcd. de Pari., Près. hon. du rue de Lyon. Genève Il Béco, Emile, Gouv. du Brabant, rue du Chêne, Bruxelles. Suisse. T Bedon, Arch. voyer delà ville, Lure Haute-Saône.A Armentïères Nordj. Le Dir. du Bur. d'Hygiène de la Ville. A Belfort Ville de, Serv des eaux et de l'Arch. voy. T Arnould, D', Méd. maj. de lr» cl. à la Sect. Teehn. du Serv. de A-d Ilergcr-Levrault et C' Editeurs, G, rue des Beaux-Arts, Santé Minist. de la Guerre, 21, rue Monsieur, Paris. Paris. et C'S Editeurs, 18, rue des Glacis, A-D llerger-Levrault et C", Editeurs, 18, rue des Glacis, Nancy 1 T = Mernhre titulaire. T Bergeron Jules, Ing., Prof. à l'Ecole Centr., ancien Prés. ^V – Membre adhérent. de la Soc. des Ing. civ. de France, 157, b. Haussmann, Paris, 8e. D = Membre donateur. T Berlioz, Fernand, D', Dir. du Bur. d'hyg. de Grenoble Isère. • s = Membre souscripteur perpétuel. T Bernoud, Alpb. Sous-Dir. des Eaux d'Arvo, Genève Suisse. H = Membre d'honneur. T Bertin-Sans, Dr, Prof. d'hyg. à la Faculté, Montpellier 116Les statuts prévoyant également un classement des Membres en rault. industriels et non industriels, les noms des Membres industriels sont T Besnard, Chef de seel. du Serv. des dériv. do Paris, 19, rue imprimés en caractères gras. Doguereau, Dreux Eure-et-Loir.. Les Membres qui auraient une rectification à présenter, sont priés T Bétant, Alfred, Dir. du Serv. des eaux de la ville, quai de la de l'indiquer au Secrétariat Général qui en tiendra compte, s'il y a a Poste, 2, Genève. i lieu, dans le prochain annuaire. '1' Bezault, Bernard, Arch. dipl., Ing. san., 6, r. d'Astorg, Paris. A Biblioth. profession. de l'Etat, rue de l'Arsenal, Luxembourg T Claude, Henri, Ing. expert près les Tribunaux, 48, r. d'Isly, G. D.. Alger. T-D Bidlot, Emile, Ing.. de la Cio Belge pour la fabric. des eompt. T Cobbaert, Eugène, Ing., Répét. à l'Univers., 22. r. Nassau et mat. Gaz, Eau, Elect., 127, r. les Palais, Bruxelles. Gand. T Biefnot, Hector, Dir. des trav. comm., r. des Six-Bonniers, T Collet, Maurice, Dir. de la Société des Chalets, kiosques et Seraing. constructions mobiles, 90, r. du Bois, à Clichj, Seine. T Bigot, Prof. de Géolog. à l'Univ. de Caen, Collab. princ. de la T Colmet-Daâge, Ing. en chef du Service des eaux et de l'assaiCarte géolog. de France. nissement de la Ville de Paris, 9, pl. de l'Hôtel-de-Ville, Paris. T Bille, Léon, Ing. civ., Ing. de la Cie des eaux du Sahel Tuni- A Commis. sanit- de l'arrond. de Bordeaux, M. le sie, 37, Grande Rue, Nogent-sur-Marne Soine. de la Préf., Prés, de la Commis. sanit., Hôtel de la Préfecture, T Blas, C, Prof. à l'Univ., 88, r. de Tirlemont, Louvaiu. Bordeaux Gironde. 'l' Blétry, Camille, boul. de Strasbourg, Paris. A Comp. des Eaux de MaiRonn-Larntte M. le Mr., 15, ï Bluzet, Albert, Chef du Service Central de l'Inspection géné- r. de la Muette, Seine-et-Oise. raie des serv. administr. au Minist. de l'intér,, 111, av. du Itoule, A Comp. des mines de Maries, propr. des distrib. d'eau de à Neuilly-sur-Seine. Maries et d'Auchel, 7, r. Paul-Baudry, Paris. T Boettcher, Inp. Cons., 39, boul. Saint-Martin, Paris. A Comp. fermière de l'établ. thermal de Vichy M. Guérin, T Bonflls, Ing., Dir. de la suceurs, de la Maison Gibault, 64, r. Secret. Gén., 24, b. des Capucines, Paris. Neuve-Saint-Jean, Caen Calvados. A-u Comp. génér. de l'Ozone, 80, r. Saint-Lazare, Paris. T Bonjean, Ed., Chef du Lab. et Membre du Conseil super, d'hyg. T-u Comp. génér. des cond. d'eau M. H. Doat, publ. de France, 77. r. de Prony, Paris, 17e. 430, r. des Vennes, Liège. T-d Bonna, A., Ing. Constr., sidéro-ciment, r. d'Anjou, 78, Paris. A Comp. intercomm. des eaux de l'Agglom. bruxelloise T Bonneau, Georges, Sous-Ing. des P. et Ch., cbef de circonscr. M. le Prés., 48, r. du Trône, Ixelles. de l'assainis, du Départ, de la Seine, 142, Bd de l'Hôtel-de-Ville, A Comptoir des tuyaux de grès français. 8, rue Paris. T Donner, Ed., Conslr., quai de l'industrie, Lyon. A Constantine Ville de, M. te Maire, délég. T Bonnier, Louis, Inspecteur général des Services Techniques T Corlay, Georges, Pharmacien de V cl., 5, place Buisson, d'Architecture de la Préf. dc la Seine, Hôtel de Ville, Paris. Lorient Morbihan. 'l' Bordas, Dr, Dir. des Lab. du Minist. des Finances, Insp. général T-v Cossoux, Léon, Ing. civ., Représ. génér., pour le continent, des Serv. Techn. d'Hyg. de la Préf. de Police, M. du Cons. Sup. de la firme" Heenan and Froude limited ». Manchester, d'Hyg. Pub. de France, 58, r. Paris. constr. de fours à incin. les immoud. et d'appar mécan. à tir. A-s Bordeaux Ville de M. l'adjoint au Maire délégué pour les forcé, syst. Hccnan »,brev., 12, pl. Armand Steurs, Bruxelles, Trav. publ. – 1" section. N. E. T Bordeaux Ville de M. Meynard, Ing. du Serv. des Eaux. T Cottarel, Dir. de la Soc. Puech, Cliabal et Cie, il, r. deTocqueIl Boreux, Insp. Gén. des l'. et Ch. en retraite, 95, r. de Rennes, ville, Paris. Paris. T Coulon, Eugène, Chef du serv. des eaux, des égouts et de T Borne, Dr, Méd. des Epidémies à la Préf. de Police, M. du l'éclair., Charleroi. Cons Sup. d'Hyg. Pub. de France, C,, rue de Bellechasse, Paris. T Coune, Gustave, Ing., Dir. des sorv. des eaux, gaz et électr., T Boniliet, l'ierre, Constr . 156, rue de Vanves, 3, r. Royale, Gand. Paris. T Courcoux, ArcliiL, Conseill. munie, St-Brieuc Côtes-du-Nord. T Boulle, Ing. en Chef des 1'. elCh., Dir. de la Coaip. Gén. Franc. T Courmont, Dr, Prof. d'Hyg. à la Fac. de Méd, de Lyon, M. du des Tramways, 29, rue de Londres, Paris. Cons. sup. d'Hyg.' Publ. de France, H4, quai Gaiileton, Lyon. A Bourg Ain Ville de, M. Berthier, délég. T Couvreux, Abel, Ing. civil, 78, r. d'Anjou, Paris. H Bourgeois, Sénateur, ancien Prés. du Conseil dos Ministres, T Crausaz, S., ing. à Fribourg- Suisse. 3, rue Palatine, Paris. T Cristiani, Hector, Dr, Prof., Dir. du Bur. de Salubr. publ., -2, T Bourguin, Ing. en chef des P. et Ch., Consoil de la ville, Reims, pl. du Bel-Air, Genève. T Bousquet, Architecte, 30, rue de Neufbourg, St-Lô Manche. T Crochat, Jean, cant., Av. de la Gare, Annemasse T Brahy, Jules, Dir. de la distrib. d'eau de la ville, 43, r. de Haute-Savoie. l'Hôpital, Turnhoui. T Cuau, Charles Ing. civ. des M., ,1e la *oc. des Eaux T Brassaud, Georges, adduct. et distr. d'eau, 4, av. de Rambouillet, 10, place St-François-Xavier, Paris, 7". Cottenseau, Lorient Morbihan. T Brocq, François, Maire de Russy par Formigny Calvados. T Dagoury, Dir. du Serv. des Eaux de Dunkerque. T iirosseaud, i h Kntrepr. de peinture, 311, r. de Vaugirard, T Dalechamps, Ing. de la ville, Clermont-Ferraud Puy-de-Dôme. Paris. T d'Andrimont, René, Ing. des Mines, Ing. Géologue, rue ForT Bruère, Samuel, Chimiste, 3, boul. Morland, Paris, gellr' 24, LiéSc' “ A Bureau Sanitaire fédér. do Berne suisse T-° Darreuille, Ing., Dir. de la suceurs, de la Cie pour la tabr. des T Burelle, Pierre, L. E., Administrateur-Directeur de l'Union compt. e' m»lér; d>us' *.Saz, 2AS av. de Saxe, Lyon. mutuelle des propriétaires de Lyon, 90, r. Gasparin, Lyon. -i Dvld L-F- Ing. sanit., Dir. de la Compagnie Claricite, 10, r. de Vienne, Paris, ~t1. A Calais Ville de. M. Mûrie*, Maire délogé. T Daydé'Vrànçois, Ing. du serv. des eaux, 38, quai SI- Vincent. A Calals VI e e" UI'ICtlX¡ aire eguc. Lyon. '1' Calmette, D~. Dir. de 1'1",1. Lille Nord. e T Deblon, Lyon. Armand, Ing. lionor. ,les p, et Ch,,1ng, en chef du T C~nel, In~Dlr. _du Scrv. de la ,"011'10, dos eaux et dc 1 éclair., –––Tl-e'~ Hotel-do-\ il le, Nancy. aS!, K pl k Bruxelles. A Cannes Ville de, le Maire. “ DeWe, Dr. Dovon"de la Fac. de Méd. de Paris, Prés. hon. A CarougeM. le Dir. du Service des taux de, Canton do-Genève du Cons ^Hyff pul1 de Vrance> r La BoHie j, Suisse. da Cons. snl,ér. d'Hyg. publ, de France, r. La Bot;tie, b3, l'aris. T Carpentier, Victor, 1,.B., I, Il 17, Gand. T Defressine, LK. Médecin principal de la Marine, Hôpital SainteT Carrière, v~c or,. I!g" J, A ~'fant. Anne, Toulun \'ar. T Carrière, D' du Bur sanit. lëdér., Berne ^Gtoaiinl K. M., de la maison de Pllugk et de Gioanni, 3, T Cassaigne, Georges, Arch. Madagascar, Agent- Voyer do la ruo de "ondv Paris. Province le Morondava.. ï Deeoix. A. 'luy. civ., Concess. dos Eaux de Maubeosro. 44. r. A Cassis Ville de Bouclics-du-Rhone, M. Gcrvais, délégué, Maïséna Litle b • “. ~°'°,, Dit,. Soc. “ “ T D¿"l~int l~"aul ln de]a Soc- Le ~lclal Dé 1]°"°", ~{ons- T-n Aven. Cavalher, ictor-JIiigo. Adm. Dir. geii. do In Soc. dos Hauts Fourneaux cf t Doliavnill, u i /n l'aul a\ Ing. de la Soc. Le Métal Déployé », Mons- Fonderies de Punl-à-Mousson Mourthe-ct-Mosollc. “. ou-liarœui nj. “ r r. ̃ la Sou. T 1>e Hulster. Alfred, Enlreur. de sondages, 10, r. I-alguicre, Pu Cliabal, H*-m-i, Ing. des A ri et Manuf., Gérant do la Soi-. Paris 11 S ~r. re ~Hl'Cpr. lC mage"" '1..1, .. t' Puech, Chabal et Cie, 34 r Ampère Paris 17-. T Dejust. J. A.. lns. E. C. P., Ing. de la ville de l'aris, Prof, à A Chalon-sur-Saône Ville de Saone-etLoiro, M. le l'Ec. Centr., 51j quai u-AustorlitZ, Paris. A Chàlonssur-Marne Bur. d'Hyg. de la ville de, D1 Dreyfus, T Dciat,a.re, Vndré, Compteurs d'eau, 16. boni, de Dir- r. Paris. T Chalumeau, Ing. en Chci do la Ville de Lyon, 3S, r. Hellecor- y de la Coux, Henri, Insp. de l'Ensoign. teclm. au Minist. du lirre, Lyon. Commerce, av. de Villiers, i-W, Paris. T Chambolle, Ing., Ii, i Castéja, Bordeaux. T oeiaroii. Maurice, App. Sanit. Jacob, Delafon et Cie, 14, quai II Chantemesse, D\ Prof. à la l'ac. de Méd. de Paris. de la Râpée, Paris. A Chantilly Ville de. M. Vallon, Maire, lî, r. Jean-Goujon, T de la Vallée-Poussin, Ludovic, Consul honoraire. 41, av. de Paris. l'Opéra. Paris. T-D Chappée et Dis. Le Mans Sartho. T Delleur, Jean-Henri, Bourgm. do Watermael-Boitsfort, à A Charleville Ville de Ardennes, M. lo Maire. Boitsfort. T Chassln, Entrepr. de Trav. publ., Maire du XX', 151, av. de T de Montricher, H., Ing. civ. des M., Ing. Chef du Bur. des Bagnolet, Paris. Etudes Techn. au Serv. des Eaux de la Ville, 54, boul. NotreA Chatelard-Montreux Ville de Suisse. Dame, Marseille. T de Baczko-wski, Sigismond chimiste-expert, 10, r. ïhimo- T Gerard, Léon, Ing., Ancien Prés. de la Soc. belge des Electr. nier, Paris. 3, av. Guillaume Macau, Bruxelles. T Descroix, Ing-, Dir- de la rev-. L'Eau », 3, r. St-Auguslin, T Gilbert, Jules, Prosper, Ing., Distributions d'eau, Tuyaux Asnières Seine. en fonte ou en acier, 2 bis, r. du Midi, Vincennes Seine. T Desrumaux. Henry, 35, r. Alphouse-de-Neuville, Paris. H Gobin, A., Insp. Gén. honor. des Ponts et Chaussées, ancien 'l' Détroyat. Maurice, Ing. civ., 9, r. de la Néva, Paris. Dir. des Trav. munic. de Lyon, 18, bout. d'Italie, Monte-Carlo T Detry, Désiré, Géom. juré, Cond. des trav. comm., Monceau- Monaco. s/Sambre. 1' Gonin, Noël, Indus! Admini&tr. des fumigators et étuvos T Devrez, V., Comm. du Génie en retraite, Seignelay Gonin, 60, r. Saussure, Paris Yonne. T Gonin, Paul, pliarmac. de 1» cl 60. r. Saussure, T Dienert. Frédéric. Chef du Serv. de surveill. des Eaux d'ali- Paris. mentation de la ville de Paris, auditeur au Cons. Sup. d'Hyg. Pub. T Grandjean, M. G., Dr es sciences, Lauréat de l'Institut, Ing. de France, av. des Sabotiers, Vincennes et 2, rue Lobau, Paris. chef du Service des dérivations et des Etudes d'adductions nouA Dieppe Ville de Seine-Inférieure, M. Tellier. Ing. voyer. velles de la Ville de Paris, 53, quai des Augustins, Paris. T Dimitri, G., Auditeur et Chef-adjoint du Labor. du Cons. Sup. T-D Grandpierre, Charles, Ing. Att. à la Dir., Chef du Serv. d'Hyg. Publ. de France, 52, b. Montparnasse ou 7. r. Victor- Commorc. de la Soc. Anon. des Hauts-Fourn. et Fond. de PontConsidérant. Paris. à-Mousson, Pont-â-Mousson A Direction de l'Edilité de Fribourg Suisse. M. Cardinaux. A Grasse Ville de, M. le Dr Pineau, Dir. du Bur. Mun. d'Hyg- Dir. T Griffon, Ing., 5, r. de l'Hôpital-Militaire. Nancy A Direction gén. des Eaux et Forêts Ministère de T-d Grobet, Dir. des Us. Métall. de Vallorbe Suisse. l'Agricult. de France, M. Dabat, Dir. géu., 78, r. de Ya- T Guermonprez, Georges, C., Ing. civ. Dir. des trav. de renne ou -18, bout. de Latour-Maubourg. Paris. la Commune de Molenbeek-St-Jean, 19G, boul. MoleuA Idem. M- Lié vy-Salvador, Chef de serv. des Etudes techn. de beek-St-Jean Belgique. l'IIydraul. agi" 78. r. de Varenne, Paris. T Guillerd, A., Sous-Chef du Service de surveillance des Eaux A Idem. M. N. Ing. du serv. techn., 7S, r. de Varenne, Paris. d'Alim. de la Ville de Paris, 10, av. Reille, Paris. A Direet. du réseau de Nancy de la Cie gén. des Tramw., T Guïramand, Industriel, 13, r. Bonnefoy, Marseille. Nancy ï Dollfus, Gustave, Collab. princ. à la Carte géolog. de France, T Haura, Gabriel, Dir. de -la Soc. des Mines de Saint-Pierreancien Président de la Société de Géologie, 45, rue de Chabrol, mont, à Mancieulles, par Briey Paris. II Hanriot, D', Membre de l'Acad. de Médec. Dir. des Essais à T Druart, L., Coud. prov-, av. de l'Ecole d'Horticulture. 34, Vil- l'Administ. des Monnaies, 11, quai Conti, Paris. vorde, Belgique. T Hébant, Florent, Dir. de la Cie de salubrité de LevalloisT Dubosc, Louis, Cond. des Trav. Munie, de la Ville de Paris, Perret, 36, av. Casimir, Asnières Seine. 49, av. Trudaine. Paris. T-D Hennebique, Constr. en cim. armé, 1, r. Danton, Paris. T Dufau, André, Dir. des Trav. Com. des villes T-D Henry, Emile, Ing., Secr. gén. de la Soc. anon. des Hautsde Montigny. Samer, Acesne-le-Comte, St-Nicolas-lez-Arras, etc., Fourn. et Fond. de Pont-à-Mousson, 62, r. Caumartin, Paris. 61, r. de Saint-Quentin, Arras. T Herfort, Adm. gér. de la Cie des eaux de Rambouillet, 2, r. du T Dumont, Dir. des Trav. Commun.. Ougrée-lez-Liége. Parc-Cheviron, Sèvres Seine-et-Oise. A Dunkerque Ville de, M. le Dir. du Bureau Munie. d'Hyg.. T Houdry, Ing. P., Adm. de distr. d'eau, bout. Port-Royal, Hôtel-de-Ville. 83, Paris. T Durand-Claye, E. Mme, -250, b. Raspail, Paris. T Houllier, Paul, Ing. des 1'. et Ch., Abbcville Somme. T Darey-Soby, mater, d'incendie, de voirie, etc., T Huart, Henri, Dr, Méd. du Sorv. d'Hyg. de la ville, r. Bolliard, 17, r. Le Brun, Paris. 208, Bruxelles. THuet, Albert, Ing-, Saint-Servan Ille-et-Vilaine. A Eaux-Vives Comm. d' Suisse. T Humbert, Henri, Dir. de la voirie, r. du Jard, 75, Reims A Epinal Ville d' Vosges, M. le Dir. des Trav. Marne. F Equoy, Rédact. en chef de l' Echo de Nancy », 1, r. Saint- T Humbert, Joanny, Ag. -voyer en chef du Départ.' du Rhône, Jean, Nancy. 57, cours Morand. Lyon. T Erckmann. Paul-Emile. Chimiste, 5-2. r. Paris. T Escuret, Ing. Arch. munie, de Chatou. b. Haussmann, Hôpital milit., Bordeaux Gironde. 77, Paris. T Umv, Victor et C", Cons. épuration et filtr. des Eaux, 19, T Gautrez, Eugène, Dr, bir. du Bur. d'hygiène, 41, Cours Sablon, rue Colbrant, à Lille; provisoirement 14, rue Choron, Paris. Clermont-Ferrand Puy-de-Dôme. Il Landouzy, D'. Membre de l'Acad. do Médec, Doyen do la T-D Gens, Paul, de la Soc. an. Belge pour la Fabr. des Faculté de Médecine, 15, r. de l'Université, Paris. Compteurs Meinecke », 351, r. des Vennes, Liège. T Laplace, Ing., 77, Boul. Ilaussmann, Paris. T-i Lapoehn, Adolphe, Représ. gén. de la Cie des Compteurs et T Martinet, Joseph, Conducl. des P. et Ch.. Ing. de la ville, Mater, d'usines à gaz de Paris, Zeefeld, 152, Zurich V. Suisse. 28, r. d'Italie, Chambéry Savoie. T Lapp, G., Pharmacien. Fribourg Suisse. T Martiny. Albert, Ing. des Serv. extér., Monte-Carlo Casino. A L'Arbresles Ville de, Rhône, M. le Maire. T Masson, Louis, Ing. en chef honor. du serv. munie. de Paris, '1' Lartigue, N., Arch. voyer de la ville, r, Jean-Lâcher, 91, Ancien Ing. des égouts et des trav. sanit. de Paris, membre du Tarbes Hautes-Pyrénées. Cons. Supér. d'hyg. publ. de France, 10, r. du Chemin-Vert. A-s Lausanne Ville de, M. le Syndic. • Paris. T Id. Ville de, M. Maillefer, Dir. des Serv. industr. T-d Matliéi. Jules, Ing. des Arts et Manuf., r. T Id. Ville de, M. Paul Rosset, Arch., Direct. des Trav. Claude-Bernard, 61, Paris. T Id. Ville de M. Chastellain, Chef du Serv. des Eaux. T Maukels, Gustave, Arch., Prof. du cours d'Hyg. du Bâtim. à 'l' Leclercq, Arthur, Ing. au Serv. des eaux de la ville, 15, l'Acad. Royale des Beaux-Arts de Bruxelles, r. Ortelius, 5, square Marguerite, Bruxelles. Bruxelles. T-s Le Couppey de la Forest, Max, Ing. des amélior. agr., T Maunoury, Dr, député d'Eure-et-Loir, 26, rue de Bonneval. Collab. à la Carte géolog. de France, Audit, au Cons. super. Chartres Eure-et-Loir. d'Hyg. de France, 86, av. de Breteuil, Paris, 7". T Melchior, D', 18, r. Félix-Faure. Nancy. T Legay, Ing. en chef des Il. et Ch., 4, Cours de Bercy, Moulins T Mercier, à l'Ing. en Chef de la Cie gén. des Eaux, Allier. 52, r. d'Anjou, Paris, 8. T Legris, Dr, de l'Hôpital mixte de Saint-Valéry-sur- T Mesnager, André, Arch. dipl. du Gouv., Arch. de la Ville de Somme Somme. Paris, 5, r. de Rivoli, Paris. A Le Havre Serv. des eaux de la Ville, M. Lefebvre, T-d Metz, Arthur, Ing. Constructeur, 154, b. Magenta, Paris. Ing. Hôlei de Ville, Le Havre. T Metz, Ed., 154, b. Magenta, Paris. A Le Locle Ville de Suisse, Serv. des Trav. publ. A Meurthe-et-Moselle Cons. départem. d'hyg. de; à la T Lemeunier, Richard, Ing. en chef, Chef du serv. de la voir. Préfec., Nancy. de la Ville, r. Vanstraelen, 18, Anvers. T Michel, H., Ing. des P. et Ch., Honfleur Calvados. T Lemoine, Ing. en chef des P et Ch., lng. de la Ville de Lille, T-d Michel, Dir. de la Cie pour la Fabric. des Compteurs Michel", 20, r. Canmartin, Lille. et du Matériel d'Us. à gaz, 18, boul. de Vaugirard, Paris. T Lemoine, Alcide, Ing..ordin. des P. et Ch., Briey M. -et M.. T Milliès, François, Ing. des Arts et Manuf., Chef de circonser. T Le Moulée, Ing,, Chef du serv. des eaux de la ville, 7, r. des au Bur. d'Hyg. de Paris, 15, r. du Puits-de-l'Ermite, ParisJardins, Caen. A Minist. de l'Intér. de Belgique Administr. du Serv. T Le Page Viger, D', Dir. du Bur. munie. d'Hyg., 1. r. de la de Santé et de l'Hyg., M. Velghe, Dir. Gén. Brettmnerie, Orléans. A Idem Idem, M. Hachez, Insp. gén. des trav. d'Hyg. T Lesage, Robert, Archit. diplômé, 5, bout. de Clichy, Paris. II Mirman, Préfet de Meurthe-et-Moselle, Nancy. T Lévy, A., Ing. en Chef à la Soc. du Gaz, 80, r. de Monceau, T Moineau, Arthur, Arch. voyer de la ville. Épernay. Paris. T Mondon, Adolphe, Adm. délég. de la Cie de Salubrité de T Lévy, I-, Adm. Délég. de la Soc. Geneste et Herscher, 49. Levallois-Perret, 170, boul. Antoine Gautier, Bordeaux. r. du Chemin-Vert, Paris. T JHondon Éiuïle, Sous-Dir. de la Cie de Salubrité de LevalloisT Lidy, G., Ing. en chef des P. et Ch., Ing. en chef des Trav. de Perret, 133, avenue Victor-Hugo, Levallois .Seine. la ville, r. Paulin, 91, Bordeaux. A Montbéliard Ville de. A Liège Administr. comm. de, M. Brouhon, Ing. du Serv. T Moreau, Auguste, Distr. d'eau et assainiss., des Eaux. 49, rue des Batignolles, Paris. A Lille Ville de, Bur. d'Hyg. mun. T-» Alorin, Georges, Ing. Attaché au Serv. Commerc. de la Soc. T Lippens, M,, Propriétaire, r. Neuve-St-Pierre, 68, Gand. Anon. des Hauts-Fourn. et Fond. de Pnnt-à-Mousson T Loewy, André, Ing. en chef des P. et Ch., 133, b. Montpar- T Mosny, II', M. de l'Académie de Médecine et du Cours Supér. nasse, Paris. d'hyg. publ. de France, 8, r. de Herri, Paris VIII. T Loppens, Georges, Ing. lion, des P. et Ch., Ing. du Serv. T Mourgues, L., Dir. de la Chambre synd. des Propr. immob. de techn. de la prov., 17, r. du Vieux-Mayeur, Liège Belgique. la ville de Paris, -274. boul. St-Germaii', Paris. T Lossier, H., Ing., Prof. agrégé au Polyt. de Zurich; ciment T Munier, Hip., Ing. -Dir. au Serv. des Eaux de la ville de Dijon. armé, Argenteuil. T Lotz, E., hygiéniste, 2 et 4. r. Félix-Faure, Nancy. A-s Nancy ViUe de, Serv. des Eaux et de la Voirie. T Louche, Emile, de plusieurs communes du Pas-de- T Nancy Ville de, Bureau municipal d'Hygiène. Calais, de l'Aisne et de la Somme, r. Saint-Louis, 64, Boulogne- T Nancy Ville de, M. le Dir. du Serv. mun. d'Hyg., r. Gamsur-Mer. betla, 39. l' Canard et Esmoimet Maison Lucanes, Malér. de A Nantes Ville de, M. le Maire. blanchiss., 12, boul. Poissonnière, Paris. T *ave, Ing., Entrep. génér. de Trav. d'Epur. et d'Assainiss., T Lucien-Graux, D', Rédact. en chef de la Gazette des Eaux et de la v. de Mantes, 7, rue Puvis-de-Chavannes, Paris. Dir. de la Gazette méd. de Paris, Membre de la Commiss. per- A Neuchatel Ville de Suisse, M. le Dir. des serv. industr. man. des Stations hydro-minér. et climatériquos do Franco instit. rte Ia Ville eaux, gaz et électr.. au Minist. do l'Intérieur, 33, avenue Klébor, Paris. T Noël, Ing. E. C. P.. Dir. d'une distr. d'eau dans la Gironde, Cours A Lunéville Ville de, M. lo Maire. Si-Louis, 104, Bordeaux Gironde. T Lunéville Ville de, M. Jacquot, Ing. des Trav. mun. T"D Norberg, Charles, 4, r. Eugène-Labiche, Paris. T Luya, Victor, de la ville, Aix-les-Bains Savoie. Td Norberg, Jean, Ass. de la Maison Berger-Levrault et Cie, A Lyon Ville de, Serv". munie. du la Voirie. 18> r. des Glacis, Nancy A Nord Cons. d'Hyg. du Départ, du, M. Messier, Vice- T Mainfroy, J., de la Soc. génér. de Coneoss. et Prés., 5' Co£* des B»urloir^ Lille Nord. 1 Distr. d'eau, gaz, électr. et de Trav. publ., 3, r. Léopold-Robert, T Nourtier, Édouard, Ing. des Arts et Manufac. et des Arts et Paris. d eau, gaz, e¡eclr. et de 1 l'a v, pub1-, 3, r. Leopold,Robert, Met., Dir. du serv. munie, des eaux deEoubaix et de Tourcoing, T Malégarie, Ing. des P. et Ch., Chef du Service des Trav. publ. j' rue de Paris, Tourcoing Nord. de l'arr. et de la ville de Fez Maroc. A Orléans Ville d', M. le Dir. des Trav. munie., à la Mairie, à T Malette, Gustave, Ag. voyer comm. du Pré-Saint-Gervais. Les Orléans Loiret. Lilas et Bagnolet, 90, r. de Paris, Pantin Seine. T Otto, Marins, Paul, Ancien attaché au Labor. des recherches A Mantes; Ville de Sene-et-Oise, M. le Maire. de la Sorbonne, D'' es Sciences Phvs., Adm. de la Cie Gén. de T Marboutin, Félix, Ing. des Arts et Manuf., Membre du l'Ozone, Chef du Serv. mun. do stérilis. à Nice, 44, avenue du Comité de la Soc. des Ing. Civ. de France. Chargé du Cours de Bois-de-Boulogne, Paris. Salubr. et d'IIyg. ot Chef adj. des Trav. chim. à l'École Centr. T Oustau, Laurence. Insr., Prod. céramiques. Tarbes Hautesdos Arts et Manuf., Sous-chef du Serv. ohim. à l'Observ. munie. Pyrénées 1. de Montsouris, 7, rno Pierre-Nicolle, Paris. T Marcellot, Maître de forges, Maire d'Eurville Haute-Marne. T Panchaud, Charles, Ing., Dir. du serv. comm. des eaux de T Marchadier, Dir. du Labor. munie., Le Mans Sartlie. Vevey-Montreux, r. du Panorama, Vevey. T Maréchal, Paul, Archit. voyer de la ville de Poissy, 219, r. T l'apin, L., Constr. de matér. de voirie et d'incendie, 68, Saint-Honoré, Paris.. dricourt, Paris. t T Margry, Francis, Administr. de la Revue des Matériaux de T Paquet, P., Dr, Inspect. Départem. d'Hyg. de l'Oise, 31 bis. r. construction » et de Chauffage et Industries sanitaires », de Buzenval, Beauvais Oise. 118, boul. Magenta, Paris. A-s Paris Ville de, 6" Commis. des Eaux, Egduts et Assain. T Marié-Davy, F., Secr. gén. do la Com. permanente d'assainis- T id. M. Cons. Munie., délégué. sement et de salubrité do l'habitation, 5, av. d'Orléans, Paris. T id. M. id. id. id. A Marseille Ville de, M. Chanot, Maire. T id. M. id. id. id. T Martel Ed., Géologue, Membre du Cons. super. d'Hyg. publ. de T id. M. id. id. id. France,'23, r. d'Aumale, Paris. T id. M. id. id. id. II Martin, D', Insp, gén, des Serv. d'Hyg. do la ville de T Patigny, E., Insp. des trav. de constr. et d'entre!, des égouts, Paris, 3, r. Gay-Lussac, Paris. 85, b. d'Anderlecht, Bruxelles. T-oPauI, Marcel, Ancien élève de l'Ec. Polyt,, Sous-Dir. de la T Schoofs, François, Pharm., Doct. en méd., Prépar. à l'Instit. Soc. An. des Hauts-Fourn. et Fond. de Pont-à-Mousson, Pont-à- d'Hyg., 86, r. des Guillomins, Liège. Mousson r Schwers, Henri, Dr, 10, r. de Sélys, Liège. T Peigné, ancien Agent-voyer, Dir de la Soc. d'assainis. de Saint- T Seidmann, Dr es Sciences Phys., 6, r. du Ghemin-de-Fer, BourgMalo, r. de Chateaubriand, 6, Saint-Malo Ille-et-Vilaine. la-Reine Seine-et-Oise. T Pellat, Ing. Chimiste, 12, bout. Carnot, St-Denis Seine. A Sénégal, M. le Chef du 1" arrond. des Trav. publ., à SaintT Pellier, Ihg. de distrib. d'eau, b. St-Germain. 72, Paris. Louis Sénégal. T Pendaries, Ing. en chef des P. et Ch., 32, r. de Metz, Tou- A Sfax Ville de Tunisie. louse Haute-Garonne. H Siegfried, J. Député, Près. du Musée social, 5, rue Las-Gase, V Perpignan Ville de, M. l'Ing,-Dir. des Trav. Mun. Paris. T Peter, H-, Ing. der Wasserversorgung, 90, Winterthurer- T Silie, Chef de bataillon, Chef du Génie, Montpellier Hérault. strasse, Zurich, IV. • T Simon, Clément, Dir. de l'us. à gaz de Palaiseau Seine-etT Petit, Joseph, Dir. de la Soc. des eaux d'Épernay, Épernay Oise. Marne. T Simon, Père et Fils, Ing. Arcli., Trazegnios Belgique. T Petsche, Albert, Dir. de la Cie lyonn. des eaux et de l'éclair., T Sinet, Léopold, Ing. Dir. des trav. et du serv. des eaux, r. du 73, b. Haussmann, Paris. Palais, 121, Verviers Belgique. A Piat Les fils de A. et fie, S5,87. 9i, r. St- A-D Soc. auon. Beige Siemens et Halske, r. des PetitsMaur, Paris. Carmes, 37, Bruxelles. T Picart, Dir. du Serv. des Eaux, 15, r. d'Albon, Roanne Loire. A Soc. anon. des Engrais complets, M. l' Piot, Robert, Ing. Chef du Serv. de la Voir. de Lausanne déiég 42, r. Etienne-Marcel, Paris. Suisse Ai. Soc. anon. d'Escaut et Meuse pour la lalir. des T Platon, Chef du Serv. munie, des Tramw. et Trav. publ. de tubes en fer et en acier, Anzin Nord. Marseille, 2, pl. Villeneuve Hôlel-de-Ville, Marseille. A Soc. anon des Elabliss. Durenrie, M. l'oinsat, T Poinsard, Dir. de la Cie des eaux do la Banlieue de Paris, 26, r. du Faubourg-Poissonnière. Paris. 1, rue Pagès, Suresnes Seine. As Soc. anon. des Hauts-Fourn. et Fond. de l'ont-àA Pont-à-Mousson Ville de, M. le Maire. Mousson, Pont-à-Mousson T Portat, Inspect. de la voir. de la ville, Angers Maine-et-Loire. A-d Soc. anon. MétaJI. d'Aiibrivcs et Villerupt, M. le T Portet, Sondages et Forages, 9", rue de la Quintinie, Paris. Directeur, Aubrives Ardennes. T Portevin, Hippolyte, Archit., r. de la Belle-Image, Reims A Soc. du Canal du Verdon, M. Cartier, Marne. Aix T Postel-Vinay. Prés. du Cons. d'Admin. de la Cie gén. de A Soc. commerc. d'Affrètement et de Commission, l'Ozone, 80, rue Saint-Lazare, Paris. 28, r. de Ch&teaudun, Paris. T Pottier, L., Dir. de la Soc. franc, pour l'amélioration des A Soc. des Eaux du Vésinet, M. Ricard, Ing. chef de routes, 1, r. de Liège, Paris. l'Exploit., Le Vésinet. Puthon, Louis, fils, Entr. adj. de la commune de Cln-ne-Bnu- A Soc. Franc, des Compteurs d'Eau, M. E. Woogr, Ing. geries Suisse- Dir., 28, r. de la Grange-Batelière, Paris, T Putzeys, Emmanuel, Ing. en chef des travaux et du serv. A Soc. Gêu. d'Epur. et d'Assainiss., 28, r. de ChâteauJun, des eaux de la ville, 14, av. de la Renaissance, Bruxelles. Paris. T Putzeys, Félix, D', Prof. à l'Univ., 1, r. Forgeur, Liège. A Soc. Gén. d'Epur. et d'Assainiss., -'i6, r. Dubois, Lyon. T Putzeys, Félix, Ing.. 14, av. de la Renaissance, Bruxelles. A Soc. ién. et Unique des Ciments dé la Porte-deT-s Pueeh, Ar mand, Ind., Inc. des Filtres dégrossis. Puech, France. 28, r. Saint-André, Grenoble Isère. Haiamet Tarn. A Soc. des Hauts-Fourn. et Fond de Bayard, par Laneuville, à Bavard Haute-Marne. T Questienne, Paul, Ing. en chef, Dir. du Serv. techn. prov. A Soc. lniiustr. de l'Est, 40, r. Rambetta Nancy. de Liège, r. Sohet, 13, Liège. T Soenen, Alphonse, Ing. de la ville, 9, b. Frère-Orban, Gand. T Ramond Gontaut, Georges, Assist. de géolog. au Muséum, A-D Soivay et Cie Etablïss, Dombasle-sur-Meurthe. r. Louis-Philippe, 18, Neuilly-sur-Seine Seine, A Somme Cons. d'Hyg- départ, de la, M. le Préf., Prés., T Édouard, Dir. du serv. des eaux de la ville, Reims Amiens. Marne. T-n Steinli'eil, Robert, Ass. de la Maison Berger- Lovrault et T Raynaud, L., Dr, Dir. des Serv. de la Santé et de l'Hygiène Cie, Edit., 18. r. des Glacis, Nancy du Uouvern. d'Algérie, 7, place de la République, Alger. A-D Sulzer Frères, Constr., à Winterthur Suisse. T Raynaud, Léo, Ing. Dir. des Trav. Munie, Armentiè res Nord. T Regnard, Ing. civ. des mines, ancien Ing. princ. Je la A Tarare Ville de Rhône, M. J. Bonnassioux. Maire. Cie gén. des eaux, r. Palatine, 3, Paris, 6'. T Terrier, Léon. Ing. des Arts et Man.. Dir. dos Mines le ValleA Remiremont Ville de Vosges, Le Dir. des Trav. déhlg. roV à Valleroy Meurthe-ot-Mosellc. T Renout, agent voyer cantonal, Meulan 'l Thierry, Henry, D', Chef des Serv. Techn. d'Hyg. de Paris et T Reuge, Henri. Dir. de la Fabr. de Prod. hydrofuges du Laborat. d'Hyg. de la Fac. de Médec, Membre du Cons. sup. Andernach, Anvin Pas-de-Calais. d'Hyg. publ. de France, 23, r. Madame, Paris. T Reuss. Georges, Ing. en chef des P. et Ch., Annecy Haute- T Thiry, D1', Dir. du Labor. de bâcler, des cliniques do l'Univ., Savoie. Prof. agr. à la Fac. de Méd., Déiég-. de la 3' Commis. sanit. de T-s Rey, A. Augustin, Arch. de la Fondation Rothsclild, 1, rue Nancy, 49, r. de Metz Nancy Edouard-Vil, Paris. T Thomay, François, Joseph, Ing. des Usines munie, des T Reydellet, H., Dir. de la Coopér. des Propriétaires de la Eaux de Lyon, 11H, Grande Rue St-Clair, Lymi-St-Clair ville de Lyon, 7-2, r. Pierre-Corneille, Lyon. T Thouvenin, Charles, Ing -Arch et Hydrol. de T Risler, Membre du Cons. Super, des Habit, à bon plusieurs distr. d'eau, r. do la Chaîne, 1», et Vice-Prés. de la Sect. d'I!yg. du Mus. Social. '71, av. A Tonneins Ville de Lot-eL-Garonne. Marceau, Paris. A Toul Ville de, M. le Maire. T Robichon, H., Arch, de la ville et Dir. du Serv. des Eaux de A Toulouse Ville de, M. le Dir. des Trav. Saint-Malo Ille-el- Vilaine, ou villa des Marronniers, Saint- a Toulouse Ville de, M. le Dir. du Bur. d'Hyg., G, rue du SéLunaire. néchal. T Roselt, R., 5, chaussée d'Ixelles, Bruxelles. A Tournai Ville de, M. De Geynst, Paul, Ing. de la Ville, quai A Rouen Ville de Seine-Inférieure, M. l' des Trav., Dumon, 6. bureau de l'IIôtel-de-Ville. A Tours Ville de Indre-et-Loir, M. le Maire. H Roux, D', Membre de l'Institut et de l'Acad. de Médec, Dir. de T Traus, Georges, Architecte, r. do l'Arsenal. Luxembourg l'Institut Pasteur, 25, r. Dutot, Paris. Grand-Duché. A Saint-Dié Ville de Vosges, M. Camille Duceux, Maire. t TrélatîGaston. Aud. au Conseil Super. d'Hyg. publ. de France, A Saint-Etienne Ville de, Bur. d'hvjr. munie., 1, rue Blanqni. Dir. de l'Ec. spéc. d'Arch., bout. Raspail, 254', Paris. A Saint-Josse-ten-Noode 'Commune de, M. Temmer- T Trulemans, Henri, Ing, au Serv. des eaux de la ville, 8, Monmann, Ing., Dir. des Trav. tagnc dc jOraloire, Bruxolles. T Saint-Martin, Ing. de la Soc. de l'Accumul. Tudor, 2G, r. de la T Tschirret, Henri, Dir. de la Voirie de Boausoleil AlpesBienfaisance, Paris. Marit., Chef du Serv. d'Assain. S- B. M. de Monte-Carlo, T Salmon, Clément, Ing-Dir. des Trav. de la ville, 19, r. des ruelle du Gazomètre, Monaco. Pelletiers, Bruges. A Samain et Cie, Ing. -Constr., 12, r. Saint-Arnand, Paris. A Uccle Commune de, M. le Bourgmestre. T Sax, Ing. de la ville, Luxembourg A Schaerbeek Commune de, Belgique. T Valabrègue, André. Ing. dos Arts et Manuf., Conceas. de T Schilz, J., Ing. civil, 9, r. du Couvent, Anvers Belgique. l'assaiit. de Toulon, 7, chemin des Sources, Avignon Vaucluse. A Schilz el Levril, Ing. éleclr., r. do la République, Saint- A Valenciennes Ville de, M. le D' Tauchon, Maire, boul. CarGermain-en-Laye Seine-et-Oise. peaux, 35. T Valenciennes Ville de, M. Dugnolle, Industriel, Adj. aux C Chavarria Mora, Nicolas, Ing. civ., Ancien Dir. Gén. do Trav., 3, place Carpeaux. Trav. publ. de la Uépubl. de Costa-Rica, San José de Costaï Valenciennes Ville de, M. Malaquin, Dir. du Serv. des Rica Amér. centrale. Eaux. • H Cole, Thomas, Secretary of the Institution of Municipal and T-DVallet, Ing. de la Soc. anon. des Hauts-Fourn..et Fond, de County Engineers, 11, Victoria Street, London, S. W. Pont-à-Mousson, Pont-à-Mousson C Collin Victor, Dir. de la distr. d'eau de et à Moron de la T Van Campenhout, Ds, 21,r. du Peuplier, Bruxelles. Frontera Provi de Séville Espagne. T Van Ermengem E, ir Prof, à l'Univ., 137, chauss. de Cour- As Commissao de Saneamento de Recife, Ropartiçao de trai, Gand. Aguas o Esgotos, Caixa 83, Recife, Etat de Pernambuco Brésil. T Vanhoey, Charles, Dir. des Trav. do la commune d'Uccle, A Consejo Superior de Salubridad duMexique, Mexico. 127, r. Vondel, Bruxelles. C Cuneo, Niccolo, Acquedotto di Rapallo, prov. de Gênes Ita- T Van Lint, Victor, Dir. du Serv. du nettoiement de la voirie de lie. la ville, 1, quai de la Voirie, Bruxelles. A Cunha, Rentsch et C, Livraria Americana, Porto Alegre T-nVau Loey, Léopold, Dir. de la Compagnie belge, pour la Brésil. fabr. des compt. et mater. Gaz, Eau. Electr., 127, r. des Palais, C Cuypers, Aimé, Dir. de la Cie des eaux de la ville, Salonique Bruxelles. Grèce. T Van Meenen, Julien, anc. Cap. du gén., Ing. sous-chef du C Czarnomski, Wenceslas, Ing. à la Direct, princ. de la naServ. techn. de la Compagnie intercomm. des eaux de l'agglom. vig. marit. et des ports de commerce russes, rue 7e RozdestBruxell., Galerie de Waterloo, 8, Bruxelles. venska, m. 9, logt. 27, St-Pétersbourg. » T Van Meurs, Léon, Ing. en chef des trav. de la ville, 2, r. des Tuileries, lions. C da Silva Freire Victor, Dir. des trav. de la Ville, 18, Caixa, T Van Prooyen Keyzer, L., Adm. de la dislr. d'eau de et à St-Paul Brésil. Namur. C Da Silva Telles, F-T., Dir. des Trav. Munie, de Santos BréT Van Swieten, Adhémar, Ing. Mécan., de la Maison Pante et sil. Masquelier, rue Neuve-des-Thérésiennes, Gand. H-s de Brito, F. S. Rodriguès, Engenheiro Civil, Commissaô'de A Vaud Canton de Serv. san. du Canton Départ, de Tinter., Saneamento de Recife, Caixa 83, Recife, Etat de Pernambuco Lausanne Suisse. Brésil. A Vaud Canton de, Laborat de chim. el de bactér. du serv, C de Kontkowsky, Eugène, Ing. général major, 4, r. Erleloi-. sanit. du Gant., M. le Dr Louis Roux, méd. vétor., hactér. adj., Petrograd Russie. Solitude, 19, Lausanne. C de la Mahotière, Robert, Louis, City Eng., Surawongsc T Vérhas, A., Ing. arch r. du Brochet., 8, Bruxelles. Road, Bangkok Siam ou 95, rue Jouffroy, Paris. T Verhoustraeten, Raymond, Ing. en chef Dir. de la Province, C de Sa Adriano A.. Commandant du Gén., 207, r. Sao Lazaro, 87, Longue rue d'Argile, Anvers. Porto Portagal. T Verraert, Auguste, des trav. de la ville, r. ile Berlin, C de Siqueira, José B., Dr, Engenheiro Civil, rua Marques de ̃>0, Ostonde. Itu, 81, Sao Paulo Brésil. A Versailles Ville de, M. le Maire, délég. H de Timonoff, Prof. à l'Inst. des voies de commun., Dir. des T Versailles Ville de, Auvray, voies de comm. du Distr. de Pétrograd perspective ZabalT Verstraeten, Th., Ing., Av. du Longchamps, 256, Uccle kansky, 9, Petrograd Russie. Bruxelles. C Doynel, Carlos, de la Distr. d'eau de Sucre Bolivie, A Vevey Commune de. T Vialla, André, Ing., r. Godot-de-Mauroy, 21, Paris. C Ferreira da Costa, Arch. do Governo, Lourenço Marques. T Vibert, Ing. des P. et Ch., 4, quai de Seine, l'aris- Afr. Or. portugaise. A Vienne Ville de Isère, M. le Dir. du Serv. de la Voir. c-d Fuller, G. W., de la firme Hazen, Wipple et Fuller, 30, East, délég. 42, N. D. Street, T Villain, F., Ing. au corps des mines, 57, rue Stanislas, Nancy A Gabinetto d'idraulica della R. Scuola deglingegneri. A VÏDet, Goiltraml et Cie, Entrepr. de distr. d'eau. 25, r. de Roma Italie. Chazelles, Paris. C Gallego y Ramos, D. Eduardo, Ingeniero, plaza Isabel II, T Vinot, Paul, cant., Dir. de la voir. et des eaux de 5, Madrid Espagne. la ville, Hcricourt Haute-Saûne. C Guidi, Jose, S., Ing. du Gouvern Casilla Correo. n» 1-426, BueT Vinsous, Ing. des Cons. Civiles, 8, rue Euryale-Dehaynns, Paris. nos-Aires Rép. Arg. 'l' Vittoz, John, des Trav. delà Commune des Planches- C Guilhem, Eugenio, Ing. des Arts et Manuf., Vice-Dir. dos Montreux Suisse, Trav. de la ville, 19, rua Vergueiro, Sao Paulo Brésil, ou A Vosges Commis. sanit. de la première circonscr., 19_ place Grammont, l'au France. Epinal. A Vosges Conseil d'Hyg. du départ des, Epinal. A Haarlem Ville de, M. le Bourgmestre. C Halbertsma H. P. N-, ancien Dir. des eaux. gaz et éleetr. de T Weiss, A., Dir. du serv. munie, des eaux et de la voir., Mont- la ville de Wiesbaden, Dir. de la Soc. d'entreprise et d'exploitaluçon Allier. © tion des services municip Emmalaan, 3, Utrecht Pays-Bas. T Weissmann, Ing. des Const. Civ., Adr. Dél. de la Compagnie H Hazen, Allen, Consult. Eng., 30 Easi, 42 N. D. Street Newfrançaise pour la construction des Perles élect. Weissmann, 218, York. rue du faubourg Saint-Honoré, Paris. C Huffnagel, Philip, Dir. du Serv. des eaux, Prinsses JuliaT Widal, Ing. à la Heenan et Froude C. Ld, 62, rue Saint-Lazare, nalaan, 94h, Rotterdam. Paris et 21, rue d'Eaubonne, à Sannois. T Wilmart, J., Chef de divis. Sorv. de l'IIyg. à l'adm. comm. A-s Intendencia Municipal de Pelotas, Rio Grande do de Bruxelles, 271, av. Van Volxem, Forest-Bruxelles.. Sul Brésil. M. Jose Barbosa Gonsalves, Ingénieur. C Ivanoff, Venceslas, Prof. à l'fnst. PoJytechn. de Kiew A Yverdon Commune de. Russie. C Karlson, August, Ing. du sorv. des trav. publ. de l'irrig. et des distr. d'eau du Gouv. du Transvaal, Pretoria Club, Preto- Membres des pays autres que ceux ria Transvaal. de langue française C Magnocavallo, Louis, Ing., Chef de Sect. au Minist. des C Baginsky, Louis, Ing. de la ville, Dir. de la distrib. d'eau, Trav. publ., Calle 25 de Mayo, 104, Montevideo Uruguay. r. Marienstadt, 1, Varsovie Russie. C Maignen, P. A., Filtration engineer, 52 N. 13 th Street, PhilaT Bertola, de la Cie franç. pour la fab. des Comp- delpliia, Pa., Etats-Unis. tours, Corso Regio Parca, 19, Turin Italie. H Mason, William, P., Renselaer Polyt. Inst. Department of A Bibliothèque des Travaux Publics, Loanda, Afrique Chemislry, TroJ N. Y. d'A. occid. Pd-rtugaise. C Mateïscou, Constantin Sc., Ing. des P. et. Ch., Ing. du C. Bryce, P. H., Chief Medical Officer, Dept. Interior of Canada, serv. munie- de la Ville de Craïora Roumanie. Ottawa Canada. C Menjon y Arribi, Fidel, Ing., Dir. du Serv. munie, des Eaux, C Busactli, Edoardo, Ing., Dir. de la dislrib. d'eau, Oristano Bilbao Espagne. Sardaigne. C Nadcïne, Mitrophane, Pétrowilsch, Capit., Fabric. C Carcavallo, Cayetano, Ingeuioro, d'hyg. sanit. à d'appar. san. Fontanka, 53, Petrograd. l'Ecole des Ing. de Montevideo, Calle Paranà, n» 22, Montevideo C Neut. Georges, Ing. en chef de la Sect. techn. de la Empresa Uruguay. de agua potable, Casilla 1257, Santiago Chili. C Chaînon y Triana, Ing.. Fabric. de Compt. à gaz, 48, Car- relera de Sarria, Barceloiia Espagne. H Pagliani L, Dr, Com. Prof, à l'Insl. d'Hyg. de l'Univ., Turin. H Pelletier, Elzéar, Seer. du Cous. d'Hyg. de la prov. U Shirley, Murphy, Dr Medical Officerot Health of thé London de Québec, Saint-Gabriel, 76, Montréal Canada. County Council, St-Martin's place, S, London, C. C pellizari, Angelo, Ing., Agente Générale per l'Ilalia délia Com- C Soldati, Ing. Roberto, via Ospeilale, 24, Turin Italie. pagnie d'Entr. de Conduitos d'eau de Liège, Via délia Pedacchia, C Spear, Walter E,, Civil Engineer, Dopartment Engineer Board lett. A, Rome ^Italie. of Water Supply of the City of New York, 250; Wèst 54tli strcet, C Pezanôs, S- E., Ing. Dir. des Trav. publ. de Crète, Chevalier New York City Etats-Unis d'Am.. de l'Ordre du Sauveur de Grèce, La Canée Grèce. C Stratos, Georges, Ing. en chef du Gouvern., r. Vossyla, 10, Athènes. C Raule, Oddone, D', Offîc. sanit., à Adria Rovigo Italie. 11 Kichert, Gustave, J., Prof- a l'Ecole polyt. ettng. civ., Biblio- G TraverSj Charles D-, Supcrintendont Sanilary Dept., A. I. S. theksgatan, 9, Stockholm Suéde. E., m. 1. H., M. R. I. P. H Municipal Buildings, Dublin C Ringeling, H. G., Dir. du serv. saint, munie., 441>Groene- Irlande. burgwal, Amsterdam. C Trechcinski, Marcel, Ing.. r. Krucza. Il, Iofrra. Krucza, Il Roechling, Alfred, Consult. Eng., 14, Howick Place, A u-lona 40_ Varsovie Russie. six- Westminster. London. S. NV. C W?î%8 Ol y feStr8' Di" rl" S"V ''° la Y°iri" 7' SOrran"' C Van Erven, Louis, W. chez MM. F. Brieniel et C>% rue Nova. \ladrid Espao-ne, C Van Erven, Louis, D', chez \4DI. F. l3rigwiel et Ct°, ruc Noya. Madrid Espagne. do Ouvidor, 14, Rio de Janeiro Brésil. Vill C Vidaur, Manuel, Dir. du Bur. d'IIvg. de la Ville de San l Saragosse M. Narciso Masoliver, Ingemevo dan Espagne. C Satbévitch, municipal. Alexandre, Prot. ai Acad. dos Ing., H Villanueva, G., Dir. de la Obras de Salubridad, Bnenos Ayrcs. ̃> C Satkéviteh, Alexandre, l'O.' ca dos Ing., 0 one, 35, Basseinaja, log. 6, Pelrograd. C Serras e Silva, ï>r, Prof. d'hyg. à la Fac. de Méil., Coïmbva C Tpeïj, Léonard, do la distr. d'eau munie, La Haye Portugal. Hollande. Lrisfce Générale des Membres classés par Pays et par Villes. 1° PAYS DE LANGUE FRANÇAISE BELGIQUE Lippons, M. FltAXCE Deauvais Oisr. Soenen, A. ,c.. D' Paquet, P. Anderlecht Van Ermeneem, E. Ahbevtlle Somme. £ Commune de. Serv. des Eaux. Yan Swieton, A. Ilouillet, P. n- f°', /?/"n- Ixelles Ville de, Bur. d'hygiùno. \ Mie de, berv. dos eaux et de Bur. d-hyC. de'll^ de, M. J. Sohcsl. Aix BoacJies-du-Bhonc. l Al v°^' Mélias/Cliefdebur.. Liéqr Soe. du Can. du Verdon. -». Besançon Doubs. Dir. des Trav. comm. d'Andrimont R Ville de M. le Maire dél.. Lab. de Géol. del Umv, 4n l'linOn. l' nier, Prof Kemna. R DKU n ci"e g,nér des cond Aix-les-Baius Savoir. mer' ro1- Lemeumer, R. d'eau. LlIya, V. Bordeaux Gironde. Sehilz, •- Gens. P. Soc. an. des compteurs ̃ Chambolle. ïerhouslraeten, R. “ Meinècke Ajaccio Corso,. Commis. sanit. de larrond. Arlon Iioppens, G..Tannin, L. Gaden, M. .Jun"'els II. Pulze,s, F. rltniens SOrntncl. Lambert. C,JL1esl1ennc, p, Lldy. G. “ B°ilSfOrL r°ftl FI UmmeTà.™. d'Uv^. dép* do Delleur, J II \r i,, Pr*r»i" \'ille -Moel. l'adjoint an Atairr Bruges Ville de lM" B™uh™ VUiè de M Ville do. M. l'adjoint au Maire ri » Louvain a ille ,,i- r ̃ délègue pour les Trav. publ. – Salmon, Cl. urnsdiu. Angers Maine-et-Loir.. . 1™ section. Bruxelles et Faubourgs • Portât. Ville de M. Meynard, Ing. du Anciaux. G. Alolenbeek-Sl-Jean. Ville de, Bur. d'byg. Serv. des Eaux. Beco, E.' Guermonprez, G. C. Annecv Haute-Savoie. Boulogne-sur-Mer Pas-deBidlot, E Monceau-s/Sainbre. Reuss Ga Calais. Compagnie intercom. des Eaux. Dl. D iteuss, t» r w '̃ Detry, D. ylafle^asse Haute-Savoie. L°uc ie- E- Deblon, A. /1/oh. L- Bayard {Ilauln-Marnf. D' Dreyfus, Dir.. Cobbaert, E. Vilvordi; Soc. des Hauts-Fourn. et Fondp Chambéry Savoie. Couue, G. Druart, L. de Bayard. Martinet, J. Chtntilly Seiae-ct-Oise. Lyoii Rhôue. Baratte.. Olto, Dr. Ville do, M. Vallon, Maire. Bonnet, Ed. Baudet, L. Papin, L. n, Burellc P LE Beaunenne. Paris 5 m. de !a 6e Couun. Cliarcnlon Scme. chalumeau Bechmann. Pellier. Assoc. des Propriétaires de Glia- Courmont Dr Berger-Levrault et G". Petsclie, A. renton M. Laneyrie, Paul, Darfeuille Bergeron, J.. Piat Les Fils de -A. et C!l. Prés.. Daydé F Bezault, B. Portet. Chavloville Antennes. Humbèrt.'j. glétry C. Postel-Vinay. Ville de, M. le Maire. Reydellet, II. II Boe Ucher.. ^ardCII ~1. le Maue. Serv. mun. dela Voir. Bonjean Kegnard, G. II. Chartres Eure-et-Loir Soc. Gén. d'Epur. et d'Assainiss. Bonna, A. Hey. D' Maunoury. Tliomay, F. J Bonnean, G. Risler, G. H. Bonmer, Roux, D'. Clermont-Ferrand Maisons-Lallitte Bordas. Saint-Martin. Puy-de-Dôme. Seinc-et-Oise..Boreux. Samain et Cie. Daleckamps Compag. des Eaux M. le Dir.. Borne, D'. Seidmann. Or Qautrez Péroux. Bouillet, P. Siegfried, J. Clichv l\f-,nn;n,illn^ >-̃»,. Rnim, Boulle. Soc- an. des Engrais cumplets. Doiuhaslc-sur-Meurthe Compagnie des mines de Maries. Compagnie des mines de Maries. Trélal. G. Wpnrlhfl i-l MrKollA e, m ̃ Gompag. ferai, de l'établis, ther- Vialla, Meiinne-LL Moseue. Marseille mal de Vichy M. Guérin. Vibert. Société Solvaj'. Bouches-du-Rhôue. Compagnie gén. de l'Ozone. Vinet, Gontrand et C°. Dreux Eure-et-Loir. Ville de, M. Glianot, Maire. Compt. des Tuyaux de grèsfranç. Vinsous. I3esnard, de Montrieher. Cottarel. ",elssmann. BeS""d- ,v “ Smalnaher- A. ZÏÏT™Dun^jue^ord. n ^F. Pau Bssses-Pyré,^. ~ David, L. F. Pau Basses-P~uenW si. Ville de, JI. le Dir. du Bur. Mazamcl \larn. Debove, D. Escurot. munie, d'hygiène.. Puech, A. de Gioannï. Perpignan Epernay Marne. Meulan SvJne-ct-Oiso. DeiSw0' Pyrônécs-Oriunlales. Moineau, A. Renout. Delaba'rre, A. Ville de. M. ring. Dir. des Trav. lJelil, J- Mons-en-Barœul iJS'ord. de la Goux, H. Pool-à-Mousson llpioal Vosges. Dehaynin, P. ?ol,af ^r- l'Arch. Tir. dos Chausse, H. C. Soc. Ind. de l'Est. Job. Trav. Serv. des Eaux de la ville dei, Slemheil, R. Kohn-Abrest, Rvssv iCalr?dn\ M. Lefobvre. Ing. lhiry. D> Landouzv. IX “ v l" Villain, Fr. Laplace Le Mans banne. Ville de, Serv. des eaux et de Lc Conppev de la Forest. M. Suint- ̃im/'iid-Wontroml Ghappée et Iils. ta voirie. Lesao-e, R." lf^hor\ Marohadior. Idem, M. le Dir. du Serv. Mun. Lévy° À. Aurov l^iierj. Le Vésinet Seine-et-Oise. s^ille de. THinl-Bricuc Côtes-d, Le ' Idem Ville dej.. 10 ;1, .~nlttt-lirlcttc G'titex-rl, Soc. dos Eaux du Vésinet. y i ̃»!̃ H V,w l\ Levallois-Perret Seine. Nantes Lou-e-Internore. ft^VJa'rd et Esmonnet. courcoux Mondo», E. \i!ledo,. Lucien-Graux, ™ Lille fYottl. 1~'ettilly-sttr-Seille .seine. 'IalUfro~, J., P Il 1 Scittrt. 1 Bluzet, B. "-larboullll, 1-, Pellal. Calmette, D~. Ramond Gontaut, G. Maréchal, P. Soc. An. L'Aster 11. Gue" ¡¡.r, JI- Camille Duceux, du, M. Messior, Vice-Prés. Orlcans Loiret. Masson, L. -Mai™- Ville de, Bur. d'byg. mon. Le Page Viger. D' des Trav. Mathéi, J. Saint-1-SUenne Luire. Lorient Morbihan. • le »'• *» T'- M- A> vato de, Bu, Brassaml, G. c. ~uunie. Vlesnager, ~1. '1 de, Bur. .“““, Claude, F. F. Commune des. îndusti. ue la Mlle. I,Det-rossinMFai- L. Ci^rd-Vo,^».- apobe, ™°'>» ~L G'onslantine. Î'ïlle de. Grobet. Toulouse Haute- Garonne. { h Eaux-Vices commune de. Commune de. Boi-jeaut.. MADAGASCAR Chéne-Bouyeries. Panchaud, C. l'endaries. Morondava. Pulhon, Louis, fils. Winlerthur [ iile de\ M. le Dir. des Trav. c TSi'ïhmi i*n f T/VHn rln\ c Id.. M. le Dir. du Bur. d'Hvs. ^ss,ai£ne, t. T. 1- 1 ibouicj Ville de. Sulzer frères. “ ii^»^ innivriiurTc Tkd Adiiun. des Baux el ïorets. Foréts. y,r,i,in Toureoing iVord. ~IONACO PIW ctrAUa'É DE! lrirection des E.'?Ux ~'t-tr'C101t. Tourcoing Nord. bosaco [WinciPAOTE DE Direction do TEdiLité. ,“ litit/oiJ. Nourtier Ed Monte Carlo. Crausaz. Commune de. “ T Gobin. A. Direct. de la Police et do la Zurich, lours Intlrc-et-Loir. Martiny. A. Santé pnbl. du Canton. Lapoelin. A. ̃M. le Maire. Tsohirret, H. Lnppe, G. Peter, II. II» AUTRES PAYS Angleterre cosTA-RicA • Italie Lourenro Marques. Dublin. San Jnsô Arlria Rovigo. Ferreira da Costa. Travers, Ch. D. Cliavarria Mora. X. D' Raule. Oddone. forte. Cole. Londres. ,,“. ,t Oristano. de Sa, A. A. AUGENTINE Cole. Th. t!>l *l->t Bitsachi E BEVCBLIQBE ARGE2ÏTIAK Wd!-lèvmM D' Barcelone. fanpalo Gênes. Bucnos-Aires. • Cuamon y Inana. Cunen A' r>ênes. Guidi. ̃. S. BOLIVIE BWmio. Romc Villanueva, G. “ .Sttere- llenjon y Arribi, F. Gabinetto dldrauiica délia H. HODMAKIE Hoynel, Carlos. Madrid. Scuola dcgT Ingegneri. Crsïovo. BRÉSIL Gaîlego v Ramos. D. E. Pellizari, A. Maleïescou. Constantin Sc. Pelotas Rio Grande do Sul. Ro=e!io So1 iIret- Turin. RUSSIE intendencia municipal M. José Moron de lu Fronlcra. p" r K'ew Barbosa Porlo Gonsalves, Alegrc. Ing.. Collin, V. Sun Sébastian. Soldati MEXIQUE Ivanoff. Y. PelrograJ. Porlo ~9legre. Sm .5rlïrsiin. pIE!CIQUE l'et'opr,til. Cunha, Rentscb. et Ci'. Vidaur, M. Mexico Czarnomski, "\V. F Saragotse. Consejo Superiôr de Salubridad. de Tin'o'noS1 Commissâo de Saneamento. Ville de, ii. NarcisoSIasolivor. .1 1 Nadéïnc. M P. de Brito, F. S. R. FT4TS-UKIS PAYS-BAS Satkevitcli, A. Bio-de-Janeiro. v~ \i." Amsterdam, Varsovie. Vr-n Ervcn, L. “ Rimreling. H. G., Dr. Bamnski, L. Santos. tt Harlem. TrSohoinski, M. ho Silva Telles. Spear, AV. E. Ville do, M. le Bourgm. SIAS1 Saint-Paul. Philadelphie. La Haye. Bangkok. lia s-ilva Freiré, V. Maisnen. P. A. Vpeii, L. > à toutes les questions sociales, pourra servir de Divers 14 i `?a modèle lorsque, bientôt, on relèvera Its ruines TOTAL égal.. 961 05 accumulées par les barbares dans nos départements envahis. Or, qui de 261 fr. 60 retranche 261 fr. 05 trouve La Section parisienne a, de la sorte, continué de 0 fr. et donc, c'est avec un encaisse de 0 fr. 55 maintenir haut et ferme le drapeau de l'Association que nous avons ouvert l'année 1910. C'est peu, à laquelle les circonstances interdisaient de réunir œais c'est beaucoup, car, sans l'aide géuéreuse et son Congrès annuel et démontré, une fois de plus, spontanée d'un voisin, qui m'en voudrait de le l'intérêt que présentent les sociétés comme la nôtre nommer, nous aurions clos l'exercice avec un où techniciens officiels et techniciens tout court se déficit égal aux dépenses entraînées par la séance groupent et se pénètrent, pour le plus grand profit extraordinaire de la Sorbonne –0 Fr. 55! Quelles de la collectivité. seront nos recettes? Je l'ignore encore, mais j'ai Les Pouvoirs publics ont compris cet intérêt. Ils tout lieu de croire qu'elles seront au moins égales viennent de nous en donner une preuve précieuse a celles de 19ig; en dépit des 6 francs économisés en accordant leur haut patronage à l'Exposition de sur notre dos par la suppression des quatre cotisala Cité reconstituée, dont la première idée naquit, tions que je n'ai pu me retenir de signaler, car des je suis fier de le rappeler, à l'une de nos séances. adhésions nouvelles ont été recueillies qui doivent, Mais, si les Pouvoirs publics l'ont compris, telle sauf erreur à rectifier par notre excellent trésorier, puissante Société semble l'ignorer. Bien modeste- porter le nombre des membres de la Section à 170. ment, auprès d'autres, cependant moins riches en Elle en comptait 168 en sa première année 1914, bénéfices, elle subventionnait notre Association 164 en 1915 elle en comptera sans doute 170 en des 100 francs, montant des cinq cotisations qu'elle I91g Sa croissance est lente, trop lente à mon versait pour ses ingénieurs. Or, elle a avisé et sens, et je voudrais faire partager cet avis aux réavisé notre pauvre trésorier que, par raison fidèles de nos séances. IL leur serait si facile d'y d'économie sic, elle supprimerait quatre de ces attirer ne fût-ce qu'un adhérent chacun! 1 cotisations à partir de 1916! C'est sur cet espoir et cette prière que je termine, Enfin, que voulez-vous, mes chers collègues, il mes chers collègues, mais non pas sans saluer, en n'est pas, dit-on, de petites économies; mais, votre nom, notre cher et vénéré président, M. Bomalgré tout, il l'avoue humblement, c'est un pré- reuXj dont tous nous regrettons la retraite. cepte liardeur que votre secrétaire aura bien du mal à pratiquer dans l'administration de notre Le Secrétaire de la Section parisienne, budget cependant bien petit! S. BRUÈRE. L'Hygiène et le revêtement des sols. Par M. Arthur METZ L'hygiène est la science qui traite de la conser- à Bruxelles, en 1876, a examiné la question du vation de la santé, ou, en d'autres termes, nous revêtement des sols, et il a conclu que Le pavage apprend à régler la vie de l'homme de manière à des rues doit être uni et aussi imperméable que assurer l'exercice régulier de ses fonctions, et le possible, pour faciliter le nettoiement et empêdéveloppement complet de toutes ses facultés. cher la contamination du sous-sol. » Le Congrès réunissant les hygiénistes de l'époque Nous allons examiner jusqu'à quel point les principes ainsi exposés par les Congressistes ment de la chaussée, était d'un beau jaune, est de 1876 ont été appliqués. devenu une boue noire mal odorante. Sans remonter au déluge, ce qui nous mènerait L'asphalte. Dans cette situation, il y a une un peu loin, nous examinerons en quelques mots cinquantaine d'années, M. Mérian, ingénieur disles différents revêtements en usage depuis un siècle tingué, a réussi & faire dans certaines villes des environ, et leurs qualités respectives. applications d'un revêtement nouveau réunissant Le revêtement du sol, employé d'une façon gêné- touteg les 1Ués exi éeg par l'hygiène. Ge revê_raie, était alors ou l'empierrement pur et simple, tement était à base d'asphalte. ou la chaussée pavée. L'asphalte se trouve en France, dans la IlauteLe macadam. John Loudon Mac Adam, Savoie l'Ain, le Gard et le Puy-de-Dôme. ingénieur écossais, a inventé et appliqué en Pour le revêtement des sols n en contact 1820 le macadam, qui consiste dans un empier- aveC une tractlOn mécanique quelconque, les trot- rement particulier composé de- cailloux de gros- tIoir8> ?ar exemple, l'asphalte est mélangé d'un peu seurs différentes, amalgamés avec du sable de gravier de rivière, et, fondu, est ensuite appli- amalgamés avec du sable que sur la partie à recouvrir. '~umide. 0 qué sur la partie à recouvrir. Les chaussées macadamisées occasionnaient dans Ce revêtement est imperméable. Pendant les les commencements des frais énormes d'entretien, grandes chaleurs, il a parfois le défaut de se ramoll'on j lir sous le pied des personnes qui circulent, mais, par la nécessite où l'on se trouvait de remplir lir sous le pied des personnes qui circulent, mais, promptement les ornières qui se produisaient à à part cela, il a un très grand nombre d avantages, promptement les ornières qui se produisaient a v part cela, Il a un ° grand nombre d av~n ° de les notamment, lorsque des travaux souterrains sont chaque passage de voiture, tant que les matériaux H des souterrains sont ne se trouvaient pas convenablement tassés. Mais, à faire, de se découper, de s enlever, et, lorsque le ne se trouvaient pas convenablement tasses. Mais, v Mac Adam remédia à cet inconvénient en faisant travail est fini, de pouvoir se refondre avec une Mac Adam remédia a cet inconvénient en faisant trav~tl est une passer plusieurs fois sur toute la surface un rouleau partie de matière neuve additionnée de bitume, et passer plusieurs fois sur toute la surface un rouleau de fonte d'un poids de 8 à 9 tonnes, qui forçait les de reprendre sa place primitive. pierres à s'enchevêtrer les unes dans les autres, et Les frais de premier établissement sont evidemà immédiatement ̃ ment plus élevés que ceux de la terre battue, mais à prendre immédiatement leur place. H et, en T j, 1 entretien est beaucoup moins coûteux, et, en Les anciens d'entre nous se rappellent certaine- ment les grands boulevards ~l j j somme, le sol ainsi revêtu constitue un bon sol ment les grands boulevards revêtus de macadam d'après ces principes; tous nous pouvons voir pour piétons. encore, le long de la Seine, dans les grandes ave- Les joints entre les parties anciennes et les parT ,-j j ties nouvelles sont très apparents au début, et ce nues, et même place des Invalides, l'emploi du sys- ties nouvelles sont très tème Mac *d n est que plus tard que, perfectionné, un procédé nouveau dont nous parlerons tout à l'heure a obtenu inconvénients. – Ce revêtement est certainement des joints invisibles. économique comme frais de premier établissement; D'autre part, pour le revêtement des chaussées mais il est excessivement onéreux au point de vue sur lesquelles circulent des véhicules de toutes de l'entretien, et, en tout cas, il n'est pas conforme formes et de tous tonnages, l'asphalte s'emploie aux conclusions des hygiénistes réunis à Bruxelles sous la forme de poudre appliquée chaude, et en 1876, attendu qu'il n'est pas imperméable, que, qui est comprimée au moyen de pilons et de roupar conséquent, il ne facilite pas le nettoiement, il leaux.. n'empêche pas la contamination du sous-sol, et il Vous avez tous, Messieurs, assisté à l'établisseengendre une poussière excessivement désagréable ment de chaussées de ce genre, qui, si elles et nocive. n'étaient pas très répandues il y a quelques années Contemporain à l'empierrement ordinaire, le dans Paris, ont pris récemment une grande pavage en pierres de dimensions régulières, posées extension. sur base de sable, était employé concurremment Le Conseil municipal a fini par comprendre avec le premier système, que, si les hygiénistes de 1876 avaient demandé Ce mode de revêtement se rapproche un peu de que le revêtement des rues soit aussi uni et aussi la formule des hygiénistes de 1876. Le premier imperméable que possible pour faciliter le netétablissement était beaucoup plus cher que l'em- toiement et empêcher la contamination du souspierrement et le macadam, mais l'entretien est sol, c'est qu'ils avaient des raisons importantes relativement plus faible. Seulement, les joints qui pour cela. séparent les pavés entre eux laissent passer toutes Les revêtements répondant également aux exiles infiltrations, de telle sorte que, souvent lors- gences de l'hygiène sont les applications du ciment qu'on fait un relevé de pavés, ou qu'on déplace le sous toutes ses formes, telles qu'on les pratique pavage pour des travaux souterrains, on constate dans certaines contrées de la France, dans l'Est, que le sable qui, en principe, lors de l'établisse- particulièrement, et dans le Sud-Est. Des ouvriers spécialement exercés à ce genre l'humidité reste dans les pavés, qui pourrissent d'occupation arrivent à produire des travaux excès- avec une très grande rapidité par leur partie infésivement appréciés. rieure, celle touchant le béton, et cela s'explique, car l'eau reste sur le ciment, baigne la base des “ en bois. Au même moment où pavés et pourrit les fibres du bois. C'est ainsi qu'un Pavage en bois. – Au même moment ou f l r» i an- îour, on pouvait voir un pavage qui semblait 1 asphalte comprime a ete employé a Paris, les an- ,“ comprimé a été employé à les normal, subir tout à coup un airaissement cest ciens d entre nous se rappellent t le i premier essai parce que, la base à coup v un affaissement c est » parce que, la base des paves étant rongée par lhu- de pavage en bois qui a été fait sur les grands bou- r l chargement les i j i i • j j. u midite, te moindre chargement les écrasait imme- levards, alors macadamises, au coin du faubourg diatement. s Montmartre, devant l'établissement Brébant. diatement. C'est une Compagnie anglaise qui a procédé à ce Yoilà donc en peu de mots la revue de quel_travail. Nons nous le rappelons fort bien, et nous ques-uns des revêtements les plus appliqués les allons décrire ce que nous avons vu alors. empierrements, le macadam, le pavage en pierres, Sur cet emplacement, les cailloux formant l'an- pavage en bois, application de l'asphalte comprimé, cien sol ont été enlevés sur une profondeur d'en- b viron 45 centimètres. Une fois cette préparation faite, le fond du sol a été battu très énergiquement, je ces divers revêtements, il n'y en a réellement et une couche de béton de 23 centimètres d'épais- qu'un qui ait donné satisfaction aux hygiénistes seur a été établie sur ce sol battu. Une chappe en c'est l'asphalte, qui constitue un revêtement imperciment, séparément établie, recouvrait ce béton, méable. Mais, vous avez pu constater que, si ce sur lequel ont été posés des pavés en bois dur revêtement est hygiénique, il a le défaut d'être ayant 20 centimètres de hauteur. glissant, et de causer souvent la chute des che“ vaux et même des personnes et que par suite il est Cette première application a eu un très grand A,° impossible de 1 emplover sur un sol en pente. succès, car il est évident qu'entre le revêtement “, “ D autre part, son entretien nest pas facile, la voisin en macadam, avec son cortège dépoussière “ macadam, moindre flache oblige a l enlèvement total de la et et de boue. avec ses cantonniers munis de petites t, ̃ i • -i ̃ partie usée qui doit être remplacée complètement. raclettes, qui, toute la journée après le mauvais r T ,iiii mauvais La solution élégante était donc 1 asphalte non temps, tiraient te sable le long des caniveaux pour “ glissant et facilement réparable. Nous le trouvons le faire sécher, et le nouveau pavage, qui semblait ° innn i .L u “ “ ,.“. des 1900 sous le nom de granit-asphalte, un moelleux tapis a cote, il y avait une différence des 1900 sous le nom ° r énorme. Plus tard, le pavage en bois s'est généralisé. On Le granit- asphalte. – Au lieu d'être simen fil des applications importantes. D'abord le tra- Piment fondu, l'asphalte entrant dans cette comvail, coQllé à des entreprises sérieuses qui avaient binaison était cuit à une température importante, à leur charge l'entretien moyennant une redevance et mélangé pendant sa cuisson avec du gravier de annuelle par mètre carré, fut très sérieusement granit, qui ne formait pas un simple mélange, mais fait, et l'on pouvait a ce moment dire que le pavage une combinaison donnant au granit-asphalte des en bois, très bien entretenu, malgré sa porosité qualités absolument spéciales, et l'une des plus imrelative, était un excellent revêtement. portantes était sa dureté de résistance exceptionMalheureusement, ce système de l'entretien, qui nelle> de complète immunité contre le ramollisseétait pourtant rationnel, et qui obligeait les entre- ment à la chaleur, et d'être inattaquable aux corps preneurs à exécuter leur travail d'une façon solide Sras- ce qui est un avantage considérable. et sérieuse, ne fut pas conservé. Depuis, la Ville de Paris exécute elle-même la fabrication et la pose Pour le revêtement des chaussées en ce granitdes pavés en bois asphalte, on établissait une fondation en béton comme pour le pavage en bois. Sur ce béton, était Inconvénients. – Le pavage en bois n'est pas coulée au préalable une couche d'asphalte et de indiqué dans des rues peu passagères, dans des bitume, dans laquelle étaient fixées de petites cités, dans les impasses, où la circulation est nulle, bornes de granit d'environ 4 à 5 centimètres de car, en effet, s'il n'y a pas d'usure par la traction hauteur, posées sur leur base la plus large, et formécanique extérieure, il y a pourriture par l'infil- mant un hérisson sur lequel et dans l'interstice tralion continuelle d'eau, de matières organiques, duquel on coulait la pâte de granit-asphalte, couetc., et comme il n'y a pas de circulation intense vrant complètement le hérisson, cette pâte ayant qui, dans les voies très mouvementées, a au moins la qualité particulière, en raison même de sa coml'avanlage. par les pressions successives des roues binaison avec le granit, de conserver sa chaleur et des voitures chargées, d'expulser l'humidité qui se sa plasticité pendant environ une heure, permettrouve dans les pavés donc dans ces chaussées, tait de la pilonner, et de rouler cette matière coulée, chose qui n'avait jamais pu se faire avec action superficielle des roues des véhicules, et cela l'asphalte fondu ordinaire. avec d'autant plus de raison que si, de 1820 à 1850, Avant le refroidissement complet de la pâte, le la circulation sur les routes avait une certaine inrevêtement recevait une couche de poudre de tensité, constituée par les entreprises de roulage, granit que les ouvriers faisaient pénétrer dans la les diligences, les chaises de poste, et les voitures pâte par mi talochage méthodique, ce qui augmen- et véhicules particuliers, cette circulation, qui avait tait encore la qualité de non glissement du granit- diminué avec l'apparition des chemins de fer, a asphalte, et lui donnait un bel aspect. repris depuis plus de dix ans une intensité considérable avec la traction automobile. Quelqties applications. Des applications exces- Dans cet ordre d'idées, les perfectionnements sivement importantes, et qui existent encore en très apportés au macadam ont eu pour but d'isoler les bon état, ont été faites par ce procédé en 1899 et 1900, cailloux qui composent ces empierrements. il y a donc dix-sept et seize ans. Les principales sont les grandes cours d'arrivée Les spécialistes se sont mis à l'ouvrage. Les uns de la gare de Lyon, de la gare du quai d'Orsay, de ont préconisé 1 enrobement préalable des cailloux la gare Saint-Lazare, de la gare de la Bastille, la par des P™êdés mécaniques coûteux, et nécessirue Pierre-Haret avec une pente de 3 centimètres tant des manutentions multiples et élevées. En par mètre, etc., etc. effet, l'enrobement préalable demande un outilp&r mètre, etc., etc. lage compliqué. Si cet enrobement se fait à I usine, Ce système avait encore un autre avantage, c'est il faut transporter les cailloux préparés, sur place, de pouvoir se réparer excessivement facilement, et cela avec précaution, afin que l'enrobement ne sans toucher à la partie résistante constituée par se détache pas du caillou, ou bien l'opération d'isoles mâchoires de crocodile. Cette réparation se iement du caillou se pratique sur le chantier, et faisait, en cas d'usure, par le repiquage de la partie alors il est nécessaire de transporter tout le mausée, et l'application d'une légère couche de pâte tériel sur place, avec sa force motrice, ce qui est de granit-asphalte sur la partie à restaurer, et que encombrant et coûteux. le talochage avec la poudre de granit liait parfai- Là encore, il s'agissait de trouver un enrobement tement avec le reste. Cela était d'une telle unifor- efficace pouvant se pratiquer sur le chantier d'une mité que l'on ne retrouvait plus le lendemain façon économique et avec un matériel peu encomquelle avait été la partie retouchée. brant, car il ne fallait pas oublier que l'on avait à traiter des matériaux très bon marché, et que, par Ce système de revêtement a toutes les qua- conséquent, les frais non indispensables devaient lités requises par les hygiénistes réunis en écartés Congrès en 1876. ~tre écartés. ––––––– La Lyantine. – La lyantine, qui, dit l'inven- teur, consolide et achève la route moderne, et PERFECTIONNEMENTS APPORTÉS supprime la poussière -semble réunir les qualités AU MACADAM nécessaires et répondre aux exigences de ]a circu- .,•- lation nouvelle. Le macadam, a son tour, a été perfectionne. ,•,̃ d “ ces genres La fabrication du liant se fait a 1 usine; 1 apph- L observateur et le technicien habitue a ces genres se fait a l ° calion s'opère sur le chantier. de travaux, qui a pris la peine de se rendre compte ct j. ̃ 't La Ivantine est un compose de goudron et pourquoi le macadam se détériorait aussi vite sur ,•, X. ̃ ̃ ;“, t d asphalte saponisé et chauffe a une température les routes très fréquentées, et pourquoi son entre- coûteux, trouver des am6lio- convenable, qui se transporte sur le chantier dans tien était aussi coûteux, a du trouver des amelio- se f transporte sur le chantier dans des tonneaux en fer. rations très sensibles a cet ancien système qui, des tonneaux en fer. malgré ses défauts, a rendu et rend de grands ser- L'application se fait de la façon simple et écovices, puisqu'il constitue encore la grande majorité nomique suivante de nos routes. On répand une couche de lyantine sur le fond Ji s'agissait donc de constater que l'usure du de la forme de la route, puis on étale une première macadam ne s'opère généralement pas comme on 'épaisseur des matériaux devant composer la route, est enclin à le supposer, seulement par le roule- et l'on fait passer le rouleau pendant un certain ment superficiel, mais aussi par le frottement des temps, pour placer les matériaux et permettre à la cailloux les uns contre les autres, dans toute la lyantine de refouler entre les joints de la pierre. masse de l'empierrement, sous l'influence des On répand une couche de gravillon sur la surlourdes charges roulantes. face ainsi préparée, puis l'on continue comme Il y avait donc un intérêt réel à immobiliser les pour un rechargement ordinaire, en ayant soin de matériaux dans une gangue aussi imperméable que répandre, avant l'étalage de la suite des cailloux, possible et à réduire les causes d'usure à la seule une nouvelle couche de lyantine. Lorsque l'épaisseur voulue est atteinte, on sable sur laquelle on établit ensuite la chaussée propreet on laisse sécher. Une fois le sol sec, on applique ment dite. sur la chaussée ainsi obtenue un revêtement exté- Celle-ci comprend d'abord une couche massive rieur à base d'hydrocarbure, qui calfeutre l'en- très résistante de béton, de 10 centimètres d'épaissemble et donne à la chaussée un bel aspect et une seur par exemple, qui pourra être composée de imperméabilité satisfaisante. sable et de cailloux, de chaux ou de ciment, ou Le prix de revient de cette application est cer- encore être formée de macadam semblable à celui tainement plus élevé que celui du macadam ordi- que l'on étend sur les routes empierrées; dans ce naire, mais son entretien est bien moins coûteux, cas, le macadam sera lié par un mélange de gousa durée beaucoup plus longue, et l'hygiène trouve dron, saponisé ou non, d'huile lourde, de bitume dans cette application un précieux auxiliaire. et d'asphalte étendu d'eau renfermant un dissolvant. Avant la prise de ce béton, qu'il soit composé NOUVEAU REVÊTEMENT PERFECTIONNÉ d'une des deux façons ci-dessus décrites, on. parsème sa surface de cailloux à arêtes vives et à sur- Lïn autre procédé de revêtement des sols paraît faCB rugueuse, qui, tout en pénétrant dans le béton, très intéressant et appelé à de grandes applications en émergent suffisamment à peu près la moitié de dans les villes à circulation intense. C'est le sys- leur grosseur pour former une couverte dont les tème d'établissement des chaussées avec éléments éléments sont essentiellement rugueux, à aspérésistants et imperméables. rités et cavités multiples, ce qui permet une péné` tration parfaite de matière pâteuse ou semi-fluide. La description de ce système est la suivante Les cailloux de cette couverte d'environ 5 à Pour répondre aux exigences de l'intensité de la 6 centimètres d'épaisseur partiellement encastrés circulation moderne, les revêtements des sols des dans le béton sont arrosés de la même composition rues et avenues des villes, et des routes elles- à base d'hydrocarbure que celle qui a servi à la mêmes, doivent posséder les qualités suivantes formation de la première couche de fondation. Il est nécessaire qu'ils soient résistants, indéfor- On laisse bien sécher le revêtement amené à cet mables sous les plus lourdes charges, hygiéniques, état d'avancement après l'arrosage supérieur à imperméables à l'eau du dessus, eaux de pluie et l'hydrocarbure qui vient d'être expliqué. d'arrosage, et aussi à l'eau pouvant provenir du Le béton se trouve donc emprisonné entre deux dessous, par le sol sur lequel sont établies les couches à peu près identiques, constituées par des chaussées; la surface inférieure imperméable doit cailloux enrobés dans de l'hydrocarbure, goudron présenter une certaine élasticité et enfin il convient ou autre; ces deux couches sont imperméables et encore que la surface supérieure ne soit pas glis- élastiques, et préservent le béton de toute pénétrasante. tion d'humidité par-dessus et par-dessous. La C'est pour répondre d'une façon complète à ces couche supérieure des cailloux noyés et encastrés conditions multiples qu'a été combiné le système en partie dans la surface du béton, et avec laquelle d'établissement des chaussées avec éléments résis- elle fait absolument corps, sert encore à établir tauts et imperméables. une liaison intime entre le béton et la couche suSur le sol fortement battu, on étend, sur 3 à périeure qui termine le revêtement de la chaussée. 5 centimètres d'épaisseur environ, un lit, bien uni- Cette dernière couche est formée d'asphalte et de formément dressé, de déchets de pierres, écailles bitume cuit à une température convenable, environ de pavés ou de cailloux, ou encore un lit de sable, 200° C., mélangés au cours de la cuisson de graqui constituera la couche de fond du revêtement. viers à surface rugueuse ou de scories de hauts Cette couche de fondation est arrosée d'un hydro- fourneaux ou de fragments d'un corps dur naturel carbure, saponisé ou non, que l'on peut étetidre ou artificiel capable de donner à la surface du revêd'eau contenant un dissolvant. Ainsi, par exemple, tement la résistance nécessaire suivant la fatigue on pourra employer du goudron additionné d'une à laquelle il peut être exposé. solution de soude à i-10 °/0 environ plus ou Cette couche d'asphalte et de bitume mélangés moins. Ce goudron, étendu de préférence comme de graviers devant constituer la surface de routeil vient d'être expliqué, se répand, lorsqu'on ment, on y incorpore avant son refroidissement, l'étend, entre tous les cailloux et pénètre dans par un talochage approprié, un minéral réduit en leurs pores, de sorte que la couche de fond ainsi jjoudre, ou des résidus de fours électriques égaleformée ne laisse aucun interstice permettant la ment réduits en poudre ou un autre produit sipénétration de l'humidité du sous-sol. hailaire. Cette première couche, qui forme la fondation de la chaussée, constitue donc bien une surface iso- Ces systèmes méritaient d'être répandus sur une lante, imperméable, qui est également élastique, vaste échelle, lorsque les hostilités ont interrompu toutes tentatives nouvelles, mais, étant donnée truites, le rôle de l'Association des Hygiénistes et l'usure considérable des rues et des routes par Techniciens municipaux sera de guider les Pousuite de l'énorme traction mécanique journalière, voirs publics dans l'application rigoureuse de ces on doit espérer que l'application de ces procédés prescriptions d'hygiène, car, plus que jamais, il se répandra très vite dans l'intérêt de l'hygiène et faudra garantir et préserver la santé publique et du budget public. la santé des générations futures appelées à combler ––––––– les vides que cette horrible guerre aura causés La loi sur l'hygiène publique du 15 février4902 dans notre population. avait prévu que, dans un délai d'années déter- Ce sera encore un honneur pour la Section pariminé. les sols des écuries, des cours, des étables, sienne d'avoir réuni quelques éléments concernant en un mot, tous les sols devant recevoir des eaux la question du revêtement hygiénique des sols, et usées et des déjections d'animaux, devaient être de prendre l'initiative, dans l'intérêt de la santé établis en matériaux imperméables, avec l'aména- publique, de la rigoureuse application de la loi gement de pentes facilitant l'écoulement et le delJO^. lavage de toutes les matières usées. Cette prescription de la loi n'a pas été appliquée, Le Président remercie M. A. Metz de sa véritable la plupart du temps pour des raisons de politique conférence, si abondamment documentée à tous et d'influence locales, mais, lorsqu'il va falloir re- points de vue et dont il fait ressorlir l'intérêt, viveconstruire les malheureuses cités qui ont été dé- ment apprécié par ia section. Assainissement des champs de bataille. Destruction des cadavres par protéolyse microbienne. Par MM. D' F. BORDAS et S. BRUÈRE L'assainissement des champs de bataille s'im- exclusivement au point de vue de l'hygiène, prépose, chaque jour, plus urgent. sente les plus grands avantages. Elle s'appliquerait, Au point de vue de l'hygiène, il est impossible à la fois, aux morts des anciennes batailles et à de laisser subsister'les véritables charniers que ceux des combats journaliers, aux cadavres hureprésentent certaines tranchées, fossés de route mains comme à ceux des animaux et, par la desou de voies ferrées, dans lesquels, pêle-mêle, truction qu'elle en réaliserait, écarterait tous danenterrés à la hâte, gisent des milliers de cadavres gers à redouter des germes pathogènes qu'ils d'hommes et d'animaux. peuvent renfermer. Au point de vue agricole, il faut absolument Malheureusement, sans parler de ce fait que, libérer les terres des nombreux tumuli, qui en même en dehors de toute préoccupation religieuse, interdisent la culture à la piété des laboureurs. l'incinération heurte les sentiments d'une partie de Si la solution de ce grave problème est si diffi- la population, on s'aperçoit que, à part certains cas cile, c'est, il faut bien l'avouer, que l'on n'avait d'espèce peut-être, si l'on se place, notamment, au pas prévu les hécatombes formidables qu'entraînent point de vue économique, elle est impraticable, les procédés et les engins de guerre modernes ni, qu'il s'agisse soit d'assainir les premiers champs surtout, prévu que ces hécatombes se produiraient de bataille, soit de parer à l'infection des terrains sur notre sol. du front de combat actuel. Pris au dépourvu, on s'est partout contente d'en- Que l'on songe, en efl'el, à l'énorme dépense sevelir hâtivement les morts, sur le lieu même du qu'entraînerait en combustible, en main-d'œuvre, combat, sans s'inquiéter des conséquences, et si, en charrois, l'incinération des milliers et des mildepuis que la lutte se prolonge sensiblement sur liers de cadavres ensevelis déjà, quelque solution les mêmes territoires, on y met moins de hâte et que l'on envisage. plus de discernement dans le choix des lieux de Exhumation et incinération sur place, dans des sépulture, c'est toujours à l'ensevelissement pur installations de fortune p. 19, ainsi qu'on a et simple que l'on a recours et le problème s'ag- fait, lors de récents essais, ou exhumation et transgrave tous les jours. port, à tous les états de décomposition, des corps Pour le solutionner, on a préconisé la pratique exhumés, dans des centres plus ou moins éloigénérale de l'incinération, qui réunit un grand gnés, où seraient construits des fours crématoires. nombre de partisans et qui, de fait, si l'on se place Quant à l'incinération immédiate, aussitôt après le aussi onéreuse, elle sentit, tion des terrains sur lesquels se dérouleront les croyons-nous, impossible à réaliser sur place, sans combats journaliers, et c'est seulement à tâcher attirer l'attention d'un ennemi proche, avec toutes d'en réduire les dépenses que peuvent les ses conséquences. i efforts des Pouvoirs publics. La seconde solution proposée, l'inhumation Or, on peut dire que ces dépenses seront fonction immédiate des hommes tombés dans le combat, du temps qu'exigera la destruction des cadavres plus facile à pratiquer et plus économique, appa- ensevelis, puisque, plus rapide sera cette deslrucrait, par contre, à première vue, comme le procédé tion, moins longue sera l'immobilisation des terde choix. De même, pour des rains, moins grande leur surface, moins onéreuses anciens champs de bataille, il semble qu'il il doive et, moins pénibles les exhumations inévitables. 11 su f lire de pratiquer les seules exhumations exigées s'ensuit qu'un procédé de désintégration rapide de par la nécessité de protéger de toutecontamination la matière organique enfouie dans le sol permelles eaux de la nappe souterraine et, partout ailleurs, trait de réaliser des économies très importantes, de maintenir les sépultures existantes en amélio- C'est dans le but de le rechercher que nous ranl leur état actuel suivant les règles prescrites avons entrepris les expériences que nous- allons pour les inhu- rapporter, et mations du lui sont la tempsdepaix. ~a..i. s suite de 1*1,- Gependant', tude snrla 1~t- cette solution 'SSB^H&ÉiËi^&Sni tréfaction, se heurte en- ` ;É^^H^KwV ~~ta, ~` ~£~ R. 'l'rels s'~tail pl'alique. si la ~y' ``~ i~ liHé son au- nature dll sol _` ~'`~ ~r_ leur et des n'v contredit ;a nhservations point, les en- t ~^r^BJ^E^^m qu'il avait pu u sovelisse- ^sMÉ^* faire. comme monts jour- yf* ~ff\ collaborateur naliers. aux ` ̃“ E i Ç' de Brouardel, entours mé- >> Duménd et mes des lieux ,“ ,,““““ >ar ll;i, i, ,i, Ogier, au de combat, ou cours de leur que l'on y procède-, dans les cimetières des nom- longue enquête sur les cimetières, cette Etude, munes voisines, l'immobilisation, dans bien des à propos des ensevelissements normaux du cas indéfinie, de ces terrains et l'entretien des sé- temps de paix, condamnait l'emploi des mixpultures entraîneront des dépenses considérables. tures désinfectantes, dont on a coutume de l'our le passé, ces dépenses s'augmenteront de garnir les cercueils, parce qu'elles ont l'inconvécelles entrainées par les exhumations nécessaires, nient, non seulement d'entraver les phénomènes avec toutes leur» conditions d'horreur et d'insnlu- ̃ de la putréfaction, mais encore de paralyser, h ri té et, les cimetières voisins des champs de en partie, le travail des insectes nécrophores, bataille étant combles, par le transport des cadavres et émettait l'idée de ne pas laisser au hasard de la exhumés jusqu'à de vastes nécropoles, spéciale- fermentation putride spontanée le soin de désintémenl aménagées à grands frais, dans des terrains grer la matière organique, mais bien de souspécialemenl choisis '. mettre les cadavres, avant l'inhumation, à nue Malgré si l'on y réfléchit, l'ensevelissement, ̃ espèce d'ensemencement d'un ou de plusieurs miinêine précédé dans cas d'espèce d'une crobes plotnnlnphaijex^ dont les caractères bioloest encore le seul procédé véritable- giques seraient tels que cette quantité de matière nient applicable, qu'il s'agisse des cadavres lui- organique pourrait être plus vite ramenée en ses mains ou de ceux des animaux, d'assainir les éléments principaux, acide carbonique, eau et anciens champs de bataille, ou de parer à l'infer- nitrates. » 1 Voir Étude sur l'assainissement îles rlinitips de liutnillc. * Ktuile sur la >nr le Dr F. Homus, l'iris. >;ir le H Hkniiï Timhiio. in Tei-loiii/tie saniluin 1915. ItuclT et Ulr. 18H2 C'est cette idée que nous avons reprise ut dont Tous les bocaux étaient bouchés au liège. Les noua avons recherché l'application pratique dans quatre premiers furent laissés, tout d'abord, à la le but de réduire, autant que possible, les dépenses du laboratoire, 1~° à 18", en moyenne, entraînées par l'assainissement les champs de puis, à partir du quinzième jour, à celle d'un sousbataille par voie d'ensevelissement. sol oscillant entre 13" et 1 i", le cinquième placé et A quels micro-organismes fallait-il nous adresser maintenu, pendant toute la durée de l'expérience, pour ces ensemencements? dans une étuve chauttée à 30-32". Partant du fait connu que, dans les campagnes. Le fn'tus témoin n" 1 était encore sensiblement les petits animaux de lit ferme qui viennent à intact au bout de Kili jours, les autres furent solumourir et sont enfouis dans le fumier s'y détruisent bilisés à l'état de boue au fond des bocaux, avec une extrême rapidité, fait que nous avons le n° 2 en 20 jours, vérifié il Alforl. en enfouissant dans un tus de le n" 3 en 15 jours 300 heures1, fumier le cadavre d'un chien de [>procédéâune ^ÊÊKK^SlSSft^KBSSsM^^ 'BjF^^B rilonéale de première ex- EFgBBSg •BSjWBff^B^yBiSBff^^BMniBiBlBlw^^™. c9 notre liqueur >érience. en a^3^SB^^B^aMJte^lJ aval1 s" il milieu li q ui- ~`-~ s~r .~` solubilise,' en de 1\"ec la g_ ~`, ~4r. 1; jnu[.g le liqueur COI1l- ~A~~iG' v , ûr ~~`' '`_ r_ j'telus du bo- plexe e que .=–- ~ _»̃.• cal n1 'i, lanfournisseut t l'n.. i. – Ktai il'un riité d'un fu'lus témoin n" I, 3»0 heures pour liquéfier le sujet du n" 3 maintenu conservé sous l'eau dans un un second n" 2 celle du laboratoire, tandis que 108 heures avaient baignait dans une liqueur provenant de fermen- suffi pour liquéfier celui dit n" .">, placé dans une talions cellulosiques putrides étendue de sou ëtnve maintenue à 30°-32", alors que l'un et l'autre volume d'eau, un troisième i nn 3j baignait dans baignaient dans la même liqueur, cette liqueur pure sans addition d'eau, un qua- Fixés sur ces points, nous avons ensuite, parmi trième n° 'i reposait à sec dans un bocal, après tous les groupes d'espèces microbiennes qui pulen avoir reçu 2 centimètres cubes, en injection lulent dans les liqueurs provenant des fennenlapëritonéale. un cinquième n" 5 enfin, comme le lions cellulosiques putrides, cherché à le roisième. baignait dau^ de la liqueur pure. plus actif. Dans c but, les divisant arbitrairement en trois dans un mélange, à parties égales, des trois catégories liqueurs FI". C et I'. Ferment^ de i'nr''o, Les fœlus furent solubilisés respectivement Ferments du tube intestinal, Le n" 1 if J? x_ n^Ï- lt>0 heures à la liqueur C > bocal consislait en un bouillon alcalinisé ^Bk^ .“>*• = ->– ̃' et !•! heures a la liqueur P par du carbonate d'ammoniaque, H^St" ^fVi 'fc' bocal n" 3 pour obtenir le même additionné d'urée et ensemencé rfA • ̃" ̃ résultat. avec une petite quantité de la SU». Les 19 heures exigées par le liqueur employée pour notre pre- Kg. 7! %i\t' mélaiige des trois liqueurs bocal mière expérience ;page ii la se- K^7 y-^ w ̃ semblent même indiquer que condc ,C, eu un bouillon neutre, S ̃̃ les ferments du tuhe digestif et les ensemencé avec une petite quan- fe-, ls _̃ ferments cellulosiques viendraient tité d'eau stérilisée, dans laquelle ,– plutôt entraver l'action de ceux de nous avions délayé du crottin de ï* -.» l'urée. cheval frais, puis filtrée au papier Cette expérience conlirme. en la troisième P représentait l'eau fc* outre, l'intluenee prépondérante de macération d'une poignée de de la température, puisque, à i^°, paille de llé. F, ,le> . >9 heures ont suHi au mélange Avant l'expérience, les deux l'uin- sur un fi et ISO grain- La supériorité des ferments de l'urée étant étames et les trois bocaux I' l, C, Pi. bouchés au j blie, nous avons cherché à nous rendre compte liège, furent placés dans une étuve chaullee à 12", i suji-l flttil ili-jii ilolilr il Iniiiliait on fnitriiuiil> ;m '1 1. ~IIJd 'Imit io >i heiirc^ dans quelle proportion pouvait y concourir, indé- Une couche tourbe humide et paille pendamment des micro-organismes eux-mêmes, 1 fci>tus l'en/Juie produit par leur action sur l'urée. Une couche tourbe humide et paille. Par le procédé de Miquel, nous avons donc pré- Et le tout fut enfin recouvert d'une couche de paré un bouillon d'uréase aseptique et y avons, tombe humide et d'une glace, asepliquement, immergé des fœius de truie, dans Chacun des fu-tus pesait environ 110 grammes et des tubes qui furent maintenus, à l'éluve à 3S°. fuel us et couches successives avaient été abondamà côté d'un tube témoin, renfermant un fo'tus, ment arrosés avec 2 litres d'une liqueur corresponplongé dans une partie du inénie bouillon, pré- dan! à la liqueur 1" U de notre seconde expérience levée avant tilt ration sur bougie, c'est-à-dire con- en milieu liquide p. 21. tenant encore les ferments. L'expérience a été poursuivie 1!» jours, au cours Dès au bout de -11 heures, l'action du bouillon desquels la température du Laboratoire s'est prorenfermant les micro-organismes s'était affirmée, gressivement élevée de 13°o à 10°. tandis que celle du bouillon qui en avait été privé Le matelas de paille entourant la conserve avait par la tiltration et représentait, par suite, une pour but de garantir, autant que possible, son simple solution d'uréase, semblait nulle. contenu d'un refroidissement, inévitable étant En O'J heures, le premirr avait complètement donné sa petite masse, et, chaque matin, nous en liquéiié les ` avons relevé liquéfié les e au moyen gauirlue repré- ` d'un tbermu- sentés par le ~MMËSS~ ~MNtNtt~i~~ mètre dont le fœtus témoin, r~servoir était tandis que les descendu jus- foetus immer r v qu'à plonger gés dans le `` ~~$ au centre du li t second, seule lonrbe pail~le ment macérés disposé entre par la liqueur. F le'3Jell\l~tages étaient encore de fœtus. reconnaissa- Dès au bout t bles à leurs de 21 heures, formes au bout HBMM^MHMM^nMiMKH^MM la température, de 20 jours. BiiïlHEHMsffl^B^B^^B^^W^™ de la conserve Celte expé- l'ir,. – Fosses artilicK'lli' atteignit lti"' riencesemble- accusant une rait réduire à bii n peu 1 action de l'uréase, mais différence de 2°o avec celle du laboratoire l.'{°.">, nous signalons le fait sans conclure, car certains Progressivement, elle s'éleva jusqu'à atteindre indices permettraient d'espérer qu'en modifiant le 10° jour, donnant un écart de 9" avec la tempéles conditions de l'essai, m obtiendrait, peut-être, rature extérieure lti"; puis, redescendue le Il'' à des résultats plus en rapport avec la puissance de iiU", elle s'y maintint 3 jours, fournissant un écart liquéfaction reconnue des enzimes. de îj" à 6° avec l'extérieur. Le 13*' entin, elle tombait Concurremment aux expériences en milieux à 17°, ne donnait plus qu'un écart de 2° avec la liquides que nous venons de rapporter, afin de température du laboratoire et s'y maintenait les nous rendre compte si les mêmes micro-organismes jours suivants. extérieurs à l'animal montreraient une égale acti- A partir du i heures avaient donc, dans des conditions f-e disposés successivement, de bas en haut rapprochant d'un ensevelissement, suffi à liquélier l'ne couehe garnie de tourbe délitée humide et tiiO grammes de matière! organique, sous la seule de paille coupée; action de germes extérieurs aux animaux en expé- '1 fœtus extraits delapoche foetale au moment de rience, et ces 'i-'jti heures devaient même sans doute l'expérience; constituer un maximum, car, selon toutes proba- bilités, la désagrégation des fœtus devait être déjà 72 heures, immergé dans ^00 centimètres cubes parfaite au bout de 3>0 ou de 300 heures, en coïn- d'un bouillon de culture de ferments de l'urée, a été, dès les premières heures, la proie d'une réac- ï '»> •̃̃••• lion si tumultueuse, un tel dégagement de gaz s'est _̃ ft, x produit que le vase a débordé. Au bout de IN heures, ^ét%. -jdÈ ÏB^- '• ^•ét^tL .^ le sujet semblait ilétruit, vidé intérieureinent, et, j. V\. dC 'ir^h- ?•* S dans le délai de 120 heures, il était entièrement .£59bJ3ft Jfc^jjft^p»». •̃-f^. dissous, à l'exception du poil qui, feutré, Iloltait à I&MMWPWP1^1^ ̃T^r "^5 ^5ff^1 ^U% ^7 '̃y^ Un cobaye de 580 grammes a été sensiblement **fc~»" "*•̃• **>•–t9i *»»» ^? Un cheval de ioO kilos, mort depuis 3 jours. ^K *f enseveli, non plus ainsi que lors de nos premières à, im" MMÎ6". expériences page 20] dans dit fumier, mais dans de ru;. • – Action in .• Icrmcnls rie luire et des la paille neuve, simplement humide, puis arrosée îiiicrip-or-anisiiics inU-ricurs. – du siuelullc il'un pendant i jours tous les "2 jours, avec 30 litres d'un cobaye iqn-ès bouillon de culture de ferments de l'urée, a été réduit en 3 semaines exactement 'iOi heures à cidence avi c la brusque chute de leinuéi'ulure qui l'état de sijuelette et complètement décharné à part s'était produite entre le A" et le jour. quelques fragments d'aponévroses. Toutes les artiLa démonstration cherchée était obtenue. Ce culations étaient libérées, les sabots étaient déiarésullat continuait l'intérêt qu il aurait d associer, pour _B_HnMEIHSL_JlllH_BBHHiP^L' ^k_I ublenir une destruction ra- _M_r !'oIiSSI^SkS^S^^»1' /JS__E_9H iide des cadavres, l'action ^HHpPP^*]r. ^Kf_MnM» p4.. k^–^SmSMhI extéripure de ferments, spé- IBS^C**MH^H_U_W __N^ _M_H_ifi_l cialeinentséleclionnés,ù celle ^BmSftH, iSL 1i_m– HnT^Si_fS-ii-ffiï ffum– ^– f^_ JBB des microorganismes iulé- i3a-i-BÎ-î-fl^S3^aS-B-i rieurs, dont 1 activité se ma- wi^^Bi^K^KI^KBÊÊHÈtt^^B^BË^Êmttt^KÊ^R ni leste dus le moment de la ^H^HhMB_HHHHHBBBHH mUI't. Nous avons, tant >ui Laho- ^hB^H_B^^9b^B_I^_BVI__I raloirc de toxicologie de lit _B^BBa^WB^fcqBHHfe2B– B– -– Préfecture de police qu'à __B^Si'MBP^^V- 4S,^?^U kil> ;i>i dois .->. .1. m jour dans i>.ul,c expériences nous ont, toutes, neuve urrosce avec un bouillon île 1-1111111-0 île lemicnls île luioe. prouve qu'elle ét;iit féconde. chés, la peau elle-même avait disparu, la queue Au laboratoire seule était à peu près intacte, séparée du corps 1" En milieu liquide, un cobaye, sacrifié depuis tjig. ». .––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––.––––––––––– La longue série d'expériences que nous venons arrosée d'une culture de ferments de l'urée, il est de rapporter prouve, comme il était logique de le infiniment probable que l'on obtiendrait des résulprëvoir, que l'on activerait considérablement la tats analogues et que l'on activerait, dans une désintégration de la matière organique des ca- énorme proportion, la désintégration de la matière davres, en alliant à l'action des ferments intérieurs organique. de la putréfaction, l'action de ferments extérieurs. Pour le passé, partout où les 'sépultures pourElle démontre que, parmi ces derniers, les fer- raient être maintenues, au lieu d'améliorer leur ments de l'urée sont des plus actifs et que cette état d'après les règfës prescrites pour les inhumaactivité sera d'autant plus grande que certaines tions du temps de paix, en suivant la technique conditions seront observées humidité, tempé- indiquée par nos essais, c'est-à-dire en interposant, rature, aération modérée du milieu. entre la couche de terre superficielle et les corps 11 semble acquis que la désintégration protéoly- ensevelis, de la paille traitée par le même procédé, tique soit une véritable fermentation. Or, la façon tout permet de croire que l'on hâterait, de façon dont on pratique actuellement les ensevelissements, notable, le terme de leur destruction totale et, dans loin de faciliter l'action microbienne, est, au con- les cas d'espèce ou les sépultures devraient pour l'entraver, soit par l'emploi que l'on placées,ces inhumations nouvelles, pratiquées dans fait de substances antiseptiques chaux, etc., soit des fosses creusées au plus près et garnies de paille du fait que les cadavres se trouvent placés dans traitée, obtiendraient certainement ce résultat. un milieu à basse température relative, car on Les détails d'application de la méthode varieconçoit que la chaleur dégagée par la fermentation raient nécessairement, suivant les cas, les lieux et putride d'un corps enfoui à même la terre, soit les circonstances, suivant qu'il s'agirait de cadavres rapidement rayonnée. Au contraire, si l'on pro- humains ou de cadavres d'animaux, mais sa mise tège, autant que possible, cette chaleur qui, prise en pratique ferait, véritablement croyons-nous, de dans des masses musculaires, a atteint 56° dans l'ensevelissement le procédé de choix pour solucertaines de nos expériences, il est certain que l'on tionner le grave problëme dont nous avons exposé favorisera l'action dissolvante des micro-organis- les données au début de celte note. mes, car c'est un fait bien connu que refroidir des Appliqué en suivant les indications générales cuves où se fait une fermentation, ralentit 1" phé- que nous venons de résumer, il aurait l'avantage nomène, tandis que les maintenir à température de libérer, dans un délai de quelques mois, les favorable, l'accélère. terrains immobilisés par les tombes de nos morts C'est ce rôle que, dans nos expériences, jouait la glorieux et les cadavres des animaux enfouis, paille humide. Elle protégeait contre le rayonne- d'affranchir de servitudes indéfinies les cimetières ment la chaleur dégagée, par la fermentation des des localités voisines des champs de bataille, microbes intérieurs, favorisait, par suite, le déve- d'éviter l'établissement d'immenses nécropoles et loppement des ferments de l'urée, apportés par le transport en ces cimetières, plus ou moins éloi-,nos cultures, et celui des microbes thermophiles. gnés, de nombreux cadavres à tous les états de Les résultats obtenus dans nos essais peuvent-ils décomposition, tout cela au grand profit de l'hyêtrel'objet d'une application pratique, en vue d'as- giène, de la culture et surtout des deniers publics. sainirles anciens cliampsdebatailleelde parer à l'in- II ne soulèverait enfin, au point de vue. du sentifection des champs de bataille présents et futurs? ment, aucune objection, puisqu'il se bornerait à Nos expériences d'Alfort permettent, croyons- intensifier le travail normal de la nature et, lorsnous, de répondre par l'affirmative, qu'elle aurait accompli son œuvre, permettrait de Pour le présent et pour l'avenir, en prenant le relever, sans danger ni grands frais, les restes de soin de garnir les fosses de paille largement nos héros pour les honorer à jamais. s Le Gérant C. Regnard. Paris, – L. Mahethkdx, imprimeur, 1, rue Cassette. LA TECHNIQUE SANITAIRE ET MUNICIPALE Hygiène, Services techniques, Travaux publics Journal de l'Association Générale des Hygiénistes et Techniciens Municipaux DE FRANCE, ALGÉRIE-TUNISIE, BELGIQUE, SUISSE ET GRAND-DUCHÉ DE LUXEMBOURG Siège social et Secrétariat général de l'Association REGNARD,- Ingénieur civil DES MINES, Secrétaire Général-Trésorier 3, Rue Palatine, Paris VI' r*' ̃ COMITÉ DE RÉDACTION \V ^y* Xx LE BUREAU DE L'ASSOCIATION RÉDACTION J '> ' MM. BECHMANN, Ingénieur en Chef des Ponts et Chaussées en retraite; IJirecteur honoraire de la Préfecture de la Seine Eaux et Assainissement; Administrateur dus^Ghemin de/fer électrique souterrain Nord-Sud de Paris. t, ̃" BONJEAN, Chef du Laboratoire et Membre du Conseil Supérieur d'Hygiène publique de France. Dr CALMETTE, Directeur de l'Institut Pasteur de Lille. Dr COURMONT, Professeur d'Hygiène à la Faculté de Lyon et Membre du Conseil Supérieur d'Hygiène publique de France. DABAT, Directeur Général des Eaux et Forêts France. DIMITRI, Chef-Adjoint du Laboratoire et Auditeur au Conseil Supérieur d'Hygiène pub. de France. Dr IMBEAUX, Ingénieur en Chef des Ponts et Chaussées, Directeur des Travaux de la Ville de Nancy. LIDT, Ingénieur en Chef des Ponts et Chaussées, Directeur des Travaux de la Ville de Bordeaux. MARTEL, Géologue, Membre du Conseil Supérieur d'Hygiène publique de France. VAN LINT, Ingénieur civil, Ancien Directeur de la Rédaction de la Technique Sanitaire et Municipale. Secrétaire de la Rédaction LÉVY SALVADOR, Ingénieur, Chef du Service des Études techniques de l'Hydraulique agricole an Ministère de l'Agriculture. SOMMAIRE Association Générale des Hygiénistes Procès-verbal de la séance, p. 42. et Techniciens Municipaux Le casier sanitaire des eaux potables Présentation de Membre, p. 25. Rapport de MM. le De Lomé Roux et Paschadd, p. 48. M. le Dr Imbeauï. Les eaux de Londres, p. 25. r M. J. Dejust. Installation de filtration d'eau à la piscine M • Auguste Rey. L'amélioration de 1 hygiène des villes municipale Ledru-Rollin, p. 34. et le casier p. 45. M. Gaillard. – Désinfection en campagne, p. 38. Bibliographie e Section Suisse Séance du i8 décembre 1915, à Vevey-Montreux, p. 42 Les Cités-,jardins, leur portée sociale, leur caractère, Compte-rendu de la journée, p. 42. leur organisation, p. 46. Toutes les Communications relatives à la Direction et à la Rédaction de la Technique Sanitaire et Municipale doivent être provisoirement libellées ainsi Rédaction de la Technique Sanitaire et Municipale, 155, rue du Château, Paris XIVe. Les Abonnements peuvent être pris à l'adresse ci-dessus ou chez les Libraires. PÉRIODIQUE MENSUEL PRIX Une année, 24 francs. Un mois, 2 francs 50. Association Générale des Hygiénistes et Techniciens municipaux. ADMINISTRATION DE L'ASSQCIATION CONSEIL D'ADMINISTRATION Michel, Direct. de laComp.. pourk Fabr. des Compt. et Mater. d'Usines à gaz. Bureau Otto, Administr. de la Comp. générala de l'Ozone. Peigné, Dir. de la Soc. d'Assainiss. de Saint-Malo. PRÉSIDENT DES AUTRES pays Bechmann, Ingén. en chef des Ponts et Chaussée* en Dr E. Putzeys, Prof. à l'Université de Liége belge. retraite, Dir. hon. de la'Préfect. de la Seine Eaux et Hachez, lnsp. Gén. des Trav. d'Hyg. au ministère de Assainiss.,-Admiuistr. du Chemin de fer électr. sou- l'Intérieur de Bel"ique terrain Nord-Sud, à Paris. Bétant, Direct. du Serv. des Eaux de Genève suisse. Vice-Phésidents Fischer, geois" Conseiller d'Etat, Ingénieur luxembour- Dr Calmette, Direct. de l'Institut Pasteur à Lille français. SECTION PARISIENNE Dabat, Dir. gén. des Eaux et Forêts France, id.. A. Metz, Membre Industriel, id.. Bureau E. Putzeys. Ipgén. en Chef de la Ville de Bruxelles Boreux, Insp. Gén. des P. et Ch. en retraite, Président. belge. Bergeron, Prof. à'i'École Centrale, Vice-Président. Dr Carrière, Sous-Dir. du Bur. sanitaire fédéral à. Bruère, Chimiste, Secrétaire. Berne suisse. Ed. Metz, Secrétaire-Adjoint. Secrétaire général-trésorier SECTION SUISSE Regnard, Ing. civ. des Mines, r. Palatine, 3, Paris, 6e. SECTION SUISSE Bureau Secrétaire général adjoint Dl. Carrière, Vice-Prés. du Bureau sanit. fédéral à Dimitri, Chef adjoint du Laborat. et auditeur au Cons. Berne, Président. Supér. d'Hyg. Publ. de France, bon]. Montparnasse Piot, Chef du Service de la Voirie de Lausanne, Vice52, Paris Président. Bétant, Dir. du Service des Eaux de Genève, Membres Trésorier. • no. ixDU5trIELS COMITÉ DE RÉDACTION Auvray, de la ville de Versailles. Baudet, Sénateur d'Eure-et-Loir, maire de Chàteau- Le Bureau de l'Association dun. Bechmann, Ing. en chef des P. et Ch. en retraite; Bluzet, Chef du Serv. Centr. de l'Inspect. gén. des Dir. honoraire de la Préfecture de la Seine; Ad. du Serv. Admin. au Minist. del'Intér. Ch. de fer. E Sout. Nord-Sud. Bruère, Chimiste. Bonjean, Chef du Laboratoire et Membre du Conseil Burelle, Adm. Dir. de l'Union mutuelle des Proprié- supérieur d'Hyg, Publ. de France. taires de Lyon. Dr Calmette, Directeur de l'Institut Pasteur de Lille. Dr Courmont, Prof. d'Hygiène, à l'Université de Lyon. Dr Courmont, Prof. d'Hygiène à la Faculté de MédeDiénert, Chef du Serv. de Surveill. des Eaux d'alimen- cine de Lyon et Membre du Cons. Sup. d'Hyg. Putation de la Ville de Paris. Auditeur au Cons. sup. blique de France. d'Hyg. Pub. de France. Dabat, Dir. Gén. des Eaux et Forêts France. De Imbeaux, Ing. en Chef des P. et Ch., Nancy. Dimitri, Chef adj. du Laboratoire et Auditeur du ConLe Couppey de la Forest, Audit. au Cons. Supér. seil sup. d'Hyg. Publique de France. d'Hyg. France. DP Imbeaux, Ing. en Chef des P. et Ch.; Dir. des Lidy, Ing. en Chef des P. et Ch., Dir. des Trav. de la Trav. de la ville de Nancy. Ville de Bordeaux. Lidy, Ing. en Chef des P. et Ch. Dir. des Travaux de Loewy, Ing. en Chef des P. et Ch. la ville de Bordeaux; Martel, Membre du Cons. Supér. d'Hyg. Publ. de Martel, Géologue, Membre du Conseil sup. d'Hyg. blique de France; Masson, Membre du Cons. Supér. d'Hyg. Publ. de Van Lint, Ing. Civil, ancien Directeur de la Rédaction France. de la Technique Sanitaire et Municipale. Mercier, Ing. des P. et Ch., adj. à l'Ing. en Chef de la Lévy- Salvador, Ing., Chef du Serv. des Etudes techn. Cie Générale des Eaux. de l'Hyd. agr. au Ministère de l'Agriculture. de Montricher, Prés. de la Soc. scientif. et indust. de Marseille. Président d'honneur de 1 Association Trélat, Dir. de l'École membre Léon Bourgeois, Sén., Anc. Prés. du Cons. des Minisdu Cons. Sup. d'Hyg. Pub. tres, prés&de l'Alliance d'hyg. soc., 3, rue Palatine, Paris. FRANÇAIS inddstriels Paris. Membres d'honneur Chabal, Gérant de la SociétéJPuech, Chabal et Cie. Beco, Emile, Gouv. duBrabant,r. du Chêne, Broxelles. Gaultier, Architecte, IngénieuriHygiéniste. Boreux, Insp. Gén. des P, et Ch, en retraite. Gonin, Noël, Ing. sanitaire. Dr Chantemesse, Prof. la Fac. de Jktëd. de Paris. LA TECHNIQUE SANITAIRE ET MUNICIPALE Hygiène, Services techniques, Travaux publics Journal de l'Association Générale des Hygiénistes et Techniciens Municipaux DE FRANCE, ALGÉRIE-TUNISIE, BELGIQUE, SUISSE ET GRAND-DUCHÉ DE LUXEMBOURG ASSOCIATION GÉNÉRALE DES HYGIÉNISTES ET TECHNICIENS MUNICIPAUX Présentation de Membre Leblanc Félix-Eugène, Docteur en droit romain, Entrepreneur de Travaux Publics, Président de la Société des habitations à bon marché et de la Société immobilière du Square de l'Opéra 4, Square de l'Opéra, Paris, présenté par MM. Bruère et Laneyrie. lies Eaux de Ixondres Par M. le D' IMBEAUX, Ingénieur en chef des Ponts-et-Chaussées. Situation du Metropolitan Water Board au 1er avril 1918 d'après le SU" Rapport annuel. HISTORIQUE. Dès le milieu du xiii" siècle, on mais la Compagnie prospéra au point que les parts amena les sources de Tyburn au moyen de con- primitives atteignirent des prix fabuleuxduites de plomb dans certains quartiers de la ville, Les autres Compagnies ne surgirent qu'un siècle notamment au travers de Charing Cross et du plus tard, savoir Strand jusqu'à Fleet Street. En 1722, la Chelsea Watemuorks C", qui installa Une distribution plus sérieuse fut installée de grands réservoirs dans Saint-James et Hyde en 1582 par un ingénieur nommé Morris il n'était Park et alimenta les districts de Whitehall et de pas Anglais, qui éleva l'eau de la Tamise au pont Westminster; de Londres au moyen de roues hydrauliques mues En 1745, on établit une distribution dans East par les mouvements du flux et du reflax sous les End; mais ce ne fut qu'en 1785 que la Compagnie arches l'affaire prospéra et ne disparut qu'en 1822 Lambeth fut instituée après que l'invention de lors de la destruction du pont. Walt eut permis de remplacer les machines atmoEn 1609, le Common Council donna la concession sphériques de Newcomen par des machines à appelée New River à l'orfèvre Hugh Myddleton, condensation; qui eut le grand mérite d'établir un canal à ciel En 1807, c'est le tour de la West Middlesex W. ouvert pour amener les eaux de la source Chadwell W. C° elle alimente West End avec de l'eau prise source de la craie qui donnait 500 pieds cubes à à la Tamise près de Hampton; la minute et les eaux de la Lee prises à Hertford En 1808, nait la Compagnie d'East London; jusqu'au réservoir de Clerkenwell de là, l'eau En 1809, la Kent W. W. 6°, qui utilise surtout était distribuée par des tuyaux en bois. L'affaire l'eau des puits de la craie; périclita un moment, mais le roi Jacques Ier s'y En 1811, la Grand Junetion, qui alimente Padintéressa par moitié l'inauguration eut lieu à la dington, Marylebone et les paroisses voisines; Saint-Michel de 1613. Myddleton mourut endetté, Enfin, en 1822 se forma au pont de Londres la Southwark \V. W. C, laquelle fusionna en 1845 toute la distribution d'eau pour le compte du avec la Compagnie Vauxhall formée dès 1805 au London County Council. pont de Vauxhall, sous le nom de Soutkwark and Vauxkall C°. DIVISION ACTUELLE DU terkitoike desservi ET pko- Ainsi les huit grandes Compagnies ci-dessus venance des EAUX distribuées. – Le Metropolitan L'ALIMENTATION DE LONDRES EN EAU. ? s ~T ~~j~u™r Réservoirs ̃ 4j4i Usines aléatoires A. Tarrf'0"'9 X"" "V Puits* • V» à • 1 * i\L W L ••» tPPiNC ̃ i I Wtyalrham Nota Les Zdistrids Esstern et fl/ew River sontà^' 1 X7wii°c> présent réunis en un seul appelé Northern i., ie°Sf» E ̃^a v .-y r' SQUTHERN fi* T^ '̃ ™, ̃ –A -*a -j q y"t3v H –~ 0 GTrrslehursC Shor!lends Î y -i sn^'sP*' ,-». -.•>•*̃̃»- * » 2t,7 -i des puits et sources. » 19,3 Total. 100 dont appartenant au Comté de Londi es 752 67,3 Nombre de concessions desservies » Quantités d'eau totales consommées du ler avril 1914 au 31 mars 1915 en millions de gallons De la Tamise. » 3 58,3 De la Lee » » » 23,3 Des puits et sources » 18,0 D'autres provenances ' » » » 0,4 Total • 35. 791. Si 100 Total en mètres cubes » Quantités d'eau consommées en moyenne par jor En fnllt En millions de gallons. 98,06 62,40 22,06 60,52 243,04 l En mètres cubes-. 445,587 Par concession. En &allons 205,82 266.»S 177,92 208,77 216,08 .rai ouui^muu. En litres 933,04 808,29 948,44 981,63 Par tUe En gallons. 34,13 40,98 34,46 35,59 36,08 rar icie • • • • En litres. 155,05 186,11 136,55 161,68 163,96 ' C'est-à-dire des allnvions de Hanworih et, des étangs de Hampstead et de Highgate. ~ A ce total général de millions de gallons, il faut ajouter 712,7 millions de gallons fournis aux communes et compagnies voisines, ce qui donne pour l'année le total général de millions de gallons, soit mètres cubes. Tableau II. 1914 1915 mîm an- Avril Mai Juin Juillet Août Sept. Ortob. Nov. Déc. Janv. Févr. Mars uuelle Quantités d'eau consom- mées en moyenne par jour en millions de gal- lon? De la Tamise 136. 5 De la Lee f' Des puits et souic s 9 8 D'autres provenances M. !k 0 97 Total 273. S 243' 04 Fraction »/0 correspondant aux mois. 7 93 100 » Maximum. Miniinmil. ' C'est-à-dire des alluvions de Hanworth et des étangs de Ilatnpstead et de liighgale. réservoirs de Littleton y ajoutera millions de long pour aboutir à une douzaine d'anciens réser- gallons 31 m'; d'autres réservoirs à Stan- voirs de l'East London G0 à Walthamstow, d'où >s well sur la Tamise et sur la Lee sont autorisés et l'eau est conduite par un autre tronçon de canal '̃ ajouteront encore millions de gallons, soit aux filtres de Lee Bridge. "ft m3. • Les pompes Humphrey voir la description dans TABLEAU III. SURFACE D'EAU CAPACITÉ NOMS DES RESERVOIRS D EMMAGASINEMENT NOMBRE SURFACE D'EAU OAPACITÉ ET DE DÉCANTATION DE BASSINS !““ en" millions en mètres en acres en hectares de grUoils cubes Réservoirs de la Tamise Staines réservoirs 2 424 0 1-11,58 0 Northern. S Hanworth réservoirs 1 20 0,81 "S,o Nortnern. Kempton Park reservoirs 2 62,0 300,0 r Ditton réservoirs 2 1,0 0,40 3,0 Southern. Island Barn réservoirs 1 121,0 0 48,97 922,0 feouttlern' Hampton R Souihwark and Vauxhall 3 47, II 19,02 390,0 Walton réservoirs 2 125,5 5 50,78 Molesey réservoirs 8 0 45,33 653,5 2. 97/. 937 \v^iarn Hampton H grand Junction 1 10^0 0 4,05 45,0 Western, J Kew Bridge réservoirs 2 4,5 5 1,82 13,5 Barnesieservoirs 7 117,5 5 47,55 397,5 Total pour les réservoirs de la Tamise.. 31 413,40 7267,5 33 Réservoirs de la Lee Chingford Réservoir 1 425, S 172,18 0 Northern. Walthamslow and Tottenham R 12 479,0 ivortaern. Stoke Newington R 2 42,5 17,20 90,0 Horusey réservoirs 2 8,11 3,24 8,5 Total pour les réservoirs de la Lee 17 955,0 386,56 Total général 48 801,86 Nouveau réservoir de Chingford. – II faut dire une noté annexe p. 33 et la fig. 2 sont au nombre de un mot du grand réservoir construit, celui de cinq, dont quatre pouvant élever chacune 40 milChingford, surla Lee. Il fut projeté par lions de gallons m3 par jour, et la cincommencé en avril 1908 et inauguré par le Roi le quième moitié seulement l'installation peut donc 25 mars 1913. Il fallut détourner la Lee et lui créer un nouveau lit sur 3 milles e. C^J de long, enlever 3 millions de tonnes ̃! ,?2– 2v^ B'3m- intf"'ur- de terre et établir 4 milles 1/2 de digues. J s w I Ces digues sont constituées par un § Arri vée t p Vt* f noyau en argile corroyée core wall of w/7j4f,A£^. puddled clay, descendu en tranchée P\ £^* P} y'j^M* S fc-i – J jusqu'à l'argile de Londres à 20 pieds ^fe "tSis rT^U I -̃̃ A^j ie de profondeur les talus en terre ont fi^-lrJcStfSC- %~ Réservoirs de service eau filtrée Nombre de réservoirs 31 17 19 19 » 1 87 Surface en eau en acres' 22,86 5,49 19,38 0,71 67,01 p-, t- J En millions de gallons ' 5 » 312,013 uapdcut. En mètres cubes. 334. P37 î » 4SI Conduites Longueur en milles 2258,88 1490,16 866,98 1826,85 » Longueur en kilomètres. 3636,8 2400,1 1395,8 2941,2. 1,8 » 10378,7 Nombre de bouches d'incendie l » .» écarte le produit de tout filtre qui donne plus de Paris. La mortalité générale n'a été cette année-là 100 germes au centimètre cube, la moyenne des que de 14,2 15,6 à Paris. échantillons analysés à l'exclusion de ceux des filtres mis hors de service nous donne les Données financières. Le rachat des huit résultats suivants turbidité, 0 couleur, 24 oxy- grandes Compagnies ayant été fixé à 47 millions de dabililé en trois heures à 27° C.}, 0,837 azote livres, les dépenses d'amélioration faites par le albuminoïde, 0,056. Melropolitan Waler Board de 1904 à 1914 s'éleLe nombre de microbes est en moyenne de 18,8 vant à 3 millions delivres; enfin les Acts du Parlepar centimètre cube numération sur gélatine à ment autorisant le Board à dépenser pour la créa22° C. après trois jours et de 2,9 numération après tion des nouveaux réservoirs livres, on vingt-quatre heures sur agar à 37° C. voit que le capital de premier établissement est Enfin, la reeherche du colibacille montre que de livres sterling. TABLEAU VI. EAU DE LA TAMISE EAU DE LA LEE ÉLÉMENTS D'ANALYSE CHIMIQUE EAU APBÈS SÉDIMENTATION EAU APRES SED1l\IENTATION EAU bAU ET BACTÉRIOLOGIQUE v EAU BRUTE DANS IES BASSINS I1E EAU BRUTE A P R i S 5 E D 1- Staines Chclsea Lambelh mkntatio» Dureté totale degrés anglais. 23» 67 22°29 22°69 23°14 2B°12 25°83 Dureté permanente degrés anglais. 6°96 6°S6 6°41 6°58 8", 40 9» 39 Turbiditéencarbonat,ede fersacchaiifié. 1,28 0,30 0,19 0,39 1,90 0,03 Couleur au colorimètre de Burgess avec tubes de deux pieds 84 44 1 46 51 86 35 Eu mill'gramînes par litre Oxydabilité oxygène emprunté a'i per manganate en 3 heures à 27» C. 1,908 1,617 1,392 1,392 2,011 1,273 Chiure 16,7 15,2 16,4 21,3 2',09 4zdte ammoniacal 0,067 0,044 0,028 0,049 0,103 0,046 albuminoïde 0,153 0,175 0,018 0,143 0,183 0,135 oxydable 2,40 1,60 2,00 1,90 3,30 1,90 Nombre de microbes par centimètre cube moyenne des analyses de l'anuëe rur gélatine à 22» C. au bout de 3 jours. 536 899 Wt sur agar à 37» C. au bout de 1 jour. 233 90 24 E2 306 12 Recherche dll colibacille typique Pourcentage moyen du nombre d'é- Négatif danslOOc. c. 0,4 In, 4 42,3 11,6 0,4 30,8 chantillcns ayant Positif dans 1 0. c. 40,3 7,7 7,7 21,1 42,0 0 donné un résultat } "/“ des échantillons de l'eau distribuée ne le En fait, la dette actuelle du M. W. Board est de décèlent plus dans 100 ce. pour le reste, 18,6 °/o ° livres, plus certaines annuités s'élevant le décèlent seulement dans 100 ce, 5,9 °/o dans chaque année à livres. 10 ce, 0,6 °/o dans 1 et seulement 0,1 °/0 dans 1/10e de centimètre cube. Sur espèces Les prix de vente de l'eau usage domestique ou de coli isolées de échantillons d'eau filtrée, usage industriel ont été uniformisés et abaissés on a trouvé le coli typique donnant une réaction par l'Act de 1907, mis en application à partir du positive avec le lactose et l'indol, 53,1 fois °/0 le 1er avril 1908 les tarifs seront donnés ultérieucoli non typique faisant fermenter le lactose, mais rement h ces prix, les concessions ont produit ne donnant pas la réaction de l'indol a été trouvé dans l'année considérée un revenu brut total de 42,1 les 4,7 °/0 autres ne faisaient pas fermenter livres soit en moyenne 21. 1. par le lactose, mais le glucose. concession. L'intérêt de la dette et les frais d'exComme conséquence du soin avec lequel l'eau ploitation absorbent cette somme et au delà, et le est purifiée, on sait que la mortalité de Londres par déficit de l'année est de livres mais il faut fièvre typhoïde est très faible; en 1913, dernière tenir compte que livres ont été versées au année dont j'ai les résultats, il n'est mort que fonds d'amortissement en vue des travaux neufs. 114 personnes dans le comté de Londres, soit une L'affaire se tient donc financièrement parlant à peu mortalité de 0,020 °/00 habitants contre 0,097 à près en équilibre. TABLEAU VI. ~. D'A-ILYSE EAU DE LA TAMISE EAU DE LA LEE ÉLÉMENTS D'ANALYSE CHIMIQUE EAU APBÈS SÉDIMENTATION bAU ET BACTÉRIOLOGIQUE v EAU BBUTE nÀ*S IES BASSINS I1E EAU BRUTE A P K K S S E D 1Staines Chclsea Lambelh mkntatio» Dureté totale degrés anglais. 23» 67 22029 22°69 23°14 2B°12 25°83 Dureté permanente degrés anglais. 6°96 6°S6 6°41 6°58 8", 40 939 Turbiditéencarbonalede fersacchaiiflé. 1,28 0,30 0,19 0,39 1,90 0,0;s Couleur au colorimètre de Burgess avec tubes de deux pieds 84 44 4 46 51 86 35 Eu mill'gramînes par litre Oxydahilité oxygène emprunté a'i per manganate en 3 heures à 27» C. 1,908 1,617 1,392 1,392 2,011 1,273 Chiure 16,7 15,2 16,4 21,3 20,09 4zdte ammoniacal 0,067 0,044 0,028 0,049 0,103 0,046 albuminoïde 0,153 0,175 0,018 0,143 0,183 0,135 oxydable 2,40 1,60 2,00 1,90 3,30 1,90 Nombre de microbes par centimètre cube moyenne des analyses de l'aimée rur gélatine à 22» C. au bout de 3 jours. 536 899 Wt sur agar à 37» C. au bout de 1 jour. 233 90 24 E2 306 12 Recherche dll colibacille typique Pourcentage moyen du nombre d'é- Négatif danslOOc. c. 0,4 In, 4 42,3 11,6 0,4 30,8 chantillons ayant Positif dans 1 0. c. 40,3 7,7 7,7 21,1 42,0 0 donné un résultat } NOTE ANNEXE Description de la Pompe-Humphrey. POMPE ÉLÉVATOIRE A GAZ, A COMBUSTION INTERNE La Pompe-Humphrey est destinée à pomper les duit dans la chambre, ces soupapes s'ouvrent alterliquides, et son fonctionnement est basé sur le nativement. principe de la combustion interne. On peut em- Supposons qu'une charge d'un mélange de gaz ployer pour la faire fonctionner, soit du gaz prove- et d'air soit comprimée dans la partie supérieure nant de générateurs, soit du gaz d'aspiration ou de la chambre C et allumée par l'étincelle d'une d'éclairage, soit encore du pétrole ou de la paraf- bougie qui pénètre à l'intérieur par le couvercle de fine, et le cycle thermo-dynamique du travail de la cette chambre. Quand l'explosion seproduit, toutes pompe est d'un rendement supérieur au cycle les soupapes étant fermées, l'augmentation sion refoule -l'eau dans la pompe et met en mouLa pompe n'a aucune pièce mobile à l'exception vement toute la colonne d'eau dans le tuyau de des clapets coniques en outre, l'emploi d'un volant décharge. est inutile, puisqu'une colonne d'eau qui fait partie La colonne d'eau acquiert sous la pression des de l'eau pompée agit, par son mouvement de va-et- gaz détendus, une force cinétique qui fait que, vient, comme le ferait un volant régulateur. La colonne d'eau, qui agit aussi comme piston, ,t .– __ia quatre courses inégales, comme l'exige la théorie E RS quand la détente se fait à la pression atmosphé- ~^jk_ ÉchaPP8men, L rique. Ces courses se décomposent de la façon sui- _Z ]\ vante une longue course pendant la combustion h' I c 1 et la détente, une autre longue course pendant _d L^ i – – l'échappement, une course plus courte pendant RA. Oi*– "°o'chl l'aspiration, et une course, plus courte encore, °q° i – ̃ pendant la compression. Il n'existe de clapet en ~TT vSl. ̃ J j aucun point du tuyau de décharge, de sorte que 1 J \B I D v' l'eau passe librement de lachambre d'explosion au ̃*– "snr ̃* r^ réservoir supérieur. Fig. i. – Pompe-Humphrey système à 4 tempsj. L'examen du dessin ci-contre, qui représente l'un des types les plus simples de pompe, fera com- quand ces gaz arrivent à la pression atmosphérique, prendre le fonctionnement de l'appareil. elle atteint une vitesse d'environ 2 mètres par La pompe proprement dite se compose de trois seconde, et, comme le mouvement de cette colonne pièces principales en fonte fig. i. C est lit chambre d'eau ne peut s'arrêter brusquement, il s'ensuit que de combustion et Ch, la chambre des clapets à eau; la pression en C tend à tomber au-dessous de celle le coude B relie la pompe au tuyau de décharge D de l'atmosphère la soupape d'échappement E et, par suite, au réservoir supérieur R. S. Comme s'ouvre alors ainsi que les clapets à eau CI. on'le voit, le réservoir d'aspiration s'élend A ce moment, l'eau se précipite à l'intérieur par suffisamment pour embrasser la chambre des cla- les clapets, et suit, dans son mouvement, la colonne pets, de sorte que l'eau a libre accès a tous les cla- mobile dans le tuyau D; mais, une partie s'élève pets Ci. Ces clapets à eau s'ouvrant à l'intérieur dans la chambre C, tendant à atteindre le même sont de simples têtes coniques retenues sur leur niveau que celui du réservoir d'aspiration. Lorsque siège à l'aide d'un faible ressort. La chambre de la force cinétique de la colonne mobile s'est épuicombustion est munie à son sommet d'une soupape sée en refoulant l'eau dans le réservoir supérieur, d'admission A et d'une soupape d'échappement E. cette colonne s'arrête et, comme il n'y a rien qui Ces deux soupapes sont reliées pat- un simple empêche un mouvement rétrograde, elle commence mécanisme compensateur, grâce auquel, quand la a redescendre vers la pompe en acquérant de la soupape A s'ouvre ou se ferme, elle s'immobilise vitesse jusqu'à ce que l'eau ait atteint le niveau de d'elle-même et met la soupape E en liberté et, la soupape d'échappement qui se ferme sous le quand la soupape E s'ouvre ou se ferme, elle s'im- choc. Il se forme alors, dans l'espace M, un matelas mobilise à son tour et rend libre la soupape A. Il de gaz provenant de l'emprisonnement, en cet s'ensuit que, à chaque fois que l'aspiration se pro- endroit, des produits de la combustion et la force de la colonne mobile se dépense à comprimer ces Quand la pompe est mise .en marche pour la gaz à une pression supérieure à celle correspondant première fois on laisse entrer l'air comprimé dans à la charge statique de l'eau du réservoir R. S. la chambre de combustion jusqu'à ce que le volume Il en résulte un second mouvement de la colonne d'air introduit soit un peu supérieur à celui de la vers l'extérieur et, quand la colonne atteint le charge ordinaire. On ouvre alors subitement, à niveau de la soupape E, la pression dans l'espace M l'aide d'un levier, la soupape d'échappement, et se trouve ètre de nouveau celle de l'atmosphère; l'air comprimé qui s'échappe met en mouvement la un nouveau mouvement de l'eau fait alors ouvrir colonne d'eau ce mouvement donne lieu aux la soupape A, qui n'est maintenue que par un faible courses de compression et d'aspiration et produit t ressort, et une nouvelle charge d'un mélange de ainsi l'entrée d'une nouvelle charge combustible gaz et d'air se trouve aspirée à l'intérieur. qui, à l'allumage, met la pompe en marche d'une S'il n'y avait pas de frottement, l'eau retomberait façon régulière. Si l'on arrête la pompe au cours de au niveau d'où est parti le dernier mouvement sa marche normale, elle renferme toujours, au ascensionnel, mais la quantité de charge combus- moment de l'arrêt, une charge de gaz et d'air dans tible aspirée à l'intérieur est légèrement inférieure la chambre de combustion il suffit àlors, pour la à celle qui correspondrait à ce mouvement. La remettre en marche, de tourner le commutateur colonne d'eau est refoulée, une fois encore, sous la qui établit le courant d'allumage. pression du réservoir supérieur et comprime la On voit donc par là que l'on peut mettre la charge du mélange de gaz et d'air qui s'allume pompe en marche ou l'arrêter par une simple maalors pour recommencer un nouveau cycle d'opé- nœuvre de commutateur sur le tableau de distrirations. bution. Le moment de l'allumage est réglé au moyen d'un MlN. A. Humphrey a également inventé d'autres petit appareil qui ressemble quelque peu à un indi- types de pompes permettant d'élever l'eau d'un cateur ordinaire de machine et qui ferme le circuit puits ou de la refouler à une hauteur plus grande électrique au point maximum de la compression qu'on ne pourrait le faire avec le type de pompe on emploie également une petite batterie ordinaire, décrit ci-dessus, et d'autres aussi dans lesquelles une bobine à trembleur, et une bougie comme la colonne d'eau n'a, dans chaque cycle, qu'un pour l'allumage dans les automobiles. mouvement vers l'extérieur et un mouvement vers Il convient de remarquer que les seules pièces l'intérieur et qui sont, par conséquent, connues qui soient mobiles, c'est-à-dire les soupapes, sous le nom de pompes à deux temps. s'ouvrent et se ferment sous l'influence de légers Pour une même puissance, en eau montée, la changements de pression et qu'elles reposent consommation de combustible est moindre avec toutes sur leur siège quand se produit l'explosion ces appareils qu'avec tout autre type de pompes, il s'ensuit qu'il n'y a pas de chocs et que la pompe qu'elles soient actionnées par le gaz ou par la fonctionne doucement et sans bruit. vapeur. Installation de filtration d'eau à la piscine municipale Ledru-Rollin I. Par M. J. DEJUST, Ingénieur in Service des emix de la Ville de Paris. La piscine municipale, installée à Paris, avenue Les prix d'entrée très modérés justifient en Ledru-Rollin, n° 6, est alimentée par les eaux de grande partie cette affluence ils ne sont, en effet, condensation de l'usine élévatoire d'eau de la Seine avec la fourniture du linge, que de 0 fr. 20 pour les du quai de Bercy, à laquelle elle se trouve contiguë. hommes et de 0 fr. 40 pour les femmes, qui sont Elle est très fréquentée parla population ouvrière admises dans l'établissement un jour spécial dans de Paris, principalement par celle des XI" et XIIe ar- j la semaine. La fourniture et le blanchissage du rondissements le nombre d'entrées variait, avant linge incombentà un concessionnaire, qui, moyenla guerre, de à par an, ce qui cor- nant une redevance annuelle à la Ville, perçoit les respondait à une moyenne journalière d'environ droits d'entrée. entrées. Cette piscine est constituée, comme l'indiquent les figures 5 et 6, par un bassin rectangulaire de • Le Génie Civil, 8 janvier 1916. 41m,80 de longueur sur 18 mètres de largeur, avec profondeur variable, de façon à constituer, d'une ait toujours une limpidité convenable. Or, les eaux part, un petit bain où la hauteur d'eau varie de de la Seine sont fréquemment troublées en hiver et 0m,50 à lm,28, et, d'autre part, un grand bain de au printemps par suite des crues qui les chargent lm,20 à 2m,75 de profondeur. Ces deux bains ont de matières terreuses, calcaires ou argileuses, très Fig. 1. – Coupe longitudinale de la piscine municipale Ledru-Kollin. des longueurs sensiblement égales le volume fines. Le passage des eaux dans les condenseurs d'eau qu'ils contiennent ensemble est de mè- n'a aucun effet sur ces matières, de sorte qu'elles très cubes. Tout autour de la piscine sont des arriveraient à la piscine aussi troubles qu'en rivière, cabines au nombre de 180, réparties en deux étages; si, par mesure d'hygiène, on ne les clarifiait pas au le tout est couvert par un vaste hall métallique de préalable. Cependant, jusqu'en 1913, en l'absence 9m,80 de hauteur et Wm,20 de portée, pourvu d'un d'aucun procédé simple, pratique et économique, large lanterneau vitré, que des rideaux peuvent la clarification ne se fit pas; ce n'est que depuis garnir lorsque le soleil est trop ardent. cette époque qu'un dispositif remplissant les cônL'eau d'alimentation de la piscine est à la tempe- ditions exigées fut appliqué par nos soins. Depuis rature de 27° à 28° C. elle provient, comme nous deux ans l'installation établie dans ce but foncl'avons dit, des condenseurs par mélange de l'usine tionne et donne, d'une manière continue, une eau _Avenue -Ledpu~Rom~n. ~an'~s~r"" TjMu – – S j s~e f?M "iw- jk~.J U n m 1 nn'Snn 1 I chaudières I i Jr* "r Ss//e de u •W JlN I il if 1 1 1 1 1 L LLLLLLlJXLLI-Li-iij-F il U^U fi I r^^ 1MÎ ^umjg t j1 Y^Jr 3 n fi ni J ° J §1 §' Piscine i ïif t ee o !i! tf -––– –––––-–– Fig. 2. – Plan de l'usine élévatoire et de la piscine Ledru-Rollin. élëvatoire du quai de Bercy, où sont installées claire, même au moment des plus fortes crues. quatre machines à vapeur monocylindriques d'une Cette installation, faite dans l'usine élëvatoire, puissance nominale totale de 560 chevaux. se compose de six réservoirs cylindriques F fig. 3 L'usine rejette en vingt-quatre heures, lorsque à 7 de lm,10 de diamètre et de 2m,80 de hauteur toutes les machines fonctionnent, environ contenant une couche de lm,10 de sable fin qui mètres cubes d'eau à 30° ou 35° en hiver et à 40" ou 45° repose sur une dalle poreuse placée à 0m,40 auenété. Mais il arrive assez souvent et surtout en hiver dessus du fond. L'eau à clarifier arrive au sommet qu'une ou deux unités sont arrêtées, et que, par de ces réservoirs par des conduites telles que B, suite, le débit journalier des condenseurs est réduit branchées sur le collecteur A, traverse la couche à ou mètres cubes, de sable et la dalle poreuse et sort par le fond, II faut que l'eau de la piscine soit renouvelée au d'où une conduite R la mène au collecteur D moins une fois par vingt-quatre heures et qu'elle d'eau clarifiée qui, à son tour, la mène à la piscine. Les six réservoirs représentent une surface fil- hiver. Afin dn réduire l'emplacement nécessaire au S trante de 6 mètres carrés de surface ils reçoivent strict minimum, nous avons déterminé expérimen- mètres cubes par vingt-quatre heures, c'est-à- talement le débit des sables en fonction de leur dire 200 mètres cubes par mètre carré, chiffre très grosseur, de l'épaisseur de leurs couches et de la important pour la circulation de l'eau à travers le sa- charge d'eau à laquelle ils sont soumis. Nous avons ble, car il correspond àune vitesse de 8"\ 33 à l'heure. ainsi constaté qu'une couche de sable de 1 mètre d'épaisseur, composée de grains Fm 3. Élévation. Fie. 4. Vue de profil. de 2 à 3 millimètres de diamètre, J I i _j fi î> peut débiter mètres cubes r r* j t d'eau par mètre carré et par S J "F t vingt-quatre heures, sous une I ff" '̃'̃ •'rr fi'* '̃ v- ̃ charge de 1 mètre. Mais, pour ̃ "̃ J •• fi -• tenir compte de la réduction de I Yi '̃ ̃̃ ce débit par suite du colmatage F I J C progressif, nous l'avons affecté B 2 -B a I, d'un coefficient compris entre i /T7 ai _=f= .3 1/7 et 1/9 et nous avons adopté i i 51 "V =^i la base de 200 mètres cubes. – ~=*r. L'expérience a confirmé l'exacti- S! Il TT 'lOâ& 1- j &4rE 3?r L'expérience a confirmé l'exacti- H "T *Yf *]_ HP5' r~ï~ tude de ces prévisions. n ~t– ^r-ffi– 1 j J 1 – *^l ^r^-M^^W^S^S poreuse est surmontée d'un ser̃i' e pentin perforé fig. 11 dans lequel l'air est envoyé par un l~[ lj-l l injecteur alimenté par là vapeur j LaL. -^f des c'iaudières de l'usine l'eau /s^ /*s- propre, fournie par les conduites S /f^,J\ yfc- *^jj if}. Kig. 3 à 3. de la Ville, arrive par le fond des I U~\ V^ £U{ JB~J Détails d'un élément de l'installa! ion réservoirs; l'eau sale est évacuée H \^Z^^ H S X^j de filtration d'eau par un tuyau de trcp-plein ayant Lr~ [ j^^SjJZ^T^rX^À la piscine Ledru-Rollin. son origine presque au niveau du i y S sable. "yÀ»! 1 Afin d'activer le nettoyage et 1 "•. de réduire, par suite, la consom- j – j-p malion de vapeur et d'eau propre, ̃• -r- le sable est recouvert d'un chaFio. s. Plan. peau constitué par deux troncs de cône superposés, garni autour de Le grand débit journalier admis par mètre carré sa base d'un solin de ciment en pente vers l'orifice de surface des filtres constitue la principale nou- d'évacuation des eaux sales. La vitesse de l'eau veauté de l'installation. En effet, dans toutes les augmente dans le tronc de cône inférieur, les impuinstallations filtrantes par le sable, le débit par retés flottantes sont entraînées au lieu de se déposer mètre carré et par vingt-quatre heures ne dépasse à nouveau à la surface du sable, puis cette vitesse guère 20 mètres cubes. Si nous avions adopté cette se ralentit dans le tronc de cône supérieur pour base, il eût fallu disposer d'une étendue de 60mè- permettre aux grains de sable, qui pourraient être 1res carrés pour les filtres eux-mêmes, et d'une entraînés, de retomber sur la couche. quantité au moins égale pour les accessoires mais Le tuyau d'évacuation des eaux sales est inter- la place faisait défaut et, de plus, une telle surface rompu sur son parcours et muni d'un entonnoir eût entraîné le refroidissement de l'eau, surtout en rendant apparente la veine liquide sur 0m,10 de L. hauteur cette veine liquide est trouble pendant le car il est évidemment égal à la différence entre les nettoyage et devient claire lorsqu'il est terminé. débits de ces deux déversoirs. Ce débit est, d'ail- La dépense journalière moyenne se décompose leurs, enregistré d'une manière permanente sur un de la manière suivante diagramme tracé par deux plumes qui se déplacent 1° Main-d'œuvre 1 ouvrier pen- Via- 6- Bâcne dant 2 heures. 1,20 fr. d'alimentation. 2° Courant électrique pour l'élé- ̃ – [J p n – î vation de l'eau 1,1 kw. x DE u*7~ H~i 24 heures X 0 fr. 10 2,61 1 SpfK 1 i^ i ~~7 3° Lavage eau de source à 0 fr. 35 =^ jjf i i j j çJ le mètre cube à Paris 2 X EEj£? S Si 12 mètres cubes X 0 fr 35- 8,40 £-_rr §É§jj& *f ICI 4* Divers graissage, etc.. 0,76 r~EE~ 1 ~–––LL!i"s~ Total. 13 fr- -Z- Cette dépense étant relative à ET J7 tEJT – =^iv=^£=p^= mètres cubes, le prix de revient J j; Ër ^^jg^Êj-îpr^ZHEIï^ est donc de T. il t &? – r-j. fv\ est donc de la t ri^ri= î! = §j '^V^V^ M- liJ0 fr. "̃••̃ -Vf; t par mètre cube d'eau clarifiée. ̃ '̃ -'• Sablp k 'i i = ̃ L'alimentation de ces filtres se fait fi – '̃'̃•'• "• ̃ '̃ ̃ /g au moyen d'une pompe centrifuge t g ̃̃• /]'[' ;;̃'> J*~f, électrique qui puise l'eau de conden- j»J a E j^j y ̃•̃ i i u 45 sation dans un réservoir, l'élève dans = - i- .̃/̃ ̃[- une bàche E fig. 10 divisée en trois çj> {* vrV-A^jtS'^ SlLv^i3t;if compartiments par deux cloisons D J Ë f^» £ et D' munies chacune d'un déver- i r; ty y^^=r^= ^=r^3f rg soir de même longueur, mais à deux J ri çjf 1 – ra .S niveaux différents. L'eau arrive dans j J Eï f -refc~j^7^jjr- .7jpr.j7j g le premier compartiment A, franchit J [ e == i XZ?X S Je déversoir de la cloison D, qui est J Wjgj r_ f^ plus élevé que celui de la cloison D' T^* JEL et tombe dans le second comparti- – L m^K '^J ment, qui est en communication avec l> Jj ^ \~i iliv^i – – ~^a le collecteur d'alimentation des fil- ~~/o. S'appliquent en lavages, tions et surtout fumigations. à température la plus élevée possible. Tuent rapiI. LAVAGES ET BADIGEONNAGES. En désinfection la chaux utilisée doit i^~tre de la chaux ' En désinfection la chaux utilisée doit être de la chaux S a li ue de référence grasse, provenant de calcaires sensiblement purs. Elle se 1 Lml de chaux. – S applique de préférence reconnaît aux caractères suivants au contact de son poids aux locaux dont les parois sont simplement d'eau, la chaux s'hydrate vivement en fusant et augmentant créDieS de volume. La température dépasse 100°. Au bout de quelques minutes, toute l'eau est absorbée, la chaux se délite en donnant une poudre onctueuse, blanche et se délayant facilement dans un excès d'eau. Les chaux maigres [lj Revue scientifique, numéro du 27 déc. 1915. provenant de calcaires siliceux ne conviennent pas. 1 dement les microbes, mais peu actifs vis-à-vis des rément le meilleur procédé, tant par sa simplicité spores. que par l'action plus forte de l'agent bactéricide Leur principal défaut est leur odeur persistante, qui s'insinue là où les liquides ne peuvent pénééveillant chez les malades et blessés des souvenirs trer. Cette méthode demande également moins de fâcheux. soins et moins de travail que les lavages et les pulLeur emploi est a* surveiller en raison de leur vérisations qui exigent une attention continue si toxicité. l'on veut qu'aucun point n'échappe à l'action de l'antiseptique. -4" Sublimé corrosif, biiodure de mercure. En Par contre, il demande le cubage des locaux solutions à 1/ additionnées d'acide tartrique pour le calcul de la quantité de l'antiseptique à et de chlorure de sodium solution de sublimé du employer. Il est, en outre, indispensable d'obstruer formulaire étendu il 1/100. toutes les ouvertures, de coller des bandes de Très employées autrefois, les solutions mercu- papier sur les interstices des portes et fenêtres, rielles sont tombées actuellement en discrédit on voire même les trous des serrures, et de multiplier leur reproche de ne pas tuer les microbes, mais de les sources désinfectantes, suivant les dimensions les envelopper d'une membrane organo-mprcu- des locaux, pour assurer une répartition régulière. rique, susceptible de disparaître ultérieurement Enfin, en hiver.. il sera bon, si possible, de chaufen laissant au microbe sa virulence primitive. fer au préalable les pièces à désinfecter, en se souCes solutions seront employées à défaut d'autres venant que l'action du bactéricide est toujours moyens. Elles attaquent les métaux et sont forte- exaltée par l'action de la température. ment toxiques. A surveiller. Principaux agents employés en fumigations 3° Chlorure de zinc à 5% liquide de Saint-Luc. chlore, acide sulfureux, formol et ses poly» Plus désodorisant que bactéricide. Ne l'utiliser mères. qu'à défaut d'autres antiseptiques. qu'à déftut d'autres antiseptiques. 1° Chlore gazeux. Le plus énergique des bac- 6° Carbonate de sodium en solution à 2 °/o. – téricides, mais d'un maniement dangereux, en Pure ou mieux additionnée de 1 à 2 de savon raison de ses propriétés irritantes et nocives. La noir. S'emploie très chaude. Très bon antiseptique dose à employer est de 1,5 à 2 en volume, soit se trouvant partout, inoffensif, peu coûteux et ayant environ 5 grammes par mètre cube d'air. L'extrait encore l'avantage appréciable d'être un excellent de Javel, de qualité courante, contient de 50 à agent de nettoyage. 60 grammes de chlore actif et plus par kilogramme. Le chlorure de chaux, 300 grammes environ. Il 7° Formol commercial à 2,5 °/0. – Très bon pro- convient de les titrer soigneusement avant usage cédé, très économique, mais d'application assez voir Épuration des eaux de boisson en campapénible, les vapeurs de formol étant irritantes. 9ne '̃ Ces composés, au contact de l'acide chlorhydrique, cèdent immédiatement tout leur chlore. ]j PULVÉRISATIONS. En se basant sur ces propriétés, et en admettant que l'on puisse, en campagne, se procurer ces Seront faites a l'aide des pulvérisateurs utilisés ingrédients, il sera facile d'imaginer un dispositif en viticulture, si l'on peut s'en procurer par réqui- permettant de faire tomber l'acide chlorhydrique sition. Les pulvérisations ne sont pas d'efficacité goutte à goutte dans l'hypochlorite liquide ou le supérieure aux lavages et badigeonnages. Elles se chlorure de chaux délayé en bouillie claire. Placer pratiquent avec les mêmes solutions et doivent être un appareil producteur de ce genre par 100 m3 et faites lentement et régulièrement et le plus près se retirer rapidement dès qu'il fonctionne. possible des surfaces à désinfecter, de façon à les L'action du chlore est rapide deux ou trois mouiller complètement la solution désinfectante heures sont suffisantes pour une désinfection comdoit littéralement ruisseler le long des murs. Si plète; ne pénétrer ensuite dans les locaux que muni l'on utilise la solution commerciale de formol d'un,masque respiratoire et aérer très largement à 2,3 °/0, il faut aérer largement pendant la pulvé- pendant vingt-quatre heures. risation, car le formol irrite facilement les mu- queuses, et clore ensuite le local hermétiquement 2° Acide sulfureux. Excellent antiseptique, pendant au moins vingt-quatre heures. bien qu'on lui reproche une pénétration insuffisante et un pouvoir bactéricide médiocre sur les microbes 111. Fuhnr,ar~ov.. résistants bacille diphtérique, bacille tubercu- 1 leux, etc.. La désinfection des locaux par fumigation ou ––––––––––––––––––––––––––––– diffusion de gaz ou vapeurs antiseptiques est assu- » Voir dans un prochain numéro. Détruit rapidement les rongeurs et les insectes lène a toutefois l'avantage sur le formol de con- parasites. A ces divers titres et aussi en raison de tenir plus de principe actif 100 au lieu de 40% la facilité que l'on a de se procurer partout du et d'être plus facilement transportable, en sa qua- soufre, de son bas prix et de la commodité de son lité de solide peu encombrant. 'S emploi, il rendra souvent de grands services. Lorsqu'on ajoute au formol commercial un oxy- 20 à 30 grammes de soufre par mètre cube sont dant énergique permanganate, chlorure de chaux, suffisants. Une dose plus forte est inutile, elle ne peroxydes, l'aldéhyde formique se transforme en se consumerait pas. Placer le soufre dans des réci- acide formique. La chaleur dégagée vaporise le pients de terre que l'on répartit sur le sol à raison restant de l'aldéhyde formique. Le même fait se de 1 par 5 mètres de longueur environ. Si le sol est passe avec les générateurs de calorique comme la planehéié, interposer sous chaque vase une couche chaux vive. De là des moyens très simples d'utili- ? de sable de 10 centimètres d'épaisseur et débordant sation du formol commercial. de chaque côté de 20 à 30 centimètres. Clôturer toutes les ouvertures et allumer le soufre en com- a Chaleur seule. 800 grammes de formol à t mençant par le récipient le plus éloigné, et après 40 •/“ solution commerciale pour 100 mètres l'avoir imbibé d'alcool, ou encore à l'aide de paille cubes. ou de copeaux. Se retirer rapidement et fermer Diluer la solution commerciale dans quatre par- t hermétiquement la porte de sortie. Laisser l'action tiesl d'eau, la placer dans des casseroles oubouildésinfectantè se continuer pendant vingt-quatre loires métalliques quelconques, elles-mêmes disheures ou trente-six heures au moins. Aérer large- posées sur des lampes à alcool ou des fournaux à ment pendant vingt-quatre heures pétrole. Fermer les locaux en laissant les appareils L'action bactéricide de SO2 est favorisée par la de chauffage marcher jusqu'à extinction, toutes vapeur d'eau. Il est donc très utile d'arroser les précautions utiles étant prises 1° pour éviter les locaux pour saturer d'humidité. dangers d'incendie; 2° pour que les appareils de L'acide sulfureux attaque les objets métalliques; chauffage soient assez puissants pour assurer la les enlever ou les enduire de graisse ou de vase- vaporisation à peu près totale du liquide. line. Les méthodes suivantes sont d'exécution très Il désorganise les fibres textiles par formation facile ultérieure d'acide sulfurique. Cet inconvénient est en partie évité, en faisant séjourner les tissus, b Formol et permanganate dépotasse. "̃ après l'action de l'acide sulfureux, dans une “ 0 • _“ ce. r I i t t\ v, u heureux de saluer en lui un représentant de l'AsCarouge MM. Deshusses et DubelLy. r Chatei ard M. Nicollier. sociation-mère, avec laquelle, par suite des événeEaux- vives* MM. Laplanche et RocheLte. ments, nous ne pouvons avoir que des relations Friboukg M. Thévoz. trop imparfaites. GENÈVE MM. Archinard, Bétant et Crîstiani. En attendant l'heure de la séance, on va visiter LAUSANNE MM. Chastellain, Piot et Roux. la source des Avants qui alimente le Service des Le Locle Méan. eaux de Vevey-Montreux. M. Panchaud donne des Les PLANCHES MM. Miauton et Vittoz. explications fort instructives et attire l'attention de jNelchatei, M. Dind. ses auditeurs sur quelques-unes des particularités VEPanchaïd Couvreu, SchobinSer> Martin et intéressantes de la faille dans laquelle l'eau est -> Panchaud. Yverdon • M Vaucher captée, notamment sur l'orifice naturel qui sert de Industriels M. Grobet Y&llorbe, M. Lapoehn déver-oir à cette faille lorsque l'apport des eaux Lausanne. souterraines excède le débit de la source. Invité M. Aug. Rey Paris. Après cette visite, on rentre à l'hôtel où se tient la séance à l'issue de laquelle on reprend le che- Compte rendu de la journée. min de la gare pour redescendre àMontreux, d'où chacun regagne ses pénates. Les 24 participants-se trouvent réunis le 18 dé- cembre à 10 heures du matin devant la gare de Procès-verbal de la séance. Montreux, d'où ils partent pour aller visiter, sous l'aimable conduite de M. le Syndic Miauton, les La séance est ouverte à 3 h. 10 sous la présidence nouveaux abattoirs de Clarens. Cette installation, de M. Piot, vice-présiden I .• toute récente, est une très heureuse reproduction Membres présents voir ci-dessus. des nouveaux abattoirs de Zurich et dessert les Membres excusés SIM. Carrière, président, Cocommunes des Planches et du Châlelard; le coût sanday Châtelard, Crausaz Fribourg, Reyff d'établissement, y compris le terrain, a été de Fribourg. ° francs environ et les recettes annuelles Invités excusés M. Puthon, adjoint de la comsont en moyenne de 70 à francs. Elle est mune de Chêne-Bougeries et les municipalités de alimentée en eau par la Baie de Clarens, avec un Morges et de Nyon. réservoir de 20 mètres cubes pour les nettoyages, Le procès-verbal de la précédente séance ayant l'entretien, les chasses permanentes dans l'égout, été envoyé à tous les membres en même temps que etpar l'eau des Avants pour la chaufferie, le frigo- la convocation, on ne juge pas utile d'en donner rifique et divers robinets à l'usage du personnel. lecture il est approuvé sans discussion. On en admire beaucoup l'organisation judicieuse M. le Vice-Président souhaite la bienvenue à et la bonne tenue. tous les assistants et plus particulièrement aux Après cette visite, on monte dans le tram de nouveaux membres qui ont bien voulu se joindre Fontanivent et l'on rejoint le M. O. B. qui nous à nous ce sont la commune des Eaux-Vives conduit aux Avants où nous attend un excellent Genève, la ville de Vevey et la ville d'Yverdon. déjeuner offert par les autorités communales de Nous devons leur présence à une circulaire envoyée Vevey, du Châtelard et des Planches et le Service quelques jours avant la réunion aux municipalités des eaux de Vevey-Montreux. A l'issue de ce dé- les plus importantes. Cette invitation n'a pas été V; jeûner, arrosé des meilleurs crus du pays et trop inutile et il est à espérer qu'elle vaudra encore à la modestement qualifié de lunch » par nos ampli- section de nouvelles adhésions, tryons, M. le Syndic Nicollier souhaite la bienvenue L'ordre du jour appelle en première ligne aux membres de l'A. G. H. T. M., M. Piot, vice-pré- l'élection du Bureau pour 1916. M. Piot donne sident, lui répond en remerciant les autorités connaissance d'une lettre de M. Carrière par la- ~j communales qui ont bien voulu nous recevoir avec quelle celui-ci décline une nouvelle nomination tant de cordialité et de largesse. M. Rey, membre aux fonctions de Président. L'assemblée, d'un avis '? français de l'Association, prononce ensuite quel- unanime, décide qu'il sera fait une démarche F ques paroles aimables à l'adresse de la Section auprès de M. Carrière pour le prier de revenir sur suisse, et les applaudissements qui accueillent son sa décision, auquel cas le Bureau serait maintenu en bloc pour un nouvel exercice. Le Bureau est annuels les dangers d'une mauvaise eau et recomchargé en conséquence de donner suite à cette mande avec insistance aux Municipalités de faire démarche et d'en rendre compte à la prochaine analyser les eaux. En 1898, dans la loi sur la Police séance. des constructions, nous trouvons un chapitre spéM. Bétant, en qualité de trésorier, donne con- cial destiné aux eaux d'alimentation. Désormais naissance de l'état .des finances, qui sont, pour le les communes sont tenues de faire contrôler régumoment, alimentées exclusivement par la subven- lièrement les eaux et l'on peut espérer de gros tion de l'Association. 11 y avait en caisse, au progrès. Malheureusement tel n'a pas été le cas. 1er janvier 1915, 27 fr. 40. Le montant de la sub- La loi n'a pas donné ce que l'on pouvait en vention s'est élevé à 42 fr., soit au total 69 fr. 40. attendre et cela pour plusieurs causes. Les dépenses pour convocations, circulaires, etc., On a donné une prépondérance exagérée àl'anaont atteint 34 fr. 05. Il reste donc actuellement en lyse bactériologique et oublié l'expertise surplace. caisse 35 fr. 35. Ce fait peut s'expliquer parce que, voulant interveLa parole est donnée ensuite Roux pour son venir partout à la fois, le laboratoire s'est trouvé rapport relatif à la fièvre typhoïde. Voici ce rapport dans l'impossibilité de faire les prélèvements luimême. On a jugé suffisant de stériliser des flacons Le casier sanitaire des eaux potables. et de les envoyer dans les communes, où les pré“ r lèvements d'échantillons furent souvent faits dans /{apport présenté par M. le /' Louis Roux, bâclé- ai- j i v, i ̃ le Or nr Roux, i~dcté- de mauvaises conditions par des personnes pleines rioloqiste cantonal, a Lausinne, et M. Panchaud, bonne volonté, mais incapables fournir des ingénieur, directeur du Service des eaux, à Vevey. de bonne volonle' mais ^capables de fournir des ir~géraieur, directeier de~ des eaaix, èc Vevey. renseignements suffisants sur l'état des captages et A notre séance du printemps 1914 vous nous des autres installations. Or, il est très dangereux de avez chargés de vous présenter un rapport sur les faire l'analyse des eaux en négligeant ces données. moyens propres à assurer un contrôle efficace des En prenant la précaution de faire au moins deux installations d'eaux. Pour remplir notre mission, il analyses, une en temps sec, la deuxième après la aurait fallu pouvoir obtenir des renseignements pluie; on diminue, il est vrai, les causes d'erreur, sur la façon dont ce contrôle est organisé dans nos mais on en est réduit à prendre comme base d'apditïérents cantons. Malheureusement les événe- pré"ciation le nombre des microbes et la présence ments actuels ont rendu toute documentation du colibacille, et cela est insuffisant parce que complète impossible. Nous nous bornerons donc à trop schématique vous exposer ce qui a été fait, dans ce domaine, dans De 1899 à jgog, sous l'empire des données qui le canton de Vaud. Nous essaierons de résumer les étaient alors admises, le Laboratoire de Lausanne résultats obtenus et surtout de montrer les imper- classe les eaux selon l'échelle de Macé, soit fections du système employé. C'est en 1890 que l'on a commencé à Lausanne à 0 à 100 microbes.. Très bonnes. examiner les eaux au point de vue bactériologique 101 à • Bonnes. et à faire des enquêtes vraiment complètes au ??} f*L Médiocres. ,,“ L o01 à – Mauvaises. sujet de la fièvre typhoïde et de son origine nnl ..“ Très mauvaises. J JF & a – Très mauvaises. hydrique. Le service bactériologique, créé au prin- temps 1890, eut, dans le courant de l'été, à s'occu- La présence du colibacille est considérée comme per d'une épidémie de typhoïde à Bex voir un fait qui laisse suspecter fortementles eaux. cadastre sanitaire du Dr Morax, page 68 et sui- Cette façon d'agir a donné de très bons résuivantes. Le cas était assez compliqué et les ana- tats dans un petit nombre de grandes communes Jystes d'alors s'en tirèrent fort bien. qui ont fait analyser leurs eaux régulièrement. Encouragé par ce premier succès, le Service Les analyses faites en série, à la demande d'ingésanitaire fit soumettre chaque cas de fièvre typhoïde nieurs t'hefs de services des eaux, leur ont. permis à une enquête complète avec analyse bactériolo- d'éliminer définitivement certaines sources trop gique de l'eau de consommation. variables, d'exiger pour d'autres une réfection Dans les trois années suivantes l'analyse bacté- complète des captages. Pour les petites communes riologique d'eaux prélevées pour cause de typhus les résultais ont été presque nuls. Les rapports donne souvent des chiffres très élevés de microbes d'analyses s'en sont allés dormir dans les archives et et présence du colibacille. le plus souvent aucune suite ne leur a été donnée. lïoù la conclusion que la typhoïde est d'origine Depuis 1905, soit depuis mon arrivée à Lauhydrique. Aujourd'hui nous serions moins aftirma- sanne, le nombre des analyses d'eau a sensibletifs et parlerions plutôt de coïncidence que de ment diminué, parce que, plus je vais en avant, relation causale. plus je considère l'analyse bactériologique et chiImpressionné par ces résultats, M. le D' Morax, mique comme ne pouvant donner de résultats qu'à chef du Service sanitaire, signale dans ses rapports condition qu'elles soientsimplement le complément d'une expertise sur place. Cette façond'agirrestreint la base d'un dossier. Ce dossier, déposé au siège évidemment le nombre des analyses, mais en allant de l'autorité de surveillance, est conservé et s'augmoi-même prélever des échantillons et en me rendant mente chaque année des rapports d'inspections compte pour chaque cas des conditions locales, j'ai annuelles et de tout ce qui, en général, concerne la conviction et je pourrais le prouver par des la ou les eaux d'une commune, – c'est le casier chiffres s'il le fallait d'avoir obtenu, surtout sanitaire des eaux. dans les petites communes, des résultats très appré- Aucune nouvelle source ne devrait être mise en ciables. Les faits que je vous ai exposés l'an der- service avant qu'une expertise sur place ait prouvé ,nier étaient, sous ce. rapport, très significatifs, que tout est en ordre. Pour les anciennes installaPour cette année 1915 seulement, j'ai demandé la tions, ilseraiturgentdefaireunerevision générale. réfection complète des captages dans trois com- Il est évident que la création du casier sanitaire munes, la réfection partielle dans une commune, les eaux soulève des questions très compliquées la suppression de 5 fontaines et de 4 sources dans et qu'une étude minutieuse sera nécessaire, mais une commune, etc. Dans trois de ces communes, nous pensons que ce sera le meilleur moyen d'obles enquêtes ont eu lieu à la suite de cas de typhus. tenir un contrôle réel et bien organisé. Les deux autres communes ont demandé l'enquête En résumé, nous vous proposons les deux thèses sans qu'il y ait eu de typhus. suivantes Dans ce qui précède, je n'entends nullement i° Nul ne peut vendre ou fournir de l'eau potable déclarer que l'analyse en série doit être supprimée. sans en avoir obtenu l'autorisation, c'est-à-dire Bien au contraire, elle reste pour les chefs de ser- avant que l'autorité de surveillance ait en mains le vices d'eaux une indication très précieuse mais, casier sanitaire de cette eau pour les petites communes, elle est tout simplement 2° Tout fournisseurd'eau est obligé de soumettre impraticable. ses installations à des inspections régulières au La cause la plus importante de l'échec de la loi moins une fois par an, de 1898 est une cause organique. Cette loi a, en –––––– effet, concédé aux communes le devoir de s'occuper Annexe Extrait de la loi vaudoise des eaux. Les communes ont en général fait le du 12 mai 1898 sur la Police des constructions. nécessaire, lorsqu'il s'est agi de nouvelles sources ART. 119. Aucune eau nouvelle ne peut être voir art. 119. Mais, fort souvent, on a simplement livrée à ralimeiltation avant d'avoir été reconnue ignoré la loi art. 121. En voici la preuve j'ai ins- salubre par le service sanitaire cantonal. pecté, en 1915, une commune où, sous le rapport Art m La municipalité fait contrôler l'état des eaux, rien n été fait depuis 1885, époque à des réservoirs, filtres et canalisations des eaux laquelle on avait dû réparer une fontaine pour infil- publiques et des eaux particulières. Elle prescrit tration massive du purin. Dans une autre com- les mesures nécessaires à leur entretien et à leur mune, j'ai trouvé une installation toute neuve propreté. datant de 1910 et pour laquelle la seule analyse ou inspection demandée a été une analyse chimique au Après un échange de vues auquel prennent part début des travaux. MM. Nicollier, Dind, Panchaud, Cristiani, ViUoz et Je puis donc dire La loi de 1898 est restée sans Thévoz, on décide de transmettre les conclusions effets pratiques, parce que les intéressés l'ont mal de ce rapport, sous forme de vœu, aux autorités comprise ou plus souvent ignorée. des cantons intéressés, y compris Berne et Valais, Nous sommes arrivés avec M. Panchaud aux ainsi qu'au Bureau sanitaire fédéral. Ce vœu est conclusions suivantes rédigé dans la forme suivante Le contrôle des eaux potables doit être complè- 1° iXul ne peut vendre ou fournir de l'eau sans tement réorganisé en tenant compte des expé- en avoir obtenu l'autorisation, c'est-à-dire avant riences faites. Il faut, en particulier, une autorité que l'autorité de surveillance ait fait procéder aux centrale de surveillance, qui oblige les communes expertises techniques et hygiéniques des captages à prendre des mesures. On ne doit plus attendre et autres installations; que l'épidémie de typhoïde nous indique où il faut 2° Tout fournisseur d'eau est obligé de soumettre intervenir. ses installations à des inspections régulières au Pour cela il est nécessaire que l'on crée dans cha- moins une fois par an que commune le casier sanitaire des eaux potables. 3° Les rapports d'expertises techniques et hygiéNous croyons vous avoir démontré la nécessité niques, ainsi que les rapports d'inspections de l'expertise sur place celle-ci doit être faite à un annuelles et toute autre pièce concernant les eaux, triple point de vue géologique, technique et hygié- formentlecasier sanitaire des eaux d'une commune; nique. Le rapport présenté à la suite de cette 4° II est nécessaire que dans chaque canton on expertise doit être accompagné des résultats des établisse peu à peu le casier sanitaire de toutes les analyses chimiques, bactériologiques, etc., et il est eaux d'alimentation !î° Les eaux d'alimentation doivent, dans tous les Dans les plans de transformation, d'amélioration cas où cela est possible, être analysées périodique- et d'agrandissement des agglomérations, il est ment tant au point de vue chimique qu'au point de alors possible, en tenant compte du Casier sanitaire vue bactériologique. Ces analyses sont obligatoires et de ses révélations, de chercher à s'attaquer méthopour les grands services de distribution d'eau. diquement à toutes les parties de la cité qui M. Auguste Rey prend ensuite la parole pour sa soutirent. communication sur l'amélioration de l'hygiène des “ peu ..“ soent assez anciennes, communication sur l'amélioration de l'hygiène des Pour peu que les villes soient assez anciennes, villes et le casier sanitaire. ellesont généralement des centres très agglomérés, L'amélioration de l'hygiène des villes des rues étroites, des espaces entre les corps de el le casier sanitaire. bâtiments insuffisants et, comme conséquence, l'absence des rayons du soleil. L'amélioration de l'hygiène des agglomérations L'administration d'une ville sait à quoi s'en nécessite des efforts de plus en plus méthodiques. tenir à ce sujet et les ravages causés par les On sait les services rendus par la statistique, qui maladies de l'obscurité et de l'humidité. permet de faire apparaître l'état sanitaire réel Une des questions les plus' graves, devant d'une agglomération. lesquelles nous nous trouvons aujourd'hui comme Appliqués à l'hygiène des habitations, ces statis- hygiénistes, est la constatation angoissante de tiques présentent des avantages considérables. maisons et souventde blocs entiers dans lesquels la Elles permettent de déterminer, dans ses moindres tuberculo-e et le cancer, pour ne citer .que les fléaux détails, la situation sanitaire des maisons, soit les plus redoutables, sont pour ainsi dire logés à séparément, soit par groupes ou îlots. En relevant l'état permanent. Ces maisons, légalement, subsischaque cas de maladies transmissibles, les causes tentcependant. Rien n'avertitles familles qui y vivent des morts, en particulier, elles précisent des faits du danger qu'elles courent. La mort a beau frapper de première importance. La statistique, en un mot, à coups redoublés dans ces habitations crimipermet d'établir minutieusement la valeur hygié- nelles », aucune mesure n'est prise. C'est un des nique réelle de chaque habitation. points les plus inquiétants dont nous ayons à nous occuper aujourd'hui. La base sur laquelle il s'agit, au point de vue On pourrait, pour certaines agglomérations qui statistique, d'établir les transformations des agglo- ont un service d'hygiène bien organisé, tracer en mérations anciennes est de connaître, dans ses taches rouges, sur les plans cadastraux, les plaies plus minutieux détails, la situation sanitaire réelle morbides par lesquelles, dans la ville moderne, de chaque habitation. Cette base est ce qu'on a s'écoule lentement et avant l'âge le sang de popuappelé le Casier sanitaire, création française appli- lations innocentes quée et quelques-unes de nos plus grandes cités. On peut repérer avec une précision absolue les La création du casier sanitaire, dont on connaît foyers d'où sont sorties certaines épidémies redouaujourd'hui le mécanisme si simple, devient un tables, où telles maladies contagieuses se sont devoir social de première importance pour nos propagées. administrations communales. Les agglomérations, Ces préoccupations sont aujourd'hui plus que quelles qu'elles soient, devraient toutes en être jamais à l'ordre du jour. Les points rouges de cette pourvues. cartographie urbaine doivent être attaqués avec Créer pour chaque habitation une fiche sanitaire une énergie méthodique. Il n'est plus admissible, contenant les détails les plus complets sur tout ce à une époque où les questions d'administration qui peut intéresser la vie des habitants devient tous publique ont fait de si réels progrès, que sur ce les jours plus indispensable. Un Service d inspee- point un effort décisif ne soit pas fait. tion des maisons, rattaché aux Services généraux d'hygiène, permet d'arriver en peu de temps à En face de ces hécatombes de victimes innoconstituer ce précieux instrument de travail qui cenles, quelques pays commencent à prendre des s'appelle le Casier sanitaire. mesures législatives. La Hollande a voté et mis en II s'agit d'y porter, avec grand soin en particu- pratique une loi qui se résume dans ces simples lier, les résultats des statistiques concernant les mots maladies contagieuses et les causes de la mortalité Interdiction d'habiter des habitants. Ces dernières doivent être relevées sur la plus longue période d'années possible et Ces mesures, qui représentent une attaque directe embrassant, pour les habitations importantes, les à l'habitation malsaine, sont une sauvegarde procinquante dernières années au moins. tectrice de la santé publique. Elles commencent à Ces fiches, une fois établies, doivent être tenues au porter leurs fruits et ont ouvert une voie à des courant avec régularité par le service d'inspection. améliorations sanitaires considérables. On sait aujourd'hui que-les questions d'orienta- M. Rey termine en proposant le vœu suivant tion des voies publiques, qui ont pour conséquence La Section suisse de t'Association générale des l'orientation rationnelle des corps de bâtiments, Hygiénistes et Techniciens Municipaux, réunie le j~ ont une influence fondamentale sur la valeur sani- décembre 1915 Recommande, d'une manière taire de 1 habitation, instante, à toutes les Administrations urbaines de Cette orientation astronomique rationnelle, qui hâter rétablissement d'un casier sanitaire dans permet, dans nos zones tempérées, à chacune des toutes les aggtomérations de quelque importance. façades opposées de recevoir rigoureusement, la Elle estime qu'aucun progrès réel, dans l'amélio- moitié du jour, les rayons directs du soleil, crée ration de l'hygiène urbaine, et qu'aucune mesure des maisons qui seront toujours saines et dans efficace ne peuvent être entrepris sans cet instru- lesquelles les habitants, en suivant les règles élé- ment de travail. a mentaires de propreté, seront à l'abri des maladies M. le Vice-Président remercie M. Rey de son les plus redoutables. intéressant exposé. Sur une question de M. le Syndic Les études approfondies faites sur la décompo- Couvreu, M. Rey ajoute quelques explications, sition de la lumière, l'influence considérable de notamment au sujet des points. spéciaux, sur certains rayons du spectre, depuis les rayons infra- lesquels doit porter le casier sanitaire. M. Thévoz rouges jusqu'aux rayons ultra-violets, nous ont demande que ce rapportparaisse dans la Technique permis d'établir des principes de construction de Sanitaire En conséquence, M. Rey en remet un l'habitation, de tracés des voies publiques, par exemplaire au secrétaire. La question qui en fait conséquentdesplansdeviltessalubres et définitifs. l'objet pourra être mise en discussion dans une Cette grande science de l'hygiène n'est qu'à ses prochaine séance. débuts sur plus d'un point. Ses progrès, dans ce On discute pour terminer le lieu de la prochaine siècte, seront une des gloires des peuples qui séance. M. Méan propose le Locte, ce qui est adopté travaillent à la civilisation du monde, en en principe. Le Bureau s'entendra avec le représensition à ceux qui travaillent à son retour à la tantdecetteviilepourl'organisationdelar.'union. barbarie. Un des grands chapitres de cette science La séance est levée à S h. 1/4. est le tracé hygiénique des plans de viltes, tout entier basé sur l'éclairage direct, par les rayons du Le 5'? REGNARD, INGÉN!ELR CIVIL DKS MINES, SECRÉTAIRE GÉNÉRAL-TRÉSORIER 3, Rue Palatine, Paris VI' COMITÉ DE RÉDACTION LE BUREAU DE L'ASSOCIATION MM. BECHMANN, Ingénieur en Chef des Ponts et ~Chaussées~ en retraite Directeur honoraire de la Préfecture de la Seine EauxetjAssainissement; Administrateur du Chemin de fer électrique souterrain Nord-Sud de Paris. BONJEAN, Chef du Laboratoire et Membre du Conseil Supérieur d'Hygiène publique de France. D' CALMETTE, Directeur de l'fnstitut~Pasteur de Lille. D' COURMONT, Professeur d'Hygiène à la Faculté de Lyon et Membre du Conseil Supérieur d'Hygiène publique de France. DABAT, Directeur Général des Eaux et Forêts France. DIMITRI, Chef-Adjoint du Laboratoire et Auditeur au Conseil Supérieur d'Hygiène pub. de France. D' IMBEAUX, Ingénieur en Chef des Ponts et Chaussées, Directeur des Travaux de la Ville de Nancy. LIDY, Ingénieur en Chef des Ponts et Chaussées, Directeur des Travaux de la Ville de Bordeaux. MARTEL, Géologue, Membre du Conseil Supérieur d'Hygiène publique de France. VAN LINT, Ingénieur civil, Ancien Directeur de la Rédaction de la Technique Sa'~ttttre et Municipale. Secrétaire de la Rédaction LÉVY SALVADOR, Ingénieur, Chef du Service des Etudes techniques de l'Hydraulique agricole au Ministère de l'Agriculture. SOMMAIRE Association Grenérale des Hygiénistes M. le Dr BoMAS. – Voiture à désinfection et à douches, et Techniciens Municipaux p. 64. Conseil d'Administration Extrait du Procès-verba de la M. p. BRUNET. – La Sécurité Société coopérative des Séance du 3 mars 1916, p. 49. habitations salubres à bon marché, p. 67. Assemblée générale du 25 mars 1916, p. 50. M. le D' tMBEAux. L'eau et les prises d'eau dans les Bibliographie grands lacs, p. 37. M. GAILLARD. –Désinfection en campagne suite, p. M. Les Cités-jardins, leur portée socia. des Hygiénistes et Techniciens municipaux. ADMINISTRATION DE L'ASSOCIATION CONSEIL D'ADMINISTRATION Michel, Direct, de la Comp. pour la Fabr. des Compt. et Matér. d'Usines à gaz. Bureau Otto, Administr. de la Comp. gênerai;* de l'Ozone. Peigné, Dir. de la Soc. d'Assainiss. de Saint-Malo. PRÉSIDENT DES AUTRES PAYS Beclunann, In~én. en chef des Ponts et Chaussées en j~ E. Putzeys, Prof. à l'Université de Liège belge. retraite, Dir. bon. de la Prélect. de la Seine Eaux et Hachez, Insp. Gén. des Trav. d'Hyg. au ministère de Assainiss., Administr. du Chemin de fer électr. sou- l'Intérieur de Belgique. terrain Nord-Sud, à Paris. Bétant, Direct. du Serv. des Eaux de Genève suisse. Fischer, Conseiller d'Etat, Ingénieur luxembour- VICE-PRÉSIDENTS geois. D*' Calmette, Direct. de l'Institut Pasteur à Lille français .SECTION PARISIENNE Dabat, Dir. gén. des Eaux et Forêts France, id. – A. Metz, Membre Industriel, id.. bureau E. Putzeys. Ingén. en Chef de la Ville de Bruxelles Boreux,Insp. Gén. des P. et Ch. en retraite, Présideat. belge. Bergeron, Prof. à l'Ecole Centrale, Vice-Président. D~ Carrière, Sous-Dir. du Bur. sanitaire fédéral à .Bruère, Chimiste, Secrétaire. Berne suisse. Ed. Metz, Secrétaire-Adjoint. SECRETAIRE GÉNÉRAL-TRÉSORIER SECTION SUISSE Regnard, Ing. civ. des Mines, r. Palatine, 3, Paris, 6e. SECTION SUISSE Bureau SECRÉTAIRE GÉNÉRAL ADJOINT D' Carrière, Vice-Prés. du Bureau sanit. fédérât à Dimitri, Chef adjoint du Laborat. et auditeur au Cons. Berne, Président. Supér. d'Hv~. PubL de France, boul, MonLparnas~e Chef Service de la Voirie de Lausanne, Vice,,2, Paris. Président. 1. d S d E d G' S 't M, Paris. – Bétant, Dir. du Service des Eaux de Genève, Membres Trésorier. FRANÇAIS NON INDUSTRIELS COMITÉ DE RÉDACTION Auvray, de la ville de Versailles. Baudet, Sénateur d'Eure-et-Loir, maire de Château- Le Bureau de l'Association d" Bechmann, Ing. en chef des P. et Ch. en retraite; Bluzet, Chef du Serv. Centr. de l'Inspect. n'en. des Dir. honoraire de la Préfecture de la Seine; Ad. du Serv. Admin. an Minist. de f'intér. Ch. de fer. El. Sout. Nord-Sud. Bruère, Chimiste. Bonjean, Chef du Laboratoire et Membre du Conseil Burelle, Adm- Dir. de l'Union mutuelle des Proprié- supérieur d'Hyg. Publ. de France. taires de Lyon. j~. Calmette, Directeur de l'Institut Pasteur de Lille. D'' Courmont, Prof. d'Hygiène, à. l'Université de Lyon. D'' Courmont, Prof. d'Hygiène à la Faculté de MédeDiénert, Chef du Serv. de Surveill. des Eaux d'alimen- ciné de Lyon et Membre du Cons. Sup. d'Hyg. Putation de la Ville de Paris. Auditeur au Cons. sup. blique de France. d'Hyg. Pub. de France. Dabat, Dir. Gén. des Eaux et Forêts France. Dr Imbeaux, tng. en Chef des P. et Ch., Nancy. Dimitri, Chef adj. du Laboratoire et Auditeur du ConLe Couppey de la F'orest, Audit. au Cons. Supér. seil sup. d'Hyg. Publique de France. d'Hyg. Puhl. de France- Dr imbeaux, Ing. en Chef des P. et Ch.; Dir. des Lidy, Ing. en Chef des P. et~Ch., Dir. des Trav. de la Trav, de la ville de Nancy. Ville de, Bordeaux. Lidy, j~g en Chef des P. et Ch. i~ des Travaux de Loewy, Ing. en Chef des P. et Ch. la ville de Bordeaux; Martel, Membre du Cons. Supér. d'Hyg. Publ. de Martel, Géologue, Membre du Conseil sup. d'Hyg. PuFrance. blique de France; Masson, Membre 25,3 36,2 54,3 43,4 24,6 49,3 41,9 49,3 35,9 24,3 » a » g Toronto Hypochlorite depuis 1911. Filtres lents o Canada, depuis 1913. 16,0 20,3 20,1 17,8 14,3 18,2 ~.2 25,8 18,7 31,4 < » » [Kingston. Non traitée. » 39,0 5,5 99,5 22,1 38,5 38,4 » 23,1 34,8 23,1 » –– falo. Hypochlorite, 1911. Filtres III. Mortalité typhique des villes de plus de habitants alimentées par les eaux des grands lacs américains. Mortalité par habitants. POPULATtON ANNÉES m n a z 5 e~ m M z 5 t?! m !-i S C z 3 CI x 1 a 3 t~ a trouble il n'admet, et avec raison selon nous, la fort intense notablement plus intense que dans les désinfection par l'hypochlorite de chaux que comme villes européennes, avec des exacerbations cerun remède provisoire peu esthétique, et laissant tainesannées. L'amélioration résultant des mesures souvent subsister le goût de chlore. Il semble qu'à les plus récentes filtration, emploi de l'hypochloces procédés il convient d'ajouter l'ozonisationqui, rite de chaux n'est pas malheureusement mise en avec des eaux déjà claires et peu polluées ea évidence, ces mesures ne datant guère que de 1911 somme, pourrait être pratique et peu coûteuse, et leCensus n'ayant pas encore donné la léthalité Tous les auteurs ne sont pas aussi exigeants que pour les dernières années; mais il n'en est pas de Whipple, et en fait bon nombre de villes alimentées même pour l'effet de la mise en service du <~

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