3articles taggés L'Etat c'est le mal mais un mal historiquement nécessaire aussi nécessaire dans le passé que le sera. Rechercher tous les articles taggés L'Etat c'est le mal mais un mal historiquement nécessaire aussi nécessaire dans le passé que le sera . Entropie et Ordo ab chao. Entropie "Nom donné par Clausius à la fonction d'état
Maisalors, s'il est conçu seulement comme instrument, l'Etat devrait disparaître avec les inégalités sociales : c'est la perspective de la suppression de l'Etat dans la société sans classes. Ainsi, l'Etat serait-il un simple instrument, un moyen. Et ce moyen devrait être conçu soit comme un mal nécessaire, durable dans le cas du libéralisme, théoriquement
Sousun État juste, il n’y a pas de tyran, tout le monde obéit à la loi et personne n’est au-dessus des lois. Donc corriger l’inégalité économique ne semble pas nécessaire, l’égalité devant la loi annule en quelque sorte le jeu des forces entre le fort et le faible.
LÉtat est-il un mal nécessaire ? L’État a toujours joué un rôle crucial dans l’histoire de l’homme, souvent au cˆ ur des décisions, grâce à son rôle politique et social. L’État se définit par un ensemble d’administration, d’institutions qui régulent la vie en société par l’instauration de lois pour permettre une cohabitation des hommes dans une même
LEtat peut véritablement être un mal s'il s'agit d'un Etat illégitime. Différent de l'État légitime dans lequel il y a des lois pour tous et par tous qui assurent l'égalité et la
Alorsfaut-il en conclure que l'État est un mal en tant qu'il nous empêche d'être libre, mais qu'il est un mal nécessaire, dont nous ne saurions nous dispenser si nous
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Certains la rejettent au profit du pacifisme ou au nom du respect des individus, d’autres au contraires pense qu’elle est nécessaire pour le bien être de la société et des êtres humains en général. Pour l’avancée du monde, la violence peut être obligatoire. Nous pouvons donc nous demander L’utilisation de la violence est obligatoire ou si a contrario nous pourrions nous en passer ? Nous allons dans un premier temps nous montrerons que celle-ci est nécessaire à l’accomplissement de l’homme et de son environnement, et que nous ne pouvons pas faire autrement qu’avec la violence pour y arriver. Puis, nous expliquerons qu’elle est contingente et qu’il faut la rejeter au nom du respect ou du pacifisme. Pour commencer, nous allons montrer que la violence est nécessaire à l’accomplissement de l’homme et de son environnement. La violence chez l’homme peut être le fruit de la société. Tout d’abord, Hegel souligne le rôle constructif qu’a joué la violence dans l’histoire. La liberté par exemple s'est gagnée dans un combat entre celui dont la liberté est niée et celui qui la nuit. Autrement dit, la violence la violence devient ici une nécessité dans l’histoire universelle, c’est-à-dire l’histoire de chacun. Pour-lui, si l’humanité veut progresser, elle doit réaliser de grands bouleversements parce que c'est ainsi qu'elle peut facilement l'atteindre. L’auteur établit aussi une distinction entre le despotisme et la tyrannie. Les deux formes politique ont en commun qu'elles s'expriment par une violence exercée par un souverain sur son peuple. Mais dans le despotisme, la violence est injuste et superflue, alors que dans la tyrannie, la violence est nécessaire et justifiée ce pouvoir n'est pas le despotisme mais la tyrannie, pure domination épouvantable, mais elle est nécessaire et juste dans la mesure où elle constitue et conserve l'Etat en tant qu'il est cet individu effectif ». Hegel ne justifie pas donc toutes les formes de violences et ne cautionne l'utilisation de la violence par le tyran que lorsque celle-ci est nécessaire, c'est-à-dire lorsqu’elle conserve le mode de gouvernement et permet la défense de l’Etat. Ensuite, Marx quant-à-lui souligne son rôle moteur. C'est elle qui, selon-lui, fait avancer le monde et permet d’accoucher d’une société libre. Beaucoup critiqué pour ses propos parfois jugés extrémistes il écrivait “il n’y a qu’une seule façon d’abréger [...] les souffrances meurtrières de l’ancienne société et les douleurs sanglantes de la nouvelle, et c'est la terreur révolutionnaire”. Il cherchait à transformer radicalement la société en appelant à la violence afin de renverser les classes. Pour se faire il s’adressait essentiellement à la classe moyenne. Enfin, pour Machiavel cette cruauté doit être utilisée si son objectif est la paix. Il écrit un traité politique nommé Le Prince dans lequel il explique comment atteindre le pouvoir et s’y maintenir, mais aussi les rapports qu’il faut avoir avec la violence pour gouverner. Il explique ainsi qu’il faut se montrer cruel si la situation l’exige, argument que nous développerons plus tard. Pour lui, il existe deux manières de combattre avec les lois et avec la force. La première est propre aux hommes, l’autre est commune aux animaux. Lorsque les lois sont impuissantes, il faut recourir à la force. Machiavel explique ainsi les situations dans lesquelles il faut recourir à la force, il faut se défendre et pour se faire il faut attaquer avant d’être attaqué. La violence sert ainsi de défense et la guerre maintient la paix. Toutefois, il est important de noter qu’à aucun moment la guerre n’est valorisée en tant que telle. Ainsi, l’homme doit être partagé entre deux rôles le renard, rusé, qui combat avec la loi et le lion, brave, qui combat avec la force. Mais, elle peut aussi être innée, comme lorsqu’elle est le fruit de la société, elle est inévitable et nécessaire. Tout d’abord, “Homo homini lupus”, “l’homme est un loup pour l’homme” dit-Hobbes. Lorsque les hommes vivent en société ils s’affrontent afin de préserver leur propre nature. L’état de nature, de guerre et de violence condamnent l’homme à une existence quasi animale. Mais pour le philosophe il existe des moyens d’éviter ces violences la création d’un état. Car l’homme est l’ennemi de l’homme s’il n’est pas contrôlé, et les sanctions permettent ce contrôle. Pour lui, “L’Etat, cette création humaine, est destiné à mettre fin à la barbarie naturelle.”. Hobbes écrit dans Léviathan que les hommes à l’état de nature ne cherchent qu’à survivre et à défendre leurs intérêts. Une insistance supérieure doit alors pacifier la société, en utilisant si besoin la violence pour pacifier les plus récalcitrants. Cette insistance est souvent l’état c'est-à-dire, selon Weber, une communauté humaine qui revendique le monopole de l’usage légitime de la force physique sur un territoire donné. La violence est donc, selon cette définition, nécessaire à l’exercice de l’autorité de l’Etat Cette expression définit la caractéristique essentielle de l'État en tant que groupement politique comme le seul pouvant utiliser la violence physique sur son territoire. À l'occasion d'une conférence sur le métier et la vocation d'homme politique», Weber cherche à définir quel groupement politique qui lui semble le plus digne d'intérêt. Observant que l’État exerce des activités identiques à celle d'autres formes de communautés humaines, il affirme qu'il faut chercher sa spécificité ailleurs que dans ses activités. Du point de vue sociologique, le propre de l'État se trouve en réalité dans l'un des moyens qu'il emploie il est le seul groupement à bénéficier, sur son territoire, de la violence physique légitime. Cette violence est nécessaire à sa défense et à la protection de ses habitants car “malheureusement, il y a des moments où la violence est la seule façon dont on puisse assurer la justice sociale” selon Eliot. Certains ont alors tenté de comprendre pourquoi l’homme se comportait ainsi. C'est le cas de Freud qui a donné sa réponse au cour de deux topiques. Il a donné une première réponse en affirmant que la violence en l’homme qu’il doit impérativement faire sortir venait d’un refoulement. Un désir qui ne pouvait pas voir le jour pour diverses raisons et qui se transformait en frustration en faisant peu à peu augmenter la pression jusqu’à ce que celle-ci devienne trop haute. Cette pression donne, selon-lui, lieu à des agressions ou de la violence. Toutefois, cette cause n’était pas légitime pour lui, tout comme son explication lui paraissait erronée. Car, si il est vrai de dire que certaines personnes commettent des violences suite à des refoulements, il serait faux de dire que c'est le cas de chacun. Il a donc écrit une seconde topique complétant cette première. Freud écrit alors que deux pulsions s’affrontent en nous la pulsion de vie qui représente la recherche dû plaisir, la conservation de soi, la libido… et la pulsion de mort, qui cette fois n’est pas le produit d’un refoulement mais quelque chose que l’on a en nous. Elle nous donne envie de détruire ou de tuer, et nous voyant dans l’incapacité de l’éradiquer, nous nous devons de la maîtriser. Mais “le moi n’est pas maître dans sa propre maison” et cette pulsion finit toujours par reprendre le dessus. Le rôle de la civilisation est de l’éloigner au maximum, mais croire que la violence est entravée n’est qu’une illusion. Nietzsche à son tour a tenté de donner des éléments de réponse à la violence de l’homme. Pour lui, l’homme prend plaisir à infliger des souffrances, c’est donc contre-nature pour lui d’essayer de taire cette partie de nous-même. Toute tentative de rallier les hommes est forcément liée à une mise à l’écart d’un autre groupe comme par exemple la religion, qui réunit les croyants de cette religion, mais qui exclut les non croyants et les croyants d’autres religions, pouvant même créer des tensions et des guerres par la suite. La violence est ici inconsciente, et si l’homme veut quelque chose alors il ne se rendra même pas compte du mal qu’il fait suite à cette impulsion. De plus, On n'attaque pas seulement pour faire du mal à quelqu'un mais peut-être aussi pour le seul plaisir de prendre conscience de sa force.», l’homme est violent autant par plaisir que par nécessité. Si la plupart des penseurs ont souligné le rôle moteur de la violence dans l’avancée des sociétés ou des rapports humains, certains philosophes rejettent la violence au nom du respect des individus ou du pacifisme. Nous allons ainsi montrer que la violence est quelque chose de contingent. Pour commencer, Jankélévitch a donné une définition à la violence et dit d’elle “il ne serait pas exagéré de définir la violence comme une force faible”. C’est à dire une force dont l’homme abuse au détriment des plus faibles. Elle bafoue les droits de l’autre et se traduit par l’usage de la force brutale ou par l’intimidation. C'est la force et l’arme des faibles, un signe d’échec du dialogue, de la communication. Le philosophe pense aussi que la morale est plus importante que tout l’homme peut, grâce à la morale, être supérieur à ses pulsions primitives. La violence n’est donc pas un mal nécessaire mais ça demande du travail pour l’éradiquer. Ensuite, Sartre à son tour s’est opposé à la violence et a tenté de montrer que celle-ci n’était pas nécessaire. Pour lui, la violence est injuste et c'est un véritable échec. La violence entraîne la violence. Il dit à ce sujet que “la violence n’est pas un moyen parmis d’autres d’atteindre la fin, mais le choix délibéré d’atteindre la fin par n’importe quel moyen”. De plus, l’homme est libre, et si il est violent, c'est qu’il a choisi de l’être. Bien entendu, la conscience peut choisir en feignant de ne pas être libre, mais ce mensonge à soi même et sur soi même est de la mauvaise foi. Ainsi, il a pris pour cible la violence imposée de façon structurelle par des systèmes sociaux fondés sur l’inégalité, et pensait que l’existence même d’autrui est violence en ce qu’il porte un regard, une objectivité sur soi. Cette violence permet néanmoins d’entrer en communication avec autrui car c'est aussi ce qui nous rapproche. De plus, Rousseau pense qu’il est possible de vaincre le mal et donc la violence. Tout comme Hobbes il dit que l’Etat, la civilisation est le seul moyen d’y remédier, en créant une société dans laquelle l’homme puisse se reconnaître lui-même, obéir à la loi, et en même temps, être libre. Il développe l’idée de Hobbes selon laquelle il devrait y avoir un “souverain” et des “sujets”, peuples soumis aux lois de l’Etat. Toutefois, Rousseau contredira Hobbes lorsqu’il dit que l’état de nature condamne l’homme à une existence quasi animale en utilisant le mythe du bon sauvage. Un homme qui vit libre du péché originel, sans pudeur, sans gourmandise, sans luxure, sans propriété privé.. Et qui vit dans un paradis perdu qui pourvoit à tous ses besoins. Cet homme pur et innocent vécu la période la plus heureuse de l’humanité. De plus, pour Rousseau, l’homme peut évoluer en bien, mais aussi en mal puisque la créativité humaine se double de la formation du mal social. Selon lui la propriété représente le terme de l’état de nature. Et le premier qui dit “ceci est à moi” fut le vrai fondateur de la société civile. La société civile, régie par la violence, la force déchaînée, sans nul recours au droit, tend au despotisme, sa forme extrême, qui lui est quasi inhérent. Le despotisme est une autorité politique, ne se soumettant pas à loi, se mettant au dessus d’elle, et usurpant le pouvoir souverain. Enfin, Ganhi a été un des plus fervents opposant à la violence. Il dit ceci à son sujet “Je m’oppose à la violence parce que lorsqu’elle semble produire le bien, le bien qui en résulte n’est que transitoire, tandis que le mal produit est permanent”, il faut donc trouver un autre moyen, un moyen non-violent de régler les problèmes. Gandhi a milité pour l’indépendance de l’Inde de façon non-violente et a fait de nombreuses grèves de la faim lors de ses emprisonnements. Il préconise la désobéissance passive et collective pour lutter contre les discriminations. Ainsi que la non-participation c’est-à-dire le refus des décorations ou le boycottage des produits anglais, et prescrit même la grève des impôts dans le district du Gujarat. Il a aussi créé le concept de non-violence c'est à dire une opposition à la violence sans nuire ou causer de tort à autrui. Pour finir Andrzej Sapkowski, le célèbre auteur des livres du Sorceleur aussi connu sous le nom de The Witcher, adaptés en livre et en jeux vidéo, a dit ceci au sujet de la violence “le mal est le mal, qu’il soit moindre, suprême, moyen, ils se valent tous.”. Le mal, peut importe son impact, n’est pas nécessaire car le mal reste le mal, et même utilisé pour faire le bien, le mal n’en produira finalement pas. Il faut donc s’opposer à toute sorte de violence, même moindre, si l’on veut avoir quelque chose de bien. La violence est elle donc un mal nécessaire ? Nous avons pu comprendre tout au long du devoir la difficulté qu’il y existe à discerner les différents types de mals les uns des autres, et donc à définir si ceux ci sont nécessaires ou non. Notre travail a, en tout cas, cherché à démontrer que si la plupart des philosophes soulignent le rôle indispensable de la violence dans l’avancée des sociétés ainsi que la nature violente de l’homme, certains penseurs au contraire montrent sa contingence et prouvent qu’il est possible de faire autrement, avec des moyens non-violents. Nous pourrions toutefois nous demander e Est-ce-que nous pourrions vivre, ou survivre, dans un monde totalement dénué de violence ? N'oubliez pas de vous abonner au blog pour lire les prochains articles et partagez l'article si ils vous a aidé. N'hésitez pas à laisser un commentaire pour dire vos impressions. 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La santé est souvent un sujet tabou en entreprise, lieu de compétitivité et de performance. Il peut être délicat et osé de baisser la garde et s’épancher sur son état de santé. La période que nous traversons peut s’avérer d’autant plus compliquée pour les personnes qui ont une santé fragile. Pourtant, mettre son entreprise dans la confidence peut aussi déboucher sur de meilleures conditions de travail et un accompagnement psychologiquement non négligeable. Alors, comment communiquer sur sa situation médicale lorsque cela devient une nécessité ? Doit-on forcément informer notre entreprise si nous sommes une personne à risque pour le Covid-19 ? Est-il bienvenu de tout dire ?Welcome to the Jungle fait le point sur les lois qui encadrent notre santé au travail et vous conseille sur ce qu’il peut être préférable de communiquer ou non à votre dit la loi ?À l’embaucheLe salarié n’a aucune obligation de dire à son futur employeur qu’il est malade. Lors d’un entretien d’embauche, le Code du travail établit qu’aucun salarié ne peut être sanctionné, licencié, ou faire l’objet d’une mesure discriminatoire, pour avoir refusé de répondre à une question sur son état de santé ou son handicap. L’employeur peut demander un certificat ou un examen afin de savoir si le salarié est apte ou non au poste auquel il aspire mais il n’aura accès à aucun autre détail en raison du secret l’entrée en vigueur le 1er janvier 2017 de la Loi Travail, dite loi El Khomri », la traditionnelle visite médicale est remplacée par la VIP Visite d’Information et de Prévention, sauf cas a vocation à interroger le salarié sur son état de santé, l’informer des risques éventuels auxquels l’expose son poste de travail, sensibiliser le salarié sur les moyens de prévention de ces risques à mettre en œuvre, identifier si l’état de santé du salarié ou les risques auxquels il est exposé nécessitent une orientation vers le médecin du travail, informer le salarié sur les modalités de suivi de son état de santé par le service et sur la possibilité dont il dispose, à tout moment, de bénéficier d’une visite à sa demande avec le médecin du travail. Le rôle de ce dernier est préventif, son but est d’éviter toute altération de la santé des travailleurs du fait de leur travail. Pour pallier la pénurie des médecins du travail, la VIP est réalisée par un professionnel de santé, également tenu au secret professionnel interne en médecine ou infirmier par exemple, sous l’autorité du médecin du travail. Elle doit avoir lieu avant la fin de la période d’essai, soit dans les trois mois suivants la prise de poste, et le délai entre deux rendez-vous ne doit pas excéder cinq cas du salarié en posteComme pour l’entretien d’embauche, le salarié n’a aucune obligation de communiquer à son employeur son état de santé lors d’un entretien d’ en fonction des conséquences que peuvent avoir certaines maladies, le médecin du travail peut déclarer le salarié inapte au travail dès le premier rendez-vous médical. Le médecin du travail doit alors obligatoirement échanger avec l’employeur et le salarié sur les possibilités d’aménagement ou d’adaptation de poste, réaliser une étude du poste du salarié et de ses conditions de travail. Quelle que soit l’origine de l’inaptitude, l’employeur a l’obligation de proposer un reclassement au salarié déclaré inapte, sauf si, le médecin du travail estime que tout maintien du salarié dans un emploi serait gravement préjudiciable à sa santé » ou que l’état de santé du salarié fait obstacle à tout reclassement dans un emploi ». Dans ce cas, le médecin dispense l’employeur d’une recherche de reclassement. Si aucun reclassement n’est possible, une procédure de licenciement pourra être engagée. En cas de contestation, la saisine appel ou recours, ndlr du conseil de prud’hommes est ouverte pour un délai de quinze jours à compter de la notification de la spécificités liées au coronavirusEn cette période de crise sanitaire, si vous êtes une personne vulnérable antécédents cardiovasculaires, diabéte, insuffisance rénale, etc., rien ne vous oblige à prévenir votre entreprise. En revanche, pour protéger votre santé, mieux vaut avertir votre employeur pour que celui-ci vous autorise le télétravail. Si la nature de votre métier ne vous le permet pas, alors votre entreprise pourra vous mettre au chômage partiel ou au chômage technique sur présentation d’un certificat d’isolement fourni par un médecin un document qui vous autorise à rester chez vous et à ne pas vous rendre au travail, ndlr. Si vous n’êtes pas une personne vulnérable face au Covid-19 mais que vous avez été un cas contact en contact rapproché, sans masque, avec une personne testée positive au Covid-19, vous avez l’obligation de prévenir votre entreprise. Le salarié a aussi une obligation de sécurité envers lui mais aussi les autres, si celle-ci n’est pas respectée, cela pourrait faire l’objet d’une faute. Dans les faits, il serait difficile pour l’entreprise de prouver que vous avez caché des informations sur votre état de santé, il y a donc peu de risque d’être sanctionné. Une fois votre entreprise avertie, vous devrez poursuivre en télétravail ou bien vous faire prescrire un arrêt de travail. Idem si vous présentez les symptômes du coronavirus ou si vous avez été testé positif avec ou sans symptômes vous ne devez pas non plus vous rendre sur votre lieu de travail. Un arrêt de travail sera là aussi nécessaire. Une transparence parfois difficileQuel que soit le problème de santé que vous rencontrez, nous ne pouvons que vous conseiller d’être transparent avec votre employeur, c’est inévitable si vous souhaitez que celui-ci amènage votre poste de travail et s’adapte à vous. En revanche, si vous souffrez d’une maladie chronique ou d’un handicap et que vous ne souhaitez pas en informer votre entreprise, rien ne vous oblige à le faire ! Parler de son état de santé peut être délicat et intime, il est tout à fait compréhensible et tout à fait légitime que vous souhaitiez garder ces informations pour vous. Car, malheureusement, la bienveillance n’est pas innée chez tout le monde et certains managers et DRH peuvent encore avoir du mal à accompagner des profils comme le vôtre…Pour d’autres maladies à court ou moyen terme, nous vous recommandons tout de même d’être transparent avec votre entreprise, si besoin en toute confidentialité. Il en va de la santé de vos collègues et de leurs proches. Ne prenez pas de risque !Suivez Welcome to the Jungle sur Facebook, LinkedIn et Instagram ou abonnez-vous à notre newsletter pour recevoir, chaque jour, nos derniers articles !Photo by WTTJ
Imprimer Chantal JOUANNO, Sénatrice de Paris Prostitution, mal nécessaire ? Mythe du plus vieux métier du monde ? Réalité consubstantielle à toute société ? Le tabou du sujet recouvre cette vision erronée de la prostitution qui tend à perdurer dans notre société derrière des artefacts de liberté et du droit à disposer de son propre corps... L'état de notre droit n'a pas encore connu d'avancées majeures dépassant ce débat désuet. La principale question qu'il nous faut nous poser est celle de l'existence même de la prostitution, de son origine et de son existence sociale ; il n'y aura point d'avancée sans une réflexion majeure sur ce thème, relançant ainsi le débat sur la pénalisation des clients. La commission des affaires sociales du Sénat m'a chargée avec mon collègue Sénateur, Jean-Pierre Godefroy, de mener un travail d'analyse des enjeux sociaux de la prostitution qui permettra de nourrir notre réflexion de Législateur sur cet éternel débat. Je souhaite que nous ayons dans le cadre de cette mission l'ambition de répondre à la question centrale la prostitution est-elle inéluctable ? ». Nous devons étudier notamment les facteurs d'entrée et de maintien dans la prostitution et les outils de réinsertion sociale permettant d'en sortir. Nous nous attacherons à décrire les motifs psychologiques et sociaux à l'œuvre derrière la démarche des clients. Le terme prostitution » recouvre des réalités contrastées et diverses, souvent mal connues et appréhendées. Nous voulons comprendre la situation particulière dans laquelle se trouvent certaines personnes prostituées, notamment les mineurs, les étudiants, les personnes âgées, les étrangers en situation irrégulière et les transsexuels. Nous avons prévu de procéder à l'audition d'un grand nombre d'acteurs représentants d'associations, responsables politiques et administratifs, professionnels des secteurs de la santé et du médico-social, personnalités qualifiées, etc. Ces auditions seront complétées par des déplacements sur le terrain, en France et à l'étranger. Qu'il me soit permis d'espérer que la réflexion que nous mènerons au Sénat permettra un cheminement de la pensée où la prostituée puisse être considérée comme une victime. Si il est bien une situation dans laquelle les femmes disposent le moins de leur corps, c'est dans la prostitution. La vision que les prostituées sont libres, si elle est sans aucun doute confortable, voire même déculpabilisante pour notre société, n'en est pas moins fausse. La prostitution n'est ni un métier, ni un mal nécessaire. C'est une atteinte à la dignité humaine et c'est moins sous l'angle du moralisme que sous celui de l'égalité que la question doit, à mon sens, être traitée.
Un mal nécessaire La mutinerie de Champ-Dollon, le traitement hallucinant de Carlos à Zurich un délinquant mineur qui bénéficiait d’un coûteux programme de réhabilitation, lire LT du actualisent la question du rôle, voire de l’utilité de la prison, et la problématique de la réinsertion des délinquants. Le problème n’est pas nouveau. Au tout début des années 60 déjà, notre professeur de droit pénal nous enseignait que la sanction» pénale devait assurer trois fonctions la punition, la protection de la société et la réinsertion du punition peut être financière ou privative de liberté. La punition comme telle doit offrir une sorte de satisfaction à la victime dont le besoin légitime de vengeance et de reconnaissance de sa souffrance est ainsi honoré. Mais l’Etat ne doit pas céder à la tentation d’adapter la peine à la subjectivité de la victime. Il doit garantir une certaine objectivité de la sanction et donc veiller à ce qu’elle contribue à la réinsertion» du coupable par le seul fait que la punition est constitutive de l’ protection de la société exige une mesure empêchant le coupable de continuer de nuire – c’est le rôle de l’emprisonnement – ainsi que la garantie que le coupable ne recommencera pas, s’il est libre – c’est le rôle de la dernière pose le problème quasiment insoluble de l’appréciation des chances d’amélioration du coupable et du moyen d’y parvenir. Parfois, la seule crainte d’une nouvelle sanction et en particulier d’un nouvel emprisonnement y suffira, d’autres fois, une véritable rééducation sera nécessaire, quelquefois enfin, l’espoir d’amélioration est si faible que la surveillance restera nécessaire, soit sous forme de privation de liberté d’une durée indéterminée soit – selon la proposition du professeur Henriette Haas – au moyen d’une surveillance par à la sanction/emprisonnement. On ne peut évidemment parler de sanction» aussi longtemps que le prévenu n’est pas condamné. Une détention préventive n’est donc pas une sanction et ne doit pas être exécutée dans le même lieu que l’emprisonnement après condamnation. C’est là probablement un des premiers défauts de Champ-Dollon. La séparation doit être totale entre détention préventive et emprisonnement après condamnation pénale. En outre, vu la présomption d’innocence, une détention préventive doit être subordonnée à des conditions strictes. Il n’est pas certain que cela soit toujours le cas en convient aussi de rappeler que même le pire délinquant reste un être humain. Cela implique que l’exécution de la peine – et de la peine d’emprisonnement en particulier – obéisse à des règles claires. L’Etat doit veiller à la santé et à la sécurité des détenus. Il n’a pas par contre à assurer leur confort. La santé exige un certain espace vital, des contacts avec l’extérieur et des promenades, de l’hygiène, une nourriture saine et naturellement aussi des soins médicaux avec les mêmes droits que tout patient. La sécurité n’est pas conciliable avec un entassement de personnes, ni même, parfois, avec la réunion de deux ou plusieurs détenus de cultures très différentes dans la même cellule, quelque spacieuse qu’elle soit. C’est de la responsabilité des autorités politiques que de veiller à la suffisance et à la pertinence des moyens à disposition. Le législateur est lui aussi directement impliqué dans la mesure où, cédant à des experts souvent idéologues mais dénués de tout sens pratique, il élabore parfois des lois d’exécution ou des lois pénales quasiment réinsertion peut se faire pendant l’emprisonnement, notamment par le biais d’une activité professionnelle, ou après la sortie, mais certainement jamais à un coût que nul citoyen non millionnaire ne saurait assumer. Le cas de Carlos est totalement révoltant si le coût en est assumé par l’Etat. Le scandale est pire que celui des bonus. Certes, dans la mesure où Carlos avait droit à une libération conditionnelle, on ne pouvait le remettre en prison sans motif autre que son coût, auquel il ne peut rien. Mais le fait qu’il ait dû être expédié aux Pays-Bas où il coûte encore aux pouvoirs publics suisses 19 000 francs par mois est la preuve de l’anomalie de la rôle de la punition et les possibilités de réinsertion posent des problèmes particuliers en relation avec la culture propre de chaque condamné. Dans la mesure où nos prisons accueillent de plus en plus de délinquants qui appartiennent à des cultures différentes de la culture européenne occidentale, la sécurité est particulièrement difficile à faire régner et, en outre, la réinsertion, problématique. Il faudrait pouvoir renvoyer les délinquants purger leur peine dans leur pays d’origine, aux conditions locales, ce qui serait probablement plus dissuasif que dans les conditions des prisons suisses. Mais ces considérations ne rendent pas la prison obsolète pour autant. Si cette peine nécessite une adaptation aux particularités d’une société, elle reste en tous les cas un moyen de protection, de punition, voire de rééducation pleinement utile. L’Etat doit veiller à la santé et à la sécurité des détenus. Il n’a pas, par contre, à assurer leur confortLe Temps publie des chroniques et des tribunes – ces dernières sont proposées à des personnalités ou sollicitées par elles. Qu’elles soient écrites par des membres de sa rédaction s’exprimant en leur nom propre ou par des personnes extérieures, ces opinions reflètent le point de vue de leurs autrices et auteurs. Elles ne représentent nullement la position du titre.
l etat est il un mal nécessaire